Connectez-vous S'inscrire

Deux musulmans au gouvernement néerlandais

 Abou-Abdillah
Jeudi 22 Février 2007

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Les preuves du hidjab (voile Islamique) dans le Coran


Le Hijab est une obligation religieuse


Source : http://www.alminhadj.com


De : Abu Hammad al Hayiti

Note : ce texte est une petite partie seulement du livre de notre frère Abu Hammad al Hayiti, qu’Allah le protège.

Comme vous le savez, beaucoup propagent des mensonges sur l’Islam, et notamment sur le voile.

Ils propagent que ce n’est pas une obligation, etc... Voici de quoi faire taire l’ignorance



Au Nom D’ Allah Le Très Miséricordieux Le Tout Miséricordieux



Comme les cinq prières par jour et le jeûne du ramadan, ordonné par
Allah et Son prophète (paix sur lui).

Lorsqu’une femme fait une demande d’emploi dans une compagnie et qu’elle trouve parmi les conditions du contrat qu’elle doit porter un uniforme, elle acceptera parfois de le porter même si c’est un bikini.

Pour avoir de l’argent, elle vend sa dignité et son honneur.

La femme musulmane a signé un contrat avec Allah en disant :

« Il n’y a pas de Divinité digne d’être adoré hormis Allah », et parmi les clauses de ce contrat, il y a le Hijab, et c’est une protection pour son honneur et sa dignité.

Il n’est pas étonnant de voir que certains hypocrites, ennemis de la pudeur et de la femme, essaient de nier l’obligation du voile, car ils ont nié ce qui est plus grand que cela auparavant.

De toute manière, toutes les preuves du monde sont inutiles à ces gens car, ce n’est pas leurs yeux qui sont Aveugles :

Allah dit : ( Ce sont les coeurs dans les poitrines qui s’aveuglent )
[Al-Hajj : 22 : 46]

Cependant, nous allons tout de même citer les preuves de l’obligation du Hijab, dans le Qor’an et dans la Sounnah, en faisant également référence aux savants de l’Islam, dans le but de faire profiter les frères et soeurs en Islam qui sont peut-être confus par les mensonges des mécréants et des hypocrites.

Et pour leur fournir les preuves sur le sujet.

Mais avant de rentrer dans le sujet des preuves du Hijab, nous devons clarifier un point très important qui est très mal compris même par les musulmans qui pratiquent l’Islam.



Le Hijab a deux définitions, une large et une détaillée :



1-La définition large du Hijab : C’est la séparation complète et totale de l’homme et de la femme étrangère de façon à ce que l’homme étranger ne la voit jamais.

Etranger : c’est à dire, licite au mariage

Voilà la raison pour laquelle l’Islam ordonne à la femme de demeurer dans sa maison et il ne lui est pas permis de sortir que pour une nécessité.

C’est pourquoi le prophète (paix sur lui) a clarifié que la prière de la femme dans sa maison est meilleure et a plus de valeur que sa prière dans la mosquée.

C’est aussi pourquoi l’homme et la femme doivent être séparé, même dans l’endroit le plus aimé d’Allah (la Mosquée).

Le prophète (paix sur lui) a clarifié que la meilleure rangée pour les hommes est la première et la pire est la dernière, tandis que la pire rangée pour la femme est la première et la meilleure est la dernière (voir dans Sahih Mouslim).

De plus, le prophète (paix sur lui) avait fait faire dans sa mosquée une sortie spécialement pour les femmes et il (paix sur lui) demandait aux hommes de rester un peu plus longtemps après la prière pour laisser le temps aux femmes de partir, pour éviter que les hommes et les femmes se mélangent sur la route.

De plus, bien que les femmes fussent bien voilées et couvertes de la tête aux pieds elles ne sortaient que pour les prières de Fajr et de ‘Isha’, car ce sont des prières où il fait noir et il est difficile à distinguer la femme, ce qui diminue les tentations.

Toutes ces précautions ont été prises par le prophète (paix sur lui) pour séparer les hommes et les femmes même dans la mosquée, alors les séparer dans les autres lieux (comme les écoles, les collèges, les lycées, les lieux de travail et les endroits publics) est plus obligatoire encore.

2-La définition détaillée du Hijab : C’est celle du vêtement que la femme doit porter en présence d’hommes étrangers, pour qu’ils ne puissent pas la voir et pour qu’ils ne soient pas tentés par ses charmes.

Ce vêtement n’est donc qu’une partie du Hijab, comme nous venons de l’expliquer, car le vrai Hijab consiste à séparer complètement et totalement la femme de l’homme étranger pour fermer toutes les portes aux tentations.

Ce point est très important, car la plupart du temps les écrivains qui ont écrit sur le sujet ne se sont concentrés que sur la définition détaillée et sur le vêtement de la femme.

Ce qui fait que l’on voit beaucoup de femmes voilées qui se mélangent et s’assoient avec des hommes étrangers dans les écoles, les cégeps et les universités et qui croient que cela est tout à fait permis alors que c’est Illicite!

