Les représentants français du culte musulman, soutenus par des scientifiques et des savants, ont tranché. Après un mois entier de jeûne, les musulmans pourront célébrer l’Aïd el-Fitr vendredi 10 septembre en France en commençant par la traditionnelle prière collective de l’Aïd en début de matinée. La plupart des pays musulmans ont aussi fixé cette date pour l’Aïd el-Fitr.
Conformément à la tradition islamique, cette décision est prise à l’issue de la Nuit du doute pendant laquelle les responsables musulmans se réunissent pour scruter l’apparition − ou non − de la nouvelle lune. Cependant, ils peuvent tout aussi déterminer le jour de l'Aïd en ayant en main les données astronomiques, d'où cette annonce faite peu avant le coucher du soleil.
Pendant le mois de Chawwal, la possibilité est donnée à chaque musulman de jeûner six jours dans ce mois – après avoir rattrapé au préalable les jours manqués non intentionnellement – afin de se voir attribuer la récompense d’un an de jeûne.
Bien qu'il soit préférable aux yeux des savants de donner la zakât el-Fitr – qui s’élève à 5 € par personne – au début du mois du jeûne afin que les bénéficiaires puissent convenablement célébrer le jour de l'Aïd, ceux qui ne l'ont pas donné ont encore le temps de la distribuer. A défaut, cette somme reste à la charge du musulman en tant que dette jusqu’à ce qu’il s’en acquitte.
Conformément à la tradition islamique, cette décision est prise à l’issue de la Nuit du doute pendant laquelle les responsables musulmans se réunissent pour scruter l’apparition − ou non − de la nouvelle lune. Cependant, ils peuvent tout aussi déterminer le jour de l'Aïd en ayant en main les données astronomiques, d'où cette annonce faite peu avant le coucher du soleil.
Pendant le mois de Chawwal, la possibilité est donnée à chaque musulman de jeûner six jours dans ce mois – après avoir rattrapé au préalable les jours manqués non intentionnellement – afin de se voir attribuer la récompense d’un an de jeûne.
Bien qu'il soit préférable aux yeux des savants de donner la zakât el-Fitr – qui s’élève à 5 € par personne – au début du mois du jeûne afin que les bénéficiaires puissent convenablement célébrer le jour de l'Aïd, ceux qui ne l'ont pas donné ont encore le temps de la distribuer. A défaut, cette somme reste à la charge du musulman en tant que dette jusqu’à ce qu’il s’en acquitte.