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Début des cours à l'institut catholique de Paris Rabih
L’URSSAF sanctionne sévèrement la Mosquée de Paris pour sa mauvaise et désastreuse gestion
Le 13 novembre 2007-11-19 Période vérifiée : du 01/2004 au 31/12/2006 Vérificateur : M. Thierry Croisille Objet du contrôle : application de la législation de la sécurité sociale. Le contribuable algérien paye Après un contrôle approfondi qui a duré plusieurs mois, l’Urssaf de Paris a procédé à un redressement pour des actes irréguliers commis par la Mosquée de Paris. Ce redressement a été chiffré à la somme de 47 945 euros à laquelle il y a lieu d’ajouter les intérêts de retard et les pénalités. Les irrégularités les plus flagrantes démontrent la mauvaise gestion caractérisée, l’incompétence et la malhonnêteté des responsables qui dirigent cette illustre institution qu’est la Mosquée de Paris. Un chèque d’un montant de 8102,61 euros, dont le bénéficiaire n’a pas été identifié : cette somme importante dont la source est bien évidemment l’argent des fidèles, n’est pas perdue pour tout le monde, car l’Urssaf n’ayant pas trouvé le bénéficiaire, a estimé qu’il s’agissait d’un salaire et a taxé d’office la Mosquée de Paris de 3894 euros. Qui a profité des 8102, 61 euros ? Le seul signataire à la Mosquée de Paris, c’est le Recteur (sic…) Le responsable chargé de la sécurité personnelle de Docteur Dalil Boubakeur a perçu des rémunérations sans que la Mosquée de Paris n’effectue un simple contrôle pour s’assurer de l’existe,nce d’un statut légal de ce soi-disant prestataire de service, en l’occurrence la SARL International SECURITY BDYGARD, société jamais immatriculée auprès de l’URSSAF. M. Abdelmalek OSMAN a trompé la Mosquée de Paris avec la complicité de M. Benamara Miloud qui est chargé de vérifier, lors de l’embauche, les CV en tant que directeur de l’Administration. Donc redressement de L’URSSAF d’un montant de 3049 euros grâce à une négligence ou à une complicité ! Il en est de même pour le piètre chargé de communication , M. NADOR Slimane, qui, depuis son recrutement à la Mosquée de Paris, s’est illustré par son alcoolisme, son incompétence et son absentéisme , ce qui donne une image très négative de la Mosquée de Paris, avec un silence complice du Recteur qui déclare ne pas pouvoir le licencier, car protégé par une personnalité influente. Slimane NADOR percevait des indemnités, se faisant passer pour un prestataire de service, déclaré légalement aux différents organismes légaux, alors qu’il agissait clandestinement. La consultation du fichier au sein des tribunaux de commerce a confirmé sa cessation d’activité libérale. Grâce à cette fausse déclaration , la Mosquée de Paris se voit redresser sur la somme de 23 990 euros pour les années 2004 et 2005 pour une rémunération mensuelle de 2286,74 euros. Depuis, son salaire est de 3000 euros mensuel pour 4 heures de travail par jour, ou plutôt de présence dans les couloirs de la Mosquée, avec la bénédiction de son ami Benamara Miloud et la passivité du Recteur. Ces agissements malhonnêtes ont sanctionné la Mosquée de Paris pour un redressement important avec l’argent du contribuable algérien, car l’Algérie subventionne cette institution avec largesse, alors qu’en Algérie le chômage touche notre jeunesse. L’URSSAF a également procédé à un redressement concernant un prêt de 4000 euros consenti à M. Cheikh ALSID, parent de Dalil Boubakeur. Cet abandon de créance a été intégré comme avantages en espèces et le redressement a été de 1320 euros que la Mosquée de Paris paie. Pourquoi Miloud BENAMARA n’a pas retenu ce prêt sur les salaires de Cheikh ALSID, car il est responsable de l’Administration ? Négligence, incompétence ou simplement cadeau fait par Dalil Boubakeur à son parent ? Que dire du jugement rendu par le Conseil des Prud’Hommes qui a condamné la Mosquée de Paris à verser la somme de 20 639,32 euros à M. Mostefa MEDJADJI et pour laquelle il y a eu un redressement de 9825 euros, soit un total de 30464,32 euros payé par l’institution. Qui paie ? Argent des bienfaiteurs et subvention de l’Algérie, pays que Dalil Boubakeur ne porte pas dans son cœur. Quant à Miloud Benamara, il aurait dû être licencié au vue de cette vérification, car sa négligence est manifeste, sans compter son incompétence. On ne peut passer de chauffeur de bus en Algérie au statut de directeur de l’administration à la Mosquée de Paris. M. Miloud Benamara n’est titulaire d’aucun diplôme, d’aucune expérience en matière financière et comptable, encore moins en matière de ressources humaines et perçoit le salaire le plus élevé après le Recteur. Il