Sur le vif
Des représentants de la rébellion touareg, dont des éléments qui avaient attaqué fin mai des casernes dans le nord du Mali, ont signé mardi à Alger un accord de paix pour mettre fin à la crise dans la région, a constaté l'Associated Press.
L'accord entre les deux parties, scellé la semaine dernière, grâce à une médiation algérienne, a été paraphé dans la résidence d'Etat El-Mithak, sur les hauteurs d'Alger, par le représentant du gouvernement malien, le général Kafougouna Koné, et par le représentant de l'Alliance démocratique du 23 mai 2006 pour le changement, Ahmed Agbibé, en présence de l'ambassadeur de l'Algérie au Mali, Abdelkrim Gheraieb, et du ministre algérien des Affaires étrangères, Mohammed Bedjaoui.
Le général Koné, qui a mis en relief l'"importance toute particulière" de l'événement, a affirmé que cet accord de paix "consacre l'aboutissement heureux de la politique de dialogue prônée par le chef d'Etat malien, Amadou Tou Mani Touré".
De son côté, Ahmed Agbibé a estimé que l'accord "signifie que le peuple malien est d'accord pour vivre ensemble dans la paix, la tranquillité et la stabilité".
A travers cet accord, les ex-rebelles touaregs s'engagent à ne plus réclamer l'autonomie de leur région, tandis que le gouvernement malien, de son côté, est tenu à accélérer le développement des trois régions du nord du Mali (Kidal, Gao et Tombouctou).
L'accord entre les deux parties, scellé la semaine dernière, grâce à une médiation algérienne, a été paraphé dans la résidence d'Etat El-Mithak, sur les hauteurs d'Alger, par le représentant du gouvernement malien, le général Kafougouna Koné, et par le représentant de l'Alliance démocratique du 23 mai 2006 pour le changement, Ahmed Agbibé, en présence de l'ambassadeur de l'Algérie au Mali, Abdelkrim Gheraieb, et du ministre algérien des Affaires étrangères, Mohammed Bedjaoui.
Le général Koné, qui a mis en relief l'"importance toute particulière" de l'événement, a affirmé que cet accord de paix "consacre l'aboutissement heureux de la politique de dialogue prônée par le chef d'Etat malien, Amadou Tou Mani Touré".
De son côté, Ahmed Agbibé a estimé que l'accord "signifie que le peuple malien est d'accord pour vivre ensemble dans la paix, la tranquillité et la stabilité".
A travers cet accord, les ex-rebelles touaregs s'engagent à ne plus réclamer l'autonomie de leur région, tandis que le gouvernement malien, de son côté, est tenu à accélérer le développement des trois régions du nord du Mali (Kidal, Gao et Tombouctou).
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