"Nous pensons que le succès de cette stratégie dépendra au final de la capacité ou non des hommes politiques irakiens à s'accorder sur un certain nombre de questions clés" écrivent les parlementaires concernant la politique menée par Bush et Blair en Irak. "Il est trop tôt pour fournir une évaluation définitive" poursuivent-ils s'agissant de l'envoi de 30 000 hommes supplémentaires en Iraq décidé par le Président américain Geaorge W. Bush, estimant que cette stratégie "paraît ne pas devoir réussir".
Concernant la dernière guerre entre Israël et le Liban, le rapport parlementaire juge "disproportionnées" les frappes israéliennes au Liban. De même, les parlementaires estiment que si Londres avait réclamé plus rapidement un cessez-le-feu, les victimes de part et d'autre auraient été moindre et auraient permis de ne pas "compromettre les chances de trouver une solution de long terme à la crise".
S'agissant des derniers troubles interpalestiniens qui ont vu s'opposer le Hamas, vainqueur des dernières élections législatives, au Fatah du Président palestinien Mahmoud Abbas, la commission des Affaires étrangères du parlement britannique critique le fait que le gouvernement mené par Tony Blair a choisi "la politique de la Cisjordanie d'abord", ne traitant ainsi qu'avec le Fatah et mettant le Hamas et la Bande de Gaza. Cette attitude auraient selon les parlementaires, compromis les chances de paix.
Concernant la dernière guerre entre Israël et le Liban, le rapport parlementaire juge "disproportionnées" les frappes israéliennes au Liban. De même, les parlementaires estiment que si Londres avait réclamé plus rapidement un cessez-le-feu, les victimes de part et d'autre auraient été moindre et auraient permis de ne pas "compromettre les chances de trouver une solution de long terme à la crise".
S'agissant des derniers troubles interpalestiniens qui ont vu s'opposer le Hamas, vainqueur des dernières élections législatives, au Fatah du Président palestinien Mahmoud Abbas, la commission des Affaires étrangères du parlement britannique critique le fait que le gouvernement mené par Tony Blair a choisi "la politique de la Cisjordanie d'abord", ne traitant ainsi qu'avec le Fatah et mettant le Hamas et la Bande de Gaza. Cette attitude auraient selon les parlementaires, compromis les chances de paix.