occupe un appartement de fonction sans paiement de loyer et l’URSSAF a procédé à un redressement, car il s’agit d’un avantage : il ne paie ni téléphone, ni EDF/GDF, bénéficie de femmes de ménage de la Mosquée et même de la nourriture qu’on lui porte à domicile, car il tient la bourse de la Mosquée et le personnel le chouchoute. Pour mettre à sa carence intellectuelle, il suit actuellement des cours payés par la Mosquée de Paris 4 jours par semaine. Il a d’autres préoccupations quotidiennes que celles d’agir en contrepartie du salaire qu’il perçoit. Toutes ces malveillances de ces sinistres personnages d’ailleurs complices( NADOUR, BENAMARA) ternissent encore une fois la réputation de la malheureuse Mosquée Paris. Il faut rappeler que Benamara Miloud était un clandestin notoire avant sa régularisation. Il a déjà fait sanctionner la Mosquée de Paris. Il avait un titre de séjour de visiteur qui ne lui donnait pas le droit d’être salarié. Toute ces dérives se passent sous le regard complaisant et irresponsable de Dalil Boubakeur. Ce dernier ne s’intéresse pas à la gestion de la Mosquée de Paris, sa préoccupation première est de tirer tous les avantages dus à sa position : décorations, médias, la Fondation des Œuvres de l’Islam, FNGMP…) dont il est incapable de gérer. Il utilise ses titres pour se glorifier et s’autoproclamer « chef des musulmans ». Pour un mécréant qui ne pratique même pas sa religion, il ne fait pas sa prière, c’est une insulte pour l’Islam et les musulmans qui d’ailleurs, n’ont aucune considération ni estime à son égard en commençant par sa propre « communauté », c’est à dire les algériens de France. Il est temps, pour ceux qui décident des intérêts de la Mosquée de Paris, d’envoyer cet « individu au musée de l’histoire » toujours accroché au bras de SEDDIKI Djelloul, son parent, lors des visites de personnalités, le faisant passer pour sénile, pour éventuellement prendre sa place, car ce dernier ne se gêne pas de se présenter devant les médias comme vice-Recteur. Si cet éventualité se confirme, après Dalil, les musulmans auront à la tête de la Mosquée de Paris un malade mental que même son cousin Dalil n’a pu soigner. Destinataires : M. Le Ministre des Affaires Religieuses M. L’Ambassadeur d’Algérie MM. les consuls généraux MM. les présidents de Fédérations MM. les Secrétaires Nationaux. Rabih
L'URSSAF sanctionne sévèrement la Mosquée de Paris pour sa mauvaise et désastreuse gestion
Le 13 novembre 2007-11-19 Période vérifiée : du 01/2004 au 31/12/2006 Vérificateur : M. Thierry Croisille Objet du contrôle : application de la législation de la sécurité sociale. Le contribuable algérien paye Après un contrôle approfondi qui a duré plusieurs mois, l'Urssaf de Paris a procédé à un redressement pour des actes irréguliers commis par la Mosquée de Paris. Ce redressement a été chiffré à la somme de 47 945 euros à laquelle il y a lieu d'ajouter les intérêts de retard et les pénalités. Les irrégularités les plus flagrantes démontrent la mauvaise gestion caractérisée, l'incompétence et la malhonnêteté des responsables qui dirigent cette illustre institution qu'est la Mosquée de Paris. Un chèque d'un montant de 8102,61 euros, dont le bénéficiaire n'a pas été identifié : cette somme importante dont la source est bien évidemment l'argent des fidèles, n'est pas perdue pour tout le monde, car l'Urssaf n'ayant pas trouvé le bénéficiaire, a estimé qu'il s'agissait d'un salaire et a taxé d'office la Mosquée de Paris de 3894 euros. Qui a profité des 8102, 61 euros ? Le seul signataire à la Mosquée de Paris, c'est le Recteur (sic…) Le responsable chargé de la sécurité personnelle de Docteur Dalil Boubakeur a perçu des rémunérations sans que la Mosquée de Paris n'effectue un simple contrôle pour s'assurer de l'existe,nce d'un statut légal de ce soi-disant prestataire de service, en l'occurrence la SARL International SECURITY BDYGARD, société jamais immatriculée auprès de l'URSSAF. M. Abdelmalek OSMAN a trompé la Mosquée de Paris avec la complicité de M. Benamara Miloud qui est chargé de vérifier, lors de l'embauche, les CV en tant que directeur de l'Administration. Donc redressement de L'URSSAF d'un montant de 3049 euros grâce à une négligence ou à une complicité ! Il en est de même pour le piètre chargé de communication , M. NADOR Slimane, qui, depuis son recrutement à la Mosquée de Paris, s'est illustré par son alcoolisme, son incompétence et son absentéisme , ce qui donne une image très négative de la Mosquée de Paris, avec un silence complice du Recteur qui déclare ne pas pouvoir le licencier, car protégé par une personnalité influente. Slimane NADOR percevait