Sur le vif
Au lendemain de sa visite à Beyrouth, Dominique de Villepin et le président Jacques Chirac ont souligné l'urgence de venir en aide au Liban sur le plan humanitaire.
En rendant compte au chef de l'Etat de sa visite éclair, le Premier ministre a évoqué "l'extrême gravité" de la situation humanitaire au Liban, bombardé depuis plusieurs jours par l'armée israélienne.
Jacques Chirac a demandé que, "en liaison avec nos partenaires, nous fassions le maximum pour apporter au Liban l'appui humanitaire dont il a un besoin urgent", a rapporté l'Elysée.
Alors que l'aviation israélienne a repris mardi matin ses bombardements sur Beyrouth et le sud du Liban, la France a réitéré son appel à un arrêt des violences.
"Il est absolument fondamental d'arrêter cette spirale folle qui ne conduit nulle part", a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, sur France 2.
A Beyrouth, où il a rencontré des ressortissants français et son homologue libanais Fouad Siniora, Dominique de Villepin a appelé à une trêve immédiate entre Israël et Hezbollahah. Il faisait écho à Jacques Chirac, qui a dénoncé ce week-end lors du G8 de Saint-Pétersbourg des comportements "à la fois violents et aberrants" ayant des conséquences "dramatiques" sur la population libanaise.
Selon l'Elysée, le chef de l'Etat considère la déclaration du sommet du G8 comme une "base de la mobilisation internationale pour une désescalade et l'arrêt des violences".
Dans ce texte adopté à la fin des travaux, les dirigeants des huit pays les plus industrialisés appellent notamment Israël à "la retenue" et l'invitent à "se préoccuper des conséquences stratégiques et humanitaires de ses actes". Ils approuvent également l'idée de l'envoi au Liban d'une nouvelle mission d'observation.
En rendant compte au chef de l'Etat de sa visite éclair, le Premier ministre a évoqué "l'extrême gravité" de la situation humanitaire au Liban, bombardé depuis plusieurs jours par l'armée israélienne.
Jacques Chirac a demandé que, "en liaison avec nos partenaires, nous fassions le maximum pour apporter au Liban l'appui humanitaire dont il a un besoin urgent", a rapporté l'Elysée.
Alors que l'aviation israélienne a repris mardi matin ses bombardements sur Beyrouth et le sud du Liban, la France a réitéré son appel à un arrêt des violences.
"Il est absolument fondamental d'arrêter cette spirale folle qui ne conduit nulle part", a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, sur France 2.
A Beyrouth, où il a rencontré des ressortissants français et son homologue libanais Fouad Siniora, Dominique de Villepin a appelé à une trêve immédiate entre Israël et Hezbollahah. Il faisait écho à Jacques Chirac, qui a dénoncé ce week-end lors du G8 de Saint-Pétersbourg des comportements "à la fois violents et aberrants" ayant des conséquences "dramatiques" sur la population libanaise.
Selon l'Elysée, le chef de l'Etat considère la déclaration du sommet du G8 comme une "base de la mobilisation internationale pour une désescalade et l'arrêt des violences".
Dans ce texte adopté à la fin des travaux, les dirigeants des huit pays les plus industrialisés appellent notamment Israël à "la retenue" et l'invitent à "se préoccuper des conséquences stratégiques et humanitaires de ses actes". Ils approuvent également l'idée de l'envoi au Liban d'une nouvelle mission d'observation.
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