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A Kamel Daoud : face aux déviances, la faute n'est pas celle de l'islam

 Melen
Mercredi 13 Avril 2016

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Je me suis toujours demandé pourquoi le viol en réunion était devenu une tournante lorsque ça s'était produit en banlieue.
Inutile de préciser à quoi je fais référence. On a parlé de ce viol pendant des années.
 Melen
Mercredi 13 Avril 2016

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Je n'ai jamais compris cette focalisation sur les femmes.
Dans les pays ou les libertés individuelles sont inexistantes elles le sont pour les hommes aussi.
Les Talibans obligent autant les hommes que les femmes à se conformer à leurs lois.
Ils obligent les hommes à aller à la mosquées cinq fois par jour.
Pourquoi parle t-on toujours des femmes comme si les hommes étaient inexistants, comme s'ils étaient demandeurs de dictatures contrairement aux femmes.
En Arabie idem. Ce sont des lois qui privent les hommes autant que les femmes de liberté individuelles.
Ce ne sont pas des lois islamiques mais des lois saoudiennes. Pour les coranistes l'obligation du port du voile n'existe pas par exemple, Selon le courant que l'on adopte l'islam n'est pas le meme. Donc il n'y a pas d'islam mais des islam. Pourquoi parle t-on d'islam plutôt que des oppresseurs.
Si l'on est sensé on ne montre pas du doigt les oppressés mais les oppresseurs.
Qu'ils soient officiels ou officieux.