Merci pour ne pas oublier les victimes collatérales, c'est important : les policiers, journalistes et personnels de l'hebdomadaire morts pour que puisse être satisfate la "sacro-sainte" liberté d'expression. On nous rebat les oreilles avec les dessinateurs mais combien de millions ont défilé pour célébrer la mémoire des enfants, civiles et militaires abattus par M.MERAT...? Ils ont pourtant, vu du ciel, autant de valeur que ceux un peu rapidement hissés au rang de héros.