Maintenant que ce point est clair, revenons-en aux preuves.

Première preuve :

Allah dit : (Ô prophète! Dis à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles (Jilbaab) : elles seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux) [Al-Ahzaab : 33 : 59]

Dans ce verset, Allah dit au prophète (paix sur lui) de dire à ses épouses, à ses filles et aux femmes des croyants :

* De ramener sur elles leurs grands voiles (Jalaabiib, pluriel de Jilbaab).

* Pour qu’elles soient reconnues comme étant des femmes libres et non des esclaves ou des femmes non-musulmanes.

* Et pour qu’elles ne soient pas offensées par les hypocrites pervers, lorsqu’elles sortent à l’extérieur.

Ibn Kathir1 dit:(Allah ordonne Son messager (paix sur lui) d’ordonner aux femmes croyantes – en commençant par ses épouses et ses filles, à cause de leur noblesse – de ramener sur elles leurs Jilbaab, pour les distinguer des femmes nonmusulmanes et des esclaves […]

As-Souddi1 dit que des gens parmi les pervers de Médine (des hypocrites) sortaient durant la nuit, profitant de l’obscurité, attendant que des femmes sortent pour aller faire leurs besoins, pour les agresser.

Lorsque la femme portait le Jilbaab ils disaient : C’est une femme musulmane libre et ne l’approchaient pas.

Et s’ils voyaient une femme sans Jilbaab ils disaient: C’est une esclave puis ils allaient vers elle (pour l’agresser).

Et Moujaahid2 dit : Elles portaient le Jilbaab pour faire savoir qu’elles étaient libres et pour que les pervers ne s’approchent pas d’elles.).

Même quatorze siècles plus tard, la même chose est vraie.

Les hommes qui ont peu de foi et de crainte d’Allah vont toujours vers les femmes qui n’ont pas de pudeur et qui portent des vêtements serrés et court, qui expose leurs atours, maquillée et parfumée, dans les rues et les endroits publics, car ils savent que ce sont des femmes qui cherchent à attirer les hommes (consciemment ou non).

Ils ne vont pas vers la femme voilée et chaste, car ils savent que c’est une femme qui se respecte.

Ils ne se comportent pas envers elle de la même manière.

On remarque aussi qu’il y a de moins en moins de différence, entre les vêtements des prostituées et entre les vêtements à la mode aujourd’hui, c’est pourquoi le Hijab crée un contraste total avec l’esprit de perversité du monde «moderne».

Un autre point important est que le Hijab, qui, au temps du prophète (paix sur lui), était un symbole de liberté, est interprété par les ennemis de la pudeur et de la femme aujourd’hui, comme étant un symbole d’esclavage de la femme!

Nous en parlerons avec plus de détails dans le chapitre 3.

En ce qui concerne le Jilbaab, Ibn Kathiir a rapporté (qu’il s’agissait en fait du «Ridaa’a» : une grande pièce de tissu, portée par dessus le Khimar1.

Ceci est l’opinion du compagnon Ibn Mas’oud2 et de plusieurs Taabi’iin (élèves de compagnons), parmi eux : Hasan al- Basri3, Qataadah, Ibraahiim an-Nakha’i1, ‘Atââ’ al-Khourasaani2, et il est (le Jilbaab) semblable au Izar aujourd’hui.)

L’Imaam Ibn Jariir At-Tâbari3 rapporte qu’Ibn ‘Abbas a dit : (Elles couvrent leurs visages à partir du dessus de leur tête avec le Jilbaab, et elles laissent paraître un seul oeil.)

Et il rapporte aussi que ‘Oubaidah As-Salmaani fut questionné par Ibn Siriin5 au sujet de ce verset et il dit : (Il (‘Oubaidah) couvrit sa tête et son visage avec son vêtement et laissa paraître un de ses yeux)

Al-Qourtoubi1 dit : (L’opinion correcte est que le Jilbaab est un vêtement qui couvre tout le corps.)

Puis il dit :(Les gens diffèrent en ce qui concerne la façon dont le Jilbaab doit être porté.

Ibn ‘Abbas et ‘Oubaidah as-Salmaani ont dit que le Jilbaab doit envelopper complètement le corps de la femme, de façon à ce que rien ne paraisse sauf un oeil pour qu’elle puisse voir.)

Certains hypocrites tentent de limiter cet ordre à l’époque du prophète (paix sur lui), mais cela est faux, car le sens du verset est général et le Qor’an et la Sounnah fut révéler pour qu’ils soient appliqués jusqu’au Jugement Dernier2.

Oum ‘Atiyyah a dit : «Le prophète (paix sur lui) nous a ordonné d’amener les jeunes filles, les femmes de maison et les femmes menstuées pour la prière de l’Aïd al-Fitr et de l’Aïd al-Adha.

