A une époque où le parti communiste était encore fort et bien debout en URSS, le parti socialiste français, fière d’avoir réussi l’alternance avec la droite à la tête de la France, tout en en faisant semblant de rivaliser avec son antagoniste de gauche, il ne faisait en réalité que se nourrir de ses principes en suivant ses exemples. A la chute de son aîné, le parti socialiste, croyant profiter de l’aubaine, s’est hâté d’occuper le terrain laissé libre. Faute de maître, il s’est mis à l’aveuglette à drainer les peuples sous développés. Pour avoir prêché avec trop de zèle la libération sexuelle, pour avoir cherché, sous son seul modèle, faisant fi aux principes spécifiques de chaque société, la libération de la femme, pour avoir combattu pour le triomphe de l’homosexualité avec légitimation du mariage, cette formation politique n’a semé que la dépravation ne récoltant que le mécontentement avec fougue des masse populaires. Ces idées qu’on croyait nouvelles alors que ce n’était qu’un retour à la barbarie, sont à l’origine de tous les clivages. Il faut stopper la dégringolade par un retour à la sagesse. Les frictions mutuelles consécutives à la fierté et la jalousie vous mènent tout droit vers une chute verticale. Le parti socialiste ne semble plus avoir l'intelligence nécessaire pour analyser sa propre position et siotuation.