Ismaïl Hania
Désarmement
C’est durant la nuit de mardi à mercredi que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, membre du Fatah, ainsi que le premier ministre Ismaïl Hania du Hamas, ont diffusé un communiqué déclarant : « Quiconque a recours aux armes est considéré comme hors-la-loi ».
Les tensions dans la bande de Gaza sont de plus en plus meurtrières. Depuis deux jours, les affrontements entre milices du Fatah et du Hamas ont fait trois morts et quatorze blessés. Ces affrontements sont, semble t il, le résultat direct de la pression émise par le blocus financier de l’Europe et des Etats-Unis.
Les tensions dans la bande de Gaza sont de plus en plus meurtrières. Depuis deux jours, les affrontements entre milices du Fatah et du Hamas ont fait trois morts et quatorze blessés. Ces affrontements sont, semble t il, le résultat direct de la pression émise par le blocus financier de l’Europe et des Etats-Unis.
Ultimatum
Ismaïl Hania, premier ministre palestinien, explique mardi soir : « Nous donnerons des instructions claires à tous les militants pour mettre fin aux initiatives armées et empêcher l'utilisation des armes […] Le gouvernement utilisera tous ses pouvoirs pour imposer la loi »
Les deux mouvements appellent a stopper « les échanges d'accusations à l'intérieur des mosquées, dans les médias et sur Internet », favorisant ainsi le dialogue, « seule option pour régler les différends ».
Les deux partis n’ont pas le choix, ils doivent s’entendre car rajoutant à la pression internationale, l’Etat d’Israël vient d’annoncer par le biais de son ministre de la justice, que si d’ici la fin de l’année, l’autorité palestinienne n’a pas prouvé son intention de faire la paix, les frontières définitives seront établies de manière unilatérale d’ici 2008.
Les deux mouvements appellent a stopper « les échanges d'accusations à l'intérieur des mosquées, dans les médias et sur Internet », favorisant ainsi le dialogue, « seule option pour régler les différends ».
Les deux partis n’ont pas le choix, ils doivent s’entendre car rajoutant à la pression internationale, l’Etat d’Israël vient d’annoncer par le biais de son ministre de la justice, que si d’ici la fin de l’année, l’autorité palestinienne n’a pas prouvé son intention de faire la paix, les frontières définitives seront établies de manière unilatérale d’ici 2008.