«Nous serions heureux qu'il y ait un imam, c'est clair», a affirmé Hisham Maizar, président de la Fédération des organisations faîtières islamiques le 21 janvier sur le site internet de «20 minuten».
Il estime que la présence d'un imam auprès des militaires pourrait contribuer à leur intégration. Pour lui, les musulmans ont une autre approche que les chrétiens sur ce qui touche la mort. En outre, ils se posent des questions en cas d'engagement armé contre un pays musulman.
Il est clair à ses yeux qu'un musulman dans l'armée doit d'abord être un soldat de l'armée suisse. Mais il devrait pouvoir aborder les questions religieuses avec un imam compétent.
Hisham Maizar est actuellement la personne de référence du chef de l'aumônerie en cas de nécessité. Il devrait pouvoir en tous temps faire appel à un imam, mais il n'est pas sûr d'y arriver dans des délais assez rapides, selon lui.
Des imams sont déjà engagés dans l'armée en Allemagne et en Autriche.
Bonnenouvelle.ch
Il estime que la présence d'un imam auprès des militaires pourrait contribuer à leur intégration. Pour lui, les musulmans ont une autre approche que les chrétiens sur ce qui touche la mort. En outre, ils se posent des questions en cas d'engagement armé contre un pays musulman.
Il est clair à ses yeux qu'un musulman dans l'armée doit d'abord être un soldat de l'armée suisse. Mais il devrait pouvoir aborder les questions religieuses avec un imam compétent.
Hisham Maizar est actuellement la personne de référence du chef de l'aumônerie en cas de nécessité. Il devrait pouvoir en tous temps faire appel à un imam, mais il n'est pas sûr d'y arriver dans des délais assez rapides, selon lui.
Des imams sont déjà engagés dans l'armée en Allemagne et en Autriche.
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