En ce qui concerne la femme menstruée, elle ne fait pas la prière, mais elle assiste au bien et aux invocations des musulmans.

Je lui dis :«Ô prophète d’Allah! Certaines parmi nous n’ont pas de Jilbaab» Il répliqua : «Que leurs soeurs leurs prêtent des Jilbaabs à porter».

Ce qui prouve que le Jilbaab est obligatoire, sinon le prophète (paix sur lui) n’aurait pas ordonné aux femmes de prêter des Jilbaabs à celles qui n’en avaient pas.

On peut donc comprendre, d’après la description du Jilbaab faite par les compagnons du prophète (paix sur lui) et les Taabi’iins, que ce que plusieurs femmes considèrent aujourd’hui comme étant un Hijab, ne respecte pas du tout les conditions de la Shari’ah, cela sera expliqué en détail plus loin.

Deuxième preuve :

Allah dit : (Et dit aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu’elles rabattent leur voile (Khimar) sur leurs poitrines; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leur maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs soeurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu’elles possèdent, ou aux domestiques mâles qui n’ont pas d’envie pour les femmes, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu’elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l’on sache ce qu’elles cachent de leurs parures) [An-Nour : 24 : 31]

Allah dans ce verset s’adresse au prophète (paix sur lui), lui ordonnant de dire aux femmes croyantes :

* De baisser leur regards

* De garder leur chasteté.

* De ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît.

* De rabattre leurs voiles (Khoumour - pluriel de Khimar) sur leur poitrine.

* De ne montrer leurs atours qu’aux gens mentionnés.

* De ne pas frapper de leurs pieds de façon à faire savoir ce qui est caché de leurs parures.

Ibn Kathir dit : (Le Khimaar correspond au voile que la femme porte pour couvrir sa tête et c’est ce que les gens appellent al-Maqaani’, et Sa’iid Ibn Joubaïr dit : (Et qu’elles rabattent), signifie : qu’elles ajustent fermement.

(Leur Khimaar sur leur poitrine) signifie : sur leur cou et leur poitrine de façon à ce que rien ne soit visible.

Et Al-Boukhari a rapporté selon ‘A’ishah (la femme préférée du prophète), qu’elle a dit : «Qu’Allah remplisse les femmes Ansaars2 de miséricorde, car lorsqu’Allah a révélé ce verset, elles déchirèrent leurs couvertures pour se couvrir».

[…] et selon Sâfiyyah Bint Shaibah qu’elle dit : «Nous étions chez ‘A’ishah et les femmes mentionnèrent les mérites des femmes de Qouraïsh, alors ‘A’ishah dit : «Certes, les femmes de Qouraïsh ont bien des mérites, par contre je jure par Allah, que je n’ai jamais vu de meilleures femmes, et plus sincères envers le Livre d’Allah, ni plus croyantes en la révélation, que les femmes Ansaars.

Le verset de la Sourah An-Nour fut révélé, et leur maris rentrèrent chacun chez eux pour leur réciter ce qu’Allah avait révélé, chaque homme récite à sa femme, à sa fille, à sa soeur et à tous ses proches, ce que cette Sourah contient, et elles se précipitent, toutes sans exception, vers leurs couvertures pour se couvrir avec, en toute sincérité et avec foi en ce qu’Allah avait révélé dans Son Livre.

Les femmes sortirent le lendemain matin suivant pour prier derrière le prophète (paix sur lui), la tête couverte, comme si elles avaient des corbeaux sur la tête».)1

Le Sheikh ‘Abdul-‘Aziz Bin Baaz dit : (Ibn Mas’oud a dit : «Et (sauf ce qui en paraît) signifie : ce qui paraît des vêtements, car cela est pardonné».

Ce qu’il veut dire par «les vêtements», ce sont les vêtements qui n’exhibent pas les atours et qui ne sont pas causes de tentations. Par contre, ce qui est rapporté selon Ibn ‘Abbas, qu’il a interprété (sauf ce qui en paraît) comme étant le visage et les mains; nous devons le prendre comme étant avant l’obligation du Hijab.

Car après cela, Allah a ordonné de couvrir tout le corps comme cela a été expliqué dans les nobles versets de la sourah Al-Ahzab, et ce que ‘Ali ibn Talhah rapporte, prouve que c’est ce que voulait dire Ibn ‘Abbas, il dit :

«Allah a ordonné aux femmes croyantes, lorsqu’elles sortent de leurs maisons pour une nécessité quelconque, de couvrir leur visage à partir du dessus de leur tête avec leur Jilbaab et de ne laisser qu’un seul oeil paraître.».

Et Sheikh Al-Islam, Ibn Taimiyyah, ainsi que d’autres parmi les savants et les vérificateurs, ont expliqué cela.

Et c’est la vérité sur laquelle il n’y a pas le moindre doute.

