L’actrice Corinne Masiero, que l’on a récemment vu dans les films Louise Wimmer et Discount, sera la marraine de la 13e édition du festival de cinéma de la Caisse centrale d'activités sociales (CCAS), organisé en marge du mythique festival de Cannes.
Avec Visions Sociales, onze films venus d’Iran, du Liban, de Syrie, du Kurdistan, d'Israël et de Palestine seront mis en avant du 13 au 24 mai. Parole sera donné aux réalisateurs invités afin d’échanger sur les spécificités du cinéma arabe, qui aborderont par la même occasion « La question d’Orient », en collaboration avec le Panorama des cinémas du Maghreb et du Moyen-Orient (PCCMO) qui s'est achevé le 19 avril et la Biennale Proche-Orient dont la 7e édition aura lieu du 27 novembre au 8 décembre 2015.
Parmi les films sélectionnés, nous pourrons découvrir ces deux réalisations :
Les Gracieuses, de Fatima Sissani, nous propose de porter un regard souriant sur la banlieue à travers l’amitié de six jeunes femmes, copines depuis l’enfance. La réalisatrice (qui est la tante de l’une d’entre elles) nous fait partager leurs visions de la religion, des relations hommes-femmes, de la politique, du travail et de la sexualité.
Notre terrible pays, de Mohammad Ali Atassi et Ziad Homsi, accompagne le périple de Yassin Haj Saleh, un célèbre intellectuel et dissident syrien, et Ziad Homsi, jeune photographe. Les deux hommes voyagent ensemble, de la région libérée de Douma/Damas vers Raqqa, au nord de la Syrie. Une plongée dans la guerre qui dure depuis maintenant quatre ans.
Avec Visions Sociales, onze films venus d’Iran, du Liban, de Syrie, du Kurdistan, d'Israël et de Palestine seront mis en avant du 13 au 24 mai. Parole sera donné aux réalisateurs invités afin d’échanger sur les spécificités du cinéma arabe, qui aborderont par la même occasion « La question d’Orient », en collaboration avec le Panorama des cinémas du Maghreb et du Moyen-Orient (PCCMO) qui s'est achevé le 19 avril et la Biennale Proche-Orient dont la 7e édition aura lieu du 27 novembre au 8 décembre 2015.
Parmi les films sélectionnés, nous pourrons découvrir ces deux réalisations :
Les Gracieuses, de Fatima Sissani, nous propose de porter un regard souriant sur la banlieue à travers l’amitié de six jeunes femmes, copines depuis l’enfance. La réalisatrice (qui est la tante de l’une d’entre elles) nous fait partager leurs visions de la religion, des relations hommes-femmes, de la politique, du travail et de la sexualité.
Notre terrible pays, de Mohammad Ali Atassi et Ziad Homsi, accompagne le périple de Yassin Haj Saleh, un célèbre intellectuel et dissident syrien, et Ziad Homsi, jeune photographe. Les deux hommes voyagent ensemble, de la région libérée de Douma/Damas vers Raqqa, au nord de la Syrie. Une plongée dans la guerre qui dure depuis maintenant quatre ans.
Plusieurs films déjà sortis en salle seront aussi projetés, dont Timbuktu, d’Abderrahmane Sissako, Eau argentée, un documentaire sur la guerre syrienne d'Ossama Mohamed et Wiam Simav Bedirxan, montée à partir de vidéos postées sur le Web ou encore My Sweet Pepper Land de Hiner Saleem.
La clôture du festival, dont l'accès est gratuit et libre, se fera en images et en musique avec une performance audiovisuelle de l’auteur, compositeur et interprète libanais Rayess Bek (Waël Koudaih).
La clôture du festival, dont l'accès est gratuit et libre, se fera en images et en musique avec une performance audiovisuelle de l’auteur, compositeur et interprète libanais Rayess Bek (Waël Koudaih).
Quatre mois après les attentats de janvier, le festival de Cannes voit son dispositif de surveillance rehaussé. Il comprendra pour la première fois un centre de commandement unique pour toutes les forces de l'ordre. Aux 500 policiers présents s’ajouteront des CRS, des renforts ponctuels de la région mais aussi des agents en civil et la surveillance de la zone maritime et des grands axes routiers. Sans compter les gardes du corps des stars... Cannes sera plus que jamais blindé.
La programmation de Visions Sociales
La programmation de Visions Sociales
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