des indemnités, se faisant passer pour un prestataire de service, déclaré légalement aux différents organismes légaux, alors qu'il agissait clandestinement. La consultation du fichier au sein des tribunaux de commerce a confirmé sa cessation d'activité libérale. Grâce à cette fausse déclaration , la Mosquée de Paris se voit redresser sur la somme de 23 990 euros pour les années 2004 et 2005 pour une rémunération mensuelle de 2286,74 euros. Depuis, son salaire est de 3000 euros mensuel pour 4 heures de travail par jour, ou plutôt de présence dans les couloirs de la Mosquée, avec la bénédiction de son ami Benamara Miloud et la passivité du Recteur. Ces agissements malhonnêtes ont sanctionné la Mosquée de Paris pour un redressement important avec l'argent du contribuable algérien, car l'Algérie subventionne cette institution avec largesse, alors qu'en Algérie le chômage touche notre jeunesse. L'URSSAF a également procédé à un redressement concernant un prêt de 4000 euros consenti à M. Cheikh ALSID, parent de Dalil Boubakeur. Cet abandon de créance a été intégré comme avantages en espèces et le redressement a été de 1320 euros que la Mosquée de Paris paie. Pourquoi Miloud BENAMARA n'a pas retenu ce prêt sur les salaires de Cheikh ALSID, car il est responsable de l'Administration ? Négligence, incompétence ou simplement cadeau fait par Dalil Boubakeur à son parent ? Que dire du jugement rendu par le Conseil des Prud'Hommes qui a condamné la Mosquée de Paris à verser la somme de 20 639,32 euros à M. Mostefa MEDJADJI et pour laquelle il y a eu un redressement de 9825 euros, soit un total de 30464,32 euros payé par l'institution. Qui paie ? Argent des bienfaiteurs et subvention de l'Algérie, pays que Dalil Boubakeur ne porte pas dans son cœur. Quant à Miloud Benamara, il aurait dû être licencié au vue de cette vérification, car sa négligence est manifeste, sans compter son incompétence. On ne peut passer de chauffeur de bus en Algérie au statut de directeur de l'administration à la Mosquée de Paris. M. Miloud Benamara n'est titulaire d'aucun diplôme, d'aucune expérience en matière financière et comptable, encore moins en matière de ressources humaines et perçoit le salaire le plus élevé après le Recteur. Il occupe un appartement de fonction sans paiement de loyer et l'URSSAF a procédé à un redressement, car il s'agit d'un avantage : il ne paie ni téléphone, ni EDF/GDF, bénéficie de femmes de ménage de la Mosquée et même de la nourriture qu'on lui porte à domicile, car il tient la bourse de la Mosquée et le personnel le chouchoute. Pour mettre à sa carence intellectuelle, il suit actuellement des cours payés par la Mosquée de Paris 4 jours par semaine. Il a d'autres préoccupations quotidiennes que celles d'agir en contrepartie du salaire qu'il perçoit. Toutes ces malveillances de ces sinistres personnages d'ailleurs complices( NADOUR, BENAMARA) ternissent encore une fois la réputation de la malheureuse Mosquée Paris. Il faut rappeler que Benamara Miloud était un clandestin notoire avant sa régularisation. Il a déjà fait sanctionner la Mosquée de Paris. Il avait un titre de séjour de visiteur qui ne lui donnait pas le droit d'être salarié. Toute ces dérives se passent sous le regard complaisant et irresponsable de Dalil Boubakeur. Ce dernier ne s'intéresse pas à la gestion de la Mosquée de Paris, sa préoccupation première est de tirer tous les avantages dus à sa position : décorations, médias, la Fondation des Œuvres de l'Islam, FNGMP…) dont il est incapable de gérer. Il utilise ses titres pour se glorifier et s'autoproclamer « chef des musulmans ». Pour un mécréant qui ne pratique même pas sa religion, il ne fait pas sa prière, c'est une insulte pour l'Islam et les musulmans qui d'ailleurs, n'ont aucune considération ni estime à son égard en commençant par sa propre « communauté », c'est à dire les algériens de France. Il est temps, pour ceux qui décident des intérêts de la Mosquée de Paris, d'envoyer cet « individu au musée de l'histoire » toujours accroché au bras de SEDDIKI Djelloul, son parent, lors des visites de personnalités, le faisant passer pour sénile, pour éventuellement prendre sa place, car ce dernier ne se gêne pas de se présenter devant les médias comme vice-Recteur. Si cet éventualité se confirme, après Dalil, les musulmans auront à la tête de la Mosquée de Paris un malade mental que même son cousin Dalil n'a pu soigner. Destinataires : M. Le Ministre des Affaires Religieuses M. L'Ambassadeur d'Algérie MM. les consuls généraux MM. les présidents de Fédérations MM. les Secrétaires Nationaux. |
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