Que chacun donne sa définition de la compassion. Cette valeur universelle inscrite dans toutes les confessions et en chacun des êtres humains pour un meilleur respect des uns et des autres. C’est en substance ce que propose Karen Armstrong, essayiste britannique, spécialiste de l’étude des religions comparées. Elle est à l’origine d’un projet prônant l’harmonie entre les religions et les peuples du monde. D’ailleurs, depuis le 14 novembre, chacun est invité à partager son expérience de la compassion sur le site www.charterforcompassion.org. Et depuis le 20 novembre, la participation est ouverte à la rédaction collaborative de ce texte.
Pour Karen Armstrong, « la tâche de notre génération, que nous soyons religieux ou laïcs est de construire une communauté mondiale où des personnes de toutes convictions puissent vivre ensemble en paix et en harmonie. »
Dans le journal britannique, The Guardian, elle précise que « cette charte ne sera pas seulement une déclaration d’intention, mais un appel à l’action concrète : en demandant aux prédicateurs, par exemple, de mettre l’accent sur l’importance de bonnes relations interconfessionnelles ; invitant les chercheurs à examiner les passages difficiles de leurs écritures, et en demandant aux éducateurs de trouver des moyens de présenter la compassion aux jeunes en tant qu’idéal dynamiques et attractif ».
Mais quoi de nouveau par rapport aux multiples initiatives qui existent déjà ? « Notre but est de mettre en lumière ces groupes dans l’effort d’améliorer la visibilité de leur travail ». Un regroupement œcuménique d’associations est partenaire de cette démarche, comme la Conférence internationale des religions pour la paix ou l'Alliance des civilisations, sous l'égide des Nations Unies.
Bien que, Karen Armstrong, auteur prolifique dont plusieurs ouvrages ont été traduits en français, « n’est pas toujours bien apprécié des universitaires et du clergé », comme le rappelle USA Today qui relaye l'initiative, ce projet a toutefois reçu la participation de chercheurs, intellectuels ou hommes de foi tels Desmond Tutu, Tariq ramadan ou Ali Asani, professeur de langue et culture indo-musulmane à l’université de Harvard aux Etats-unis. Ils composent le « Conseil des sages », chargé de réunir et formaliser toutes les contributions pour aboutir à la version finale de la Charte dès 2009. Et plus largement, de grands noms de l’industrie de l’internet et d’Hollywood soutiennent cette initiative. Parmi eux Larry Page et Sergei Brin, fondateurs de Google ; mais également d’acteurs comme Forest Whittaker et Cameron Diaz.
Pour Karen Armstrong, « la tâche de notre génération, que nous soyons religieux ou laïcs est de construire une communauté mondiale où des personnes de toutes convictions puissent vivre ensemble en paix et en harmonie. »
Dans le journal britannique, The Guardian, elle précise que « cette charte ne sera pas seulement une déclaration d’intention, mais un appel à l’action concrète : en demandant aux prédicateurs, par exemple, de mettre l’accent sur l’importance de bonnes relations interconfessionnelles ; invitant les chercheurs à examiner les passages difficiles de leurs écritures, et en demandant aux éducateurs de trouver des moyens de présenter la compassion aux jeunes en tant qu’idéal dynamiques et attractif ».
Mais quoi de nouveau par rapport aux multiples initiatives qui existent déjà ? « Notre but est de mettre en lumière ces groupes dans l’effort d’améliorer la visibilité de leur travail ». Un regroupement œcuménique d’associations est partenaire de cette démarche, comme la Conférence internationale des religions pour la paix ou l'Alliance des civilisations, sous l'égide des Nations Unies.
Bien que, Karen Armstrong, auteur prolifique dont plusieurs ouvrages ont été traduits en français, « n’est pas toujours bien apprécié des universitaires et du clergé », comme le rappelle USA Today qui relaye l'initiative, ce projet a toutefois reçu la participation de chercheurs, intellectuels ou hommes de foi tels Desmond Tutu, Tariq ramadan ou Ali Asani, professeur de langue et culture indo-musulmane à l’université de Harvard aux Etats-unis. Ils composent le « Conseil des sages », chargé de réunir et formaliser toutes les contributions pour aboutir à la version finale de la Charte dès 2009. Et plus largement, de grands noms de l’industrie de l’internet et d’Hollywood soutiennent cette initiative. Parmi eux Larry Page et Sergei Brin, fondateurs de Google ; mais également d’acteurs comme Forest Whittaker et Cameron Diaz.