Ce 25 septembre, le portrait géant d’Abdenour Tataï, tendu sur une façade, semble accueillir les participants au troisième Forum social des quartiers populaires (FSQP) qui se réunissent entre quatre barres d’immeubles aux murs délabrés et aux volets dévorés par la rouille.
Abdenour Tataï, mort il y a un an dans un accident de voiture, était le président de l’association montpelliéraine « Justice pour le Petit-Bard » et militant du Mouvement immigration et banlieue (MIB). Pendant des années, il a été le porte-voix des habitants contestant les politiques désastreuses menées sur le quartier et la gestion prédatrice des différents syndics de « la plus grande copropriété de France ».
Difficile de trouver meilleur parrainage et lieu plus symbolique pour le troisième rendez-vous de ce Forum social, après ceux de Saint-Denis et de Nanterre en banlieue parisienne.
Cette fois, le programme est minimal : de la dizaine de thèmes développés les années précédentes, de l’éducation à la mémoire de l’immigration, de l’islamophobie à l’apartheid urbain, seules subsistent les luttes contre les violences policières et une matinée consacrée aux solidarités internationales avec la Kanaky, la Palestine et l’Afrique.
Lire suite et article complet
Auteur : Eric Simon - 15/10/2009
Source : www.bastamag.net
Abdenour Tataï, mort il y a un an dans un accident de voiture, était le président de l’association montpelliéraine « Justice pour le Petit-Bard » et militant du Mouvement immigration et banlieue (MIB). Pendant des années, il a été le porte-voix des habitants contestant les politiques désastreuses menées sur le quartier et la gestion prédatrice des différents syndics de « la plus grande copropriété de France ».
Difficile de trouver meilleur parrainage et lieu plus symbolique pour le troisième rendez-vous de ce Forum social, après ceux de Saint-Denis et de Nanterre en banlieue parisienne.
Cette fois, le programme est minimal : de la dizaine de thèmes développés les années précédentes, de l’éducation à la mémoire de l’immigration, de l’islamophobie à l’apartheid urbain, seules subsistent les luttes contre les violences policières et une matinée consacrée aux solidarités internationales avec la Kanaky, la Palestine et l’Afrique.
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Auteur : Eric Simon - 15/10/2009
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