Mardi, les ministres européens des Affaires étrangères ont renoncé à appeler à "un cessez-le-feu immédiat" au Liban face notamment à l'opposition du Royaume-Uni, préférant préconiser une "cessation immédiate des hostilités".
A la mi-journée, la présidence finlandaise de l'UE avait proposé aux ministres européens des Affaires étrangères que l'Union appelle à un "cessez-le-feu immédiat". Cette expression, qui devait être approuvée à l'unanimité, a notamment été rejetée par plusieurs capitales dont Londres, Berlin et La Haye, selon des diplomates.
Les 25 ont finalement retenu une formulation proposée par le Luxembourg qui appelle à "une cessation immédiate des hostilités qui sera suivie par un cessez-le-feu durable", selon le texte final de la déclaration commune publiée par la présidence finlandaise de l'Union européenne.
Selon une source européenne, plusieurs Etats membres ont considéré que l'appel à un cessez-le-feu immédiat brûlait les étapes, les conditions politiques n'étant pas réunies.
A la mi-journée, la présidence finlandaise de l'UE avait proposé aux ministres européens des Affaires étrangères que l'Union appelle à un "cessez-le-feu immédiat". Cette expression, qui devait être approuvée à l'unanimité, a notamment été rejetée par plusieurs capitales dont Londres, Berlin et La Haye, selon des diplomates.
Les 25 ont finalement retenu une formulation proposée par le Luxembourg qui appelle à "une cessation immédiate des hostilités qui sera suivie par un cessez-le-feu durable", selon le texte final de la déclaration commune publiée par la présidence finlandaise de l'Union européenne.
Selon une source européenne, plusieurs Etats membres ont considéré que l'appel à un cessez-le-feu immédiat brûlait les étapes, les conditions politiques n'étant pas réunies.