Moins d'un mois après la fusillade ciblant des jeunes du quartier de Beaune (Côte-d’Or), SOS Racisme, le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié des peuples (MRAP) et la Ligue des droits de l’Homme (LDH), se sont constituées parties civiles pour dénoncer le racisme et pour réclamer justice.
Toutes dénoncent la banalisation du racisme en France. « On se porte partie civile parce que la circonstance aggravante du racisme est avérée, par solidarité avec les parties civiles et pour avoir accès au dossier », a fait savoir Paul Garrigues de la Ligue des droits de l’Homme, qui a crée une branche locale à Beaune afin de faire en sorte « que la parole des personnes des quartiers populaires soit entendue ».
Les deux auteurs présumés de la fusillade ont été mis en examen pour « tentative d'assassinat aggravée en raison de l'appartenance des victimes à une soi-disant race, religion ou ethnie, réelle ou supposée » et sont en détention après leur interpellation le 10 août.
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Beaune : les auteurs présumés de la fusillade arrêtés, le mobile raciste retenu
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Les deux auteurs présumés de la fusillade ont été mis en examen pour « tentative d'assassinat aggravée en raison de l'appartenance des victimes à une soi-disant race, religion ou ethnie, réelle ou supposée » et sont en détention après leur interpellation le 10 août.
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