Quatre camions qui venaient de passer le poste frontière israélien de Kerem Shalom ont été pris sous le feu des armes des partisans du Hamas, et une fusillade nourrie s'en est suivie avec les gardes présidentiels qui les escortaient, rapportent des témoins.
Le Hamas a affirmé que les camions attaqués transportaient des armes destinées aux 4.000 hommes de la garde du président Abbas. Le parti majoritaire au gouvernement a affirmé qu'un pays arabe, qu'il n'a pas cité, avait envoyé la veille une cargaison d'armes destinée à la garde présidentielle, comprenant des jeeps militaires et des obus, qui auraient transité par l'Égypte.
Le Fatah a démenti, de même que le chef d'une délégation sécuritaire égyptienne basée à Gaza, Bourhan Hammad. Le Fatah assure que les quatre camions, qui ont traversé Israël, transportaient du matériel médical, des tentes, matelas, latrines et autres équipements. Le Fatah accuse le Hamas de mettre en « danger grave » la trêve entrée en vigueur dans la nuit de lundi à mardi. Après cette attaque, le Fatah a ordonné à ses combattants de se maintenir en état d'alerte et de répondre aux attaques menées par le Hamas.
Des affrontements armés ont éclaté dans divers endroits de la bande de Gaza après la mort d'un officier de la garde présidentielle de Mahmoud Abbas, à Nousseirat, dans le centre du territoire. Trois autres membres de la garde présidentielle ont péri dans des combats dans le même secteur, selon les sources médicales. Des hommes du Fatah ont enlevé cinq membres du Hamas dans la bande de Gaza. Par ailleurs, des activistes du Hamas ont pris le contrôle d'une position des renseignements militaires, faisant dix blessés. De source médicale, on précise qu'une cinquantaine de personnes ont été blessées, dont deux enfants.
Un cinquième Palestinien a été tué par des tirs lors de combats à Jabalya. Enfin, un sixième Palestinien, membre de la Force exécutive relevant du ministère de l'Intérieur contrôlé par le Hamas, a été tué en soirée lors d'échanges de tirs à Gaza.
Le Hamas a affirmé que les camions attaqués transportaient des armes destinées aux 4.000 hommes de la garde du président Abbas. Le parti majoritaire au gouvernement a affirmé qu'un pays arabe, qu'il n'a pas cité, avait envoyé la veille une cargaison d'armes destinée à la garde présidentielle, comprenant des jeeps militaires et des obus, qui auraient transité par l'Égypte.
Le Fatah a démenti, de même que le chef d'une délégation sécuritaire égyptienne basée à Gaza, Bourhan Hammad. Le Fatah assure que les quatre camions, qui ont traversé Israël, transportaient du matériel médical, des tentes, matelas, latrines et autres équipements. Le Fatah accuse le Hamas de mettre en « danger grave » la trêve entrée en vigueur dans la nuit de lundi à mardi. Après cette attaque, le Fatah a ordonné à ses combattants de se maintenir en état d'alerte et de répondre aux attaques menées par le Hamas.
Des affrontements armés ont éclaté dans divers endroits de la bande de Gaza après la mort d'un officier de la garde présidentielle de Mahmoud Abbas, à Nousseirat, dans le centre du territoire. Trois autres membres de la garde présidentielle ont péri dans des combats dans le même secteur, selon les sources médicales. Des hommes du Fatah ont enlevé cinq membres du Hamas dans la bande de Gaza. Par ailleurs, des activistes du Hamas ont pris le contrôle d'une position des renseignements militaires, faisant dix blessés. De source médicale, on précise qu'une cinquantaine de personnes ont été blessées, dont deux enfants.
Un cinquième Palestinien a été tué par des tirs lors de combats à Jabalya. Enfin, un sixième Palestinien, membre de la Force exécutive relevant du ministère de l'Intérieur contrôlé par le Hamas, a été tué en soirée lors d'échanges de tirs à Gaza.
L’Iran accusé
On reconnaît de source israélienne que l'Etat juif a autorisé le passage d'équipements que les Etats-Unis, la Jordanie et l'Egypte ont décidé de fournir aux forces de sécurité fidèles à Abbas pour compenser l'armement lourd dont la « Force exécutive » du Hamas serait en train de se doter.
Israël et les puissances occidentales ont accusé l'Iran de financer le Hamas. Mercredi, le Hamas a accusé l'administration américaine de chercher à provoquer une guerre civile dans les territoires palestiniens en annonçant une aide de plus de 86 millions aux forces fidèles au président Abbas.
Les nouvelles violences surviennent à la veille d'une réunion à Washington des chefs de diplomatie du Quartette pour le Proche-Orient pour harmoniser leurs positions sur les efforts destinés à ranimer un processus de paix israélo-palestinien moribond.
Israël et les puissances occidentales ont accusé l'Iran de financer le Hamas. Mercredi, le Hamas a accusé l'administration américaine de chercher à provoquer une guerre civile dans les territoires palestiniens en annonçant une aide de plus de 86 millions aux forces fidèles au président Abbas.
Les nouvelles violences surviennent à la veille d'une réunion à Washington des chefs de diplomatie du Quartette pour le Proche-Orient pour harmoniser leurs positions sur les efforts destinés à ranimer un processus de paix israélo-palestinien moribond.
La colonisation se poursuit
Quand tous les regards se braquent sur les affrontements entres les deux factions politiques palestiniennes, l’Etat d’Israël continue et renforce les colonies présentent en Cisjordanie.
Les autorités israéliennes ont décidée de confisquer plus de 400 hectares de
terres agricoles palestiniennes, appartenant aux habitants de deux villages : Baroukin et Kafr Dick, au profit de la construction du mur de séparation en Cisjordanie.
Selon la « paix maintenant », mouvement proche de la gauche israélienne, quatre colonies israéliennes « sauvages » se développent encore dans les territoires Palestiniens : Givat Assaf, Ramat Gilad, ainsi que Mitzpeh Lakhish et Mitzpeh Itzhar.
Enfin, un jeune Palestinien a été tué jeudi par des troupes israéliennes au barrage routier de Qalandia au nord de Jérusalem, sans aucune justification, d’après des sources palestiniennes. Les soldats ont semble-t-il tiré sur Taha Mohammed, un résident de l’est d’Al-Quds, alors qu’il passait près de ce barrage à 4h du matin, heures locales.
Les autorités israéliennes ont décidée de confisquer plus de 400 hectares de
terres agricoles palestiniennes, appartenant aux habitants de deux villages : Baroukin et Kafr Dick, au profit de la construction du mur de séparation en Cisjordanie.
Selon la « paix maintenant », mouvement proche de la gauche israélienne, quatre colonies israéliennes « sauvages » se développent encore dans les territoires Palestiniens : Givat Assaf, Ramat Gilad, ainsi que Mitzpeh Lakhish et Mitzpeh Itzhar.
Enfin, un jeune Palestinien a été tué jeudi par des troupes israéliennes au barrage routier de Qalandia au nord de Jérusalem, sans aucune justification, d’après des sources palestiniennes. Les soldats ont semble-t-il tiré sur Taha Mohammed, un résident de l’est d’Al-Quds, alors qu’il passait près de ce barrage à 4h du matin, heures locales.