En ce qui concerne ce qu’Abou Daoud a rapporté dans son recueil de Hadith, que ‘A’ishah a dit que Asma Bint Abi Bakr (sa soeur) est entrée chez elle, portant des vêtements légers, alors le messager d’Allah
(paix sur lui) détourna sa tête et dit:

«Ô Asma! Lorsqu’une fille atteint l’âge de puberté, Il n’est pas permis qu’on voit de son corps, exepté ceci et ceci» et il pointa son visage et ses mains.

Ce Hadith n’est pas authentique (Da’iif) dans sa chaîne de narrateur et il ne peut pas être attribué au prophète (paix sur lui) .

Car il est rapporté par Khalid Ibn Douraik selon ‘A’ishah, et il n’a jamais entendu de Hadith d’elle directement.

Donc, le Hadith est interrompu (Mounqati’) et c’est pourquoi Abou Daoud, après l’avoir rapporté a dit :

«Ce Hadith est Moursal, parce que Khalid n’a jamais rencontré ‘A’ishah et parce qu’un des narrateurs est Sa’d Ibn Bashir et il est faible (Da’iif) et ce qu’il rapporte ne peut pas être utilisé comme preuve».

Il y a un troisième problème dans le Hadith; c’est que Qataadah rapporte le Hadith «selon» (‘an) Khaalid Ibn Douraik, et il est Moudallis1.)2

Ibn Kathir dit a propos de (Et qu’elles ne frappent pas leurs pieds de façon que l’on sache ce qu’elles cachent de leurs parures) :

(Avant l’Islam, lorsque la femme marchait dans la rue et qu’elle portait à son pied un bracelet qui ne faisait pas de bruit, elle frappait le sol avec son pied pour que les hommes puissent entendre son tintement. Alors Allah a interdit aux croyantes de faire pareil.

La même chose est applicable si ses parures et ses atours sont couverts et qu’elle bouge d’une manière à faire paraître ce qui est caché, cela rentre aussi dans l’interdiction.)

Puis il mentionne ensuite l’interdiction pour la femme de sortir de chez elle parfumée, en citant les preuves de cela, puis il dit : (Cela comprend également l’interdiction pour la femme de marcher au milieu du chemin, pour ce que cela comporte d’exhibition (Tabarrouj).

Abou Daoud a dit selon Hamzah Ibn Abi Asiad Al- Ansaari, selon son père qu’il a entendu le prophète dire aux femmes alors qu’il sortait de la mosquée et que les hommes s’étaient mélangés avec les femmes sur le chemin :

«Écartez-vous, car il ne convient pas de vous approprier le chemin. Prenez plutôt le bord du chemin».

Depuis ce jour, les femmes marchaient en se frottant au mur et leurs vêtements s’accrochaient aux murs tellement elles s’y collaient.)1

Troisième preuve :

Allah dit : (Et quant aux femmes qui n’espèrent plus le mariage, nul reproche à elles d’enlever leurs vêtements de (sortie) (le Jilbaab), sans cependant exhiber leurs atours et si elles cherchent la chasteté c’est mieux pour elles. Allah a connaissance de toutes choses) [An-Nour : 24 : 60]

Le Sheikh Ibn Jariir At-Tabari a dit : (Le Très-Haut a dit : Les femmes qui ne peuvent plus avoir d’enfants, à
cause de leur âge avancé, qui n’ont plus de menstruations et qui n’enfante plus; (Qui n’espèrent plus le mariage) ; C’est à dire : Celles qui ont désespéré de se trouver un époux et qui ne pensent plus aux hommes.

(Nul reproche à elles d’enlever leurs vêtements de (sortie)) ; C’est à dire : leur Jilbaab : qui est le Qinaa’ (une grande couverture), qui est portée sur le Khimaar.

Et le Ridaa’a qui est porté par-dessus les vêtements.

Et il n’y a pas de blâme pour elles de ne pas porter cela devant les proches «Mahaarim»1 ou devant les étrangers qui ne font pas partie des proches, sans toutefois exhiber leurs atours.

Et concernant ce que nous avons mentionné les savants de l’explication du Qor’an ont dit d’après Ibn ‘Abbas :

(Et quant aux femmes qui n’espèrent plus le mariage (atteintes par la ménopause)) c’est la femme qui n’a pas de reproche à s’asseoir dans sa maison avec une robe et un Khimar, et elle enlève le Jilbaab tant qu’elle n’exhibe pas ce qu’Allah déteste. Et c’est ce qu’Il dit :
(Nul reproche à elles d’enlever leurs vêtements de (sortie), sans cependant exhiber leurs atours) Puis

Il dit : (Et si elles cherchent la piété c’est mieux pour elles).

‘Oubaid a dit :«J’ai entendu Ad-Dâhhaak dire à propos de (d’enlever leurs vêtements de (sortie): cela signifie :le Jilbaab : qui est le Qinaa’ et ça concerne la femme âgée qui ne peut plus enfanter.

Le fait de ne pas porter le Jilbaab par dessus le Khimaar ne lui nuit pas, cependant, toute autre femme musulmane libre (c’est à dire, qui n’est pas esclave), est obligée de porter son Jilbaab par dessus le Khimar lorsqu’elle atteint la puberté.

Et Allah dit dans Sourah Al-Ahzaab :(De ramener sur elles leur grand voile (Jilbaab) elles seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées.)[33 :59]).

Puis il rapporte selon Moujahid, avec sa chaîne de narrateurs qu’il a dit :((Leurs vêtements de (sortie)) «c’est : le Jilbaab». Et Ibn Zaid a dit : «c’est enlever le Khimar», et Ibn Mas’oud a dit : «C’est le Jilbaab ou le Ridaa’a ou le Milhafah1» (une couverture porté par dessus les vêtements)).

Jusqu'à ce qu’il dise :((Et si elles cherchent la chasteté, c’est mieux pour elles) cela signifie : que si elles sont chastes et pudiques et qu’elles sont timides d’enlever leur Jilbaab et leurs Rida’a; le porter est mieux pour elles que de l’enlever.

Les savants du Tafsiir on rapporté ce que nous avons dit.) Puis il cite selon Moujaahid avec la chaîne de narrateurs, disant :(«Qu’elles portent le Jilbaab.» Et selon Ash-Sha’bi qu’il dit : «Laisser tomber cela», c’est à dire, qu’elles laissent tomber la permission d’enlever le Jilbaab.)2

Lorsqu’on lit l’explication de ces savants, on constate que ce qui se passe aujourd’hui est tout à fait contraire à ce que le verset ordonne, car la plupart du temps, ce sont les femmes âgées qui se voilent, alors que les jeunes
femmes se découvrent et exposent leurs atours aux hommes.

Mais s’il est mieux pour les femmes d’âge avancé de chercher la chasteté en portant le Jilbaab, cela est encore plus important pour la femme qui est jeune et attirante, car elle est une source de tentation plus grande pour les hommes de tout âge. Son péché, en ne couvrant pas son corps et en exhibant ses charmes et ses atours est beaucoup plus grave que celui de la vieille femme, qui général n’est pas convoité par les hommes. La femme âgée n’a la permission de découvrir que son visage et ses mains en enlevant le Jilbaab, alors que dire de la jeune femme, qui en plus de montrer son visage et ses mains, montre ses cheveux, son cou, sa poitrine, ses cuisses et ses jambes, ses bras etc.

Ibn Kathiir dit :(Ibn ‘Abbas a dit que : «le verset (Et dit aux croyantes de baisser leurs regards…) [Al- Ahzaab : 24 : 31], fut abrogé par celui-là (le verset de la troisième preuve) et la seule exception est les vielles femmes qui n’ont plus leurs règles et qui n’espèrent plus de se marier. Ibn Mas’oud dit :«(Nul reproche à elles d’enlever leurs vêtements de (sortie)) signifie :

Le Jilbaab ou le Ridaa’a». La même chose a été dite par Ibn Abbas, Ibn ‘Omar, Moujaahid, Sa’iid Ibn Jubair, Abi Sha’thah, Ibraahiim An-Nakha’i, Al-Hasan, Qataadah, Az-Zouhri, Al- Awzaa’i1 et d’autres.)2


Le Sheikh Ibn Baaz dit au sujet de ce verset :(Allah nous informe dans ce verset que les femmes âgées qui n’espèrent plus le mariage n’ont aucun reproche à enlever les vêtements qui couvrent leurs visages et leurs mains, pourvu qu’elles n’exhibent pas leurs atours. À partir de cela, on peut comprendre que celle qui exhibe ses atours n’a pas le droit d’enlever ses vêtements de sortie et qu’il y a un reproche contre elle si elle le fait, même si elle est vieille.

Car un homme peut être attiré par une femme malgré son âge avancé, et parce que l’exhibition (at-Tabarrouj) peut créer de la tentation même lorsqu’une femme est vieille.

Que dire alors, du cas de celle qui est jeune et belle, lorsqu’elle expose ses atours ?

Il n’y a pas de doute que son péché est plus grave, que son reproche est plus sévère et que la tentation dont elle est la cause est plus grande. De plus, Allah a mis comme condition pour que la vieille femme (puisse enlever son Jilbaab), qu’elle n’espère plus le mariage, et ce n’est que – et Allah sait mieux – parce que si elle espère le mariage, elle sera poussée à se faire belle, à exhiber ses atours dans le but d’attirer les hommes, il lui fut donc interdit d’enlever ses vêtements de sortie pour la protéger, elle et les gens qui l’entourent, de la tentation.

Puis Il termina le verset en incitant les vieilles femmes à la chasteté et Il expliqua que cela était mieux pour elles que d’enlever leurs vêtements de sortie, même si elles n’exhibent pas leurs atours.

On voit donc par cet exemple, le mérite de se voiler et de se couvrir avec les vêtements de sortie (le Jilbaab). Il faut donc obligatoirement, que le Hijaab et la chasteté d’exhiber ses atours soient, à plus forte raison, mieux pour les jeunes filles et plus loin encore de la tentation.)1

Quatrième preuve :

Allah dit : (Restez dans vos foyers; et ne vous exhibez pas (Tabarrouj) à la manière des femmes
d’avant l’Islam (al-Jaahiliyyah, le temps de l’ignorance)) [Al-Ahzaab : 33 : 33]

Ibn Kathiir dit :((Restez dans vos foyers) signifie : demeurez dans vos maisons et ne sortez pas sans nécessité)2

Le Sheikh Bin Baaz dit :(Allah dit aux mères des croyants (les épouses du prophète ) – et toutes les femmes
musulmanes sont comprises par cet ordre – de rester dans leur maison, étant donné que cela les protège et les éloigne de tout les moyens de corruption et parce que les sorties inutiles mènent à l’exhibition, tout comme elles mènent à beaucoup d’autres mauvaises choses.)1

Le Sheikh Ibn Kathiir dit ensuite :((Et ne vous exhibez pas à la manière des femmes d’avant l’Islam
(al-Jaahiliyyah) Moujaahid a dit : «La femme sortait de sa maison et marchait devant les hommes, voilà ce que signifie l’exhibition du temps de l’ignorance». Qataadah a dit : «Et (Cela s’applique) lorsque vous sortez de vos maisons.

Elles (les femmes avant l’Islam) avaient une façon de marcher et de parler pour attirer les hommes, et Allah leur a interdit de faire cela.» Mouqaatil Ibn Hayyaan a dit :«At-Tabarrouj signifie : que la femme met son Khimaar sur sa tête et ne le rabat pas correctement, de manière à faire voir ses colliers et
ses boucles d’oreilles, son cou et tout ce qui paraît d’elle, cela est de l’exhibition»)2

Et le Sheikh Bin Baaz dit que le Tabarrouj est :(Le fait de laisser paraître les charmes et les atours, comme la
tête, le visage, le cou, la poitrine, les bras, les jambes, ainsi que les autres atours.)3

D’après ce verset, on peut comprendre que ce que font les femmes d’aujourd’hui, est beaucoup plus grave que
l’exhibition du temps de l’ignorance, interdit dans le Qor’an.

Les femmes d’aujourd’hui sont semblablent à des femmes nues par rapport à cela! Ce verset à lui seul est suffisant pour interdire toutes les formes de corruptions dont la femme est la cause dans les sociétés modernes.

Les femmes qui sortent de leur maison pour perdre leur temps dans les centres d’achats, sans parler des cinémas, des cafés, des bars, des discothèques, des plages et des piscines. Les femmes qui font le métier de danseuse, de chanteuse ou d’actrice.

Les femmes qui sortent nues ou presque nues, avec des vêtements courts, transparents, ou collants sur le corps, parfumées, maquillées, avec des talons hauts et des soutiensgorge fabriqué dans le but de faire ressortir toutes les formes du corps de la femme.

Sans parler de celles qui portent des bikinis et qui se font bronzer sur la plage…et qui malgré tous cela, prétendent avoir la foi dans le coeur!

Pour certains c’est l’évolution, le progrès, la modernité, la liberté…Mais peu importe les noms qu’ils donnent à leurs perversités pour s’enlever la mauvaise conscience, leur égarement est évident comme le soleil en plein jour! Allah a guidé les croyants à la pudeur, à la civilisation et à la dignité la plus élevée, Il dit :

(Est-ce que celui qui se base sur une preuve claire venant de son Seigneur est comparable à ceux dont on a embelli les mauvaises actions et qui ont suivi leurs propres passions) [Mohammad : 47 :14]
La cinquième preuve :

Allah dit :(Et si vous leur demandez (aux femmes du prophète) un objet quelconque, demandez
le leur derrière un rideau (Hijab) : c’est plus pur pour vos coeurs et leurs coeurs…) [Al-Ahzaab : 33 : 33]

L’Imam Al-Qourtoubi dit sur ce verset : (Les gens diffèrent en ce qui concerne l’objet ou la chose en question.

Certains disent; les choses que l’on s’empruntent, d’autres disent; Une question sur la religion (Fatwa) et d’autres disent; les pages du Qor’an. Mais la bonne opinion est que c‘est général et que ça comprend toutes les choses que l’on peut emprunter ou demander, que ce soit des choses religieuses ou des choses de la vie.)

Et il dit aussi : (Dans ce verset, il y a la preuve qu’Allah a permis de leur demander (aux femmes du prophète) derrière un rideau (Hijab) pour une nécessité quelconque qui se présente ou pour poser une question dans la religion.

Et toutes les femmes sont comprises par cela, selon ce qu’implique les bases de la Shari’ah, du fait que tout de la femme est ‘Awrah1; son corps et sa voix, et il n’est pas permis de se découvrir sauf pour une nécessité comme le témoignage, ou pour une maladie qui nécessite un traitement sur son corps.)2

Le Sheikh Bin Baaz dit : (Ce noble verset, représente une preuve textuelle claire de l’obligation de voiler les femmes des hommes et de les cacher de ceux-ci.

Allah a clarifié dans ce verset, que le Hijab est plus pur pour les coeurs des hommes et des femmes et les éloigne de la turpitude et de ses causes. Et Il démontra, en même temps, que le fait de se dévoiler et ne pas se couvrir correctement est impur et mauvais et que le Hijab est pureté et paix.)1

Il dit dans un autre endroit : (Et celui qui dit que l’ordre du Hijab se limite aux mères des croyants (les épouses du prophètes) seulement, il a contredit les nombreuses preuves qui prouvent que l’ordre est général.

Et il a contredit le verset : (c’est plus pur pour vos coeurs et leurs coeurs), car il n’est pas permis de dire que le Hijab est plus pur pour les coeurs des femmes du prophète et pour ceux des hommes parmi les compagnons, sans que cela implique ceux qui suivent après eux.

Il n’y a pas de doute, que ceux qui viennent après eux ont encore plus besoin d’être voilés que les mères des croyants devant les compagnons, à cause de la différence immense entre la force de leur foi et de leurs visions de la vérité et la nôtre.

Car les compagnons, hommes et femmes, ainsi que les mères des croyants sont les meilleurs êtres humains après les prophètes et la meilleure génération, comme le prophète (paix sur lui) l’a dit lui-même dans un Hadith rapporté par Boukhari et Mouslim. Alors si le Hijab est plus pur pour leur coeurs, donc ceux qui viennent après eux ont un plus grand besoin et sont plus pauvres en pureté qu’eux.)

http://www.labonnereference.fr/page307.html



 Abou-Abdillah
Jeudi 22 Février 2007

Notez Version imprimable
[Ignorer]
Les dangers dus à la participation de la femme dans le monde des hommes Par cheikh Ibn Bâz

Ensuite : les revendications qui prônent la participation de la femme aux fonctions de l’homme (entraînant la mixité des sexes de façon implicite ou non) sous prétexte de se soumettre aux exigences de l’époque et des besoins du modernisme, sont très dangereuses. Ses implications sont aussi périlleuses que ses fruits sont amers, et les conséquences ne sont pas minimes. Sans compter qu’elles aillent à l’encontre des Textes Sacrés enjoignant à la femme de rester chez elle et de se vouer aux tâches qui lui incombent dans son foyer ou autre.

Pour se rendre compte de la portée des inconvénients qu’engendre la mixité, il suffit de contempler l’état des sociétés éprouvées par cette calamité, que ce soit de leur propre initiative ou non. La personne objective et juste constatera que la situation est lamentable au niveau individuel et collectif, et se désolera que la femme ait pu délaisser sa maison, en provoquant ainsi l’éclatement de la famille. Ce bilan est avoué sans détour par la plume de bon nombre d’écrivains, et même par les médias. La raison est que ce fléau a pour vocation de désintégrer la société et de saper ses fondations. Par ailleurs, les preuves explicites venant démontrer l’interdiction de s’isoler avec une femme étrangère, ou ne serait-ce de la regarder, ou d’avoir recours à tout moyen faisant exposer l’individu au péché sont nombreuses. Elles sont incontestables concernant l’aspect prohibé de la mixité compte tenue des conséquences non louables qu’elle engendre.

Faire sortir la femme de son giron qui est à la fois son royaume et sa source de vie, c’est la sortir de son milieu naturel conforme à sa nature innée qu’Allah lui a décrété. Par conséquent, les slogans prônant la participation de la femme à la vie active dans les domaines exclusifs aux hommes sont des slogans pour le moins téméraires pour la nation musulmane. Parmi les plus grands inconvénients de ce phénomène, c’est qu’il est l’un des plus grands moyens à l’origine de l’adultère. Source de dégradation pour la collectivité, il pulvérise les bons principes et les mœurs.

Il est notoire que le Seigneur (soubhânahou wa ta`âlâ) a octroyé à la femme une morphologie spécifique différente littéralement de celle de l’homme. Sa fonction est donc au foyer au sein duquel elle évolue entourée des autres membres de son sexe. Autrement dit, immiscer la femme dans une fonction consacrée à l’homme, c’est la forcer à sortir de son élément naturel conforme à ses compétences physiologiques. Vouloir ainsi supprimer sa personnalité, c’est un crime odieux attenté à la femme. Les nouvelles générations filles et garçons seront les premières victimes de cette métamorphose ayant perdu l’affection maternelle et une tendre éducation. Ce rôle appartient en effet à la mère qui s’est malheureusement désistée de son propre domaine ; le cocon familial. Pourtant, elle ne peut trouver le repos, la sérénité, et la stabilité que dans son intérieur. Les sociétés sombrées dans cet abîme ne peuvent que faire ce constat.

L’islam a donc réparti les responsabilités des uns et des autres en attribuant à chacun une fonction définie dans le but de contribuer à l’élaboration de la société à l’intérieur et à l’extérieur de la maison. L’homme pour sa part doit subvenir aux besoins budgétaires et vestimentaires du foyer. La femme doit s’occuper de ses enfants dans un climat d’affection et de tendresse ; elle allaite et élève les enfants en bas âge. Il lui convient en outre tout travail spécifique aux femmes comme l’enseignement des filles, les différentes fonctions dans les écoles, la médecine, les services hospitaliers, etc.
Lorsqu’elle délaisse sa fonction à la maison, elle néglige ainsi son foyer et ses membres. Cela engendre à terme l’éclatement de la cellule familiale tant du point de vue matériel que du point du vue psychologique. Dès lors, la société se fonde sur des apparences et devient artificielle. Démunie de sens, elle n’a plus aucune réalité tangible.

Le Seigneur a révélé : (Les hommes ont l’autorité sur les femmes, pour les faveurs qu’Allah confère les uns sur les autres, et pour les dépenses provenant de leur argent) (S. Les femmes / V.34).
Conformément à La loi universelle d’Allah dans sa création, l’homme a l’autorité sur la femme et lui est supérieur comme le formule ce noble Verset. Allah (soubhânahou wa ta`âlâ) a également ordonné à la femme de rester chez elle, tout en lui interdisant de se parer, c’est-à-dire de se mélanger aux hommes. cela concerne les rencontres en un même lieu entre des hommes et des femmes étrangères dans les domaines aussi différents que le travail, le commerce (achat/vente), les loisirs, les voyages, etc. si la femme en effet s’investie dans ce domaine, elle est successible de tomber dans les interdits. En se comportant ainsi, elle va à l’encontre des commandements d’Allah, et se voit négliger les droits que la religion musulmane a offerts à la femme.

Le Coran et la Sunna sont formels sur l’interdiction de la mixité, et de tous les moyens y faisant parvenir à travers le Verset : (Restez dans vos demeures, et ne vous parez pas comme les païennes de la première époque. Observez la prière, verser l’aumône, et obéissez à Allah et à Son Messager. Allah veut seulement vous épargner de la souillure O gens de la maison (prophétique) ! Et vous purifier. Evoquez aussi les versets d’Allah et la Sagesse que l’on vous récite dans vos demeures. Allah est Certes Bienveillant et Avisé) (S. Les coalisés / V.33-34).

Allah a donc enjoint aux mères des croyants –le discours concerne par-là même toutes les musulmanes – de rester dans leur foyer pour les préserver et les éloigner des moyens menant à la perversion. Les sorties en effet incitent à la parure et sont susceptibles d’être à l’origine de la dépravation. Ensuite, Il leur a ordonné de dévouer les œuvres pieuses éloignant de la perversité et de la dépravation. Elles consistent à observer la prière, de verser l’aumône, et d’obéir à Allah et à Son Messager .
Puis, Il les a orientées vers des pratiques qui leur reviennent en bien ici-bas et dans l’au-delà ; elles doivent rester en contact permanent avec le Noble Coran et la pure Tradition Prophétique. Ils sont à même de dissiper la souillure de leurs cœurs, et de les purifier des impuretés, tout en les guidant à la vérité et à la probité.
Allah (soubhânahou wa ta`âlâ) a révélé : (O Prophète ! Dis à tes femmes, tes filles et aux femmes musulmanes de ramener sur elle leur tunique ; en se faisant ainsi reconnaître, elles ne se feront pas ennuyer ; Allah est vraiment Absoluteur et Miséricordieux) (S. Les coalisés / V.59). Il a ordonné à Son Envoyé l’ambassadeur de la Révélation, d’avertir ses épouses, ses filles, et les femmes croyantes en général de rabattre sur elles leur tunique. Ainsi, ce long voile leur garanti de couvrir le corps entier, au moment des sorties éventuel, et les préserve du harcèlement des individus dont le cœur est malade.
Or, que dire si la femme s’initie dans le monde du travail qui est purement masculin, en se mélangeant avec le sexe opposé, et en dévoilant sa dépendance vis-à-vis des hommes, sous le prétexte du travail. Elle doit consentir à beaucoup de sa féminité pour s’arroger à sa hauteur. Elle doit perdre aussi énormément de sa pudeur pour réaliser cette fusion entre deux sexes pourtant opposés dans le fond et la forme.

Allah (soubhânahou wa ta`âlâ) a révélé : (Dis aux croyants de baisser le regard et de préserver leur pudeur, Allah est certainement avisé de leurs œuvres. Dis aux croyantes de baisser le regard, de préserver leur pudeur, et de ne montrer de leur atout que ce qui en paraît, et qu’elles rabattent leur voile sur leur poitrine) (S. La lumