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Contre le mariage pour tous, l’UOIF mobilise ses troupes

 jodeph Vazquez
Lundi 14 Janvier 2013

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Mariage pour tous
Je me contrefous du mariage gay (il faut appeler un chat « un chat ») car ça ne me concerne pas le moins du monde. Puisqu’on autorise déjà les bourre-anus et les broute-minous à faire leurs petites affaires légalement, et même à s’exhiber effrontément lors de la gay-pride, pourquoi ne pourraient-ils pas aussi se marier pour perpétrer la race ? Grand bien leur fasse ainsi qu’à tous les homophiles, qui sont si larges d’esprit, auxquels je souhaite d’en faire le plein pour égayer leurs familles jusqu’à y éteindre totalement la normalité hétéro !

Pour nous rabâcher qu’homo lave plus blanc et formater les esprits, la propagande socialiste va bon train. Elle a sorti la grosse artillerie question sondages favorables bidonnés (à défaut de référendum sur la question), d’actualités et de documentaires émouvants sans oublier les fictions attendrissantes. C’est comme de la mauvaise viande qu’on passe au hachoir pour qu’elle devienne malgré tout consommable et qu’on puisse quand même la fourguer.

Ceux qui manifestent aujourd’hui contre le « mariage pour tous », surtout les religieux dont les croyances condamnent sans appel l’homosexualité, ne sont que des pleutres faux-culs qui n’assument pas leurs véritables sentiments. La plupart ne font que redouter que la manifestation claire de leur homophobie soit pénalement condamnable. Ils semblent ignorer que ce sont uniquement les discriminations et les injures qui sont répréhensibles et non pas la liberté (d’expression) de préciser qu’on n’est personnellement pas d’accord pour mettre son sexe dans du caca. Tant qu’on n’empêche pas les amateurs de le faire ! Désolé si c’est un peu cru mais ça a au moins le mérite d’être explicite…

Moi, ce qui m’intéresse davantage, ce sont les gens normaux qui cherchent désespérément à se marier et n’y parviennent pas à cause des obstacles causés par les exigences excessives des candidat(e)s au mariage, de leurs parents ou des agences matrimoniales mercantiles. C’est plutôt à ça qu’il faudrait s’intéresser si on veut éviter que les protagonistes recourent à des méthodes de drague peu orthodoxes, aux flirts virtuels sur Internet et aux plaisirs interdits. Et c’est la responsabilité de tous qui est engagée si on ne cherche pas radicalement et rapidement des solutions pour empêcher les mariages des « carpes et des lapins » et pour faciliter les unions compatibles entre croyants convaincus de la justesse de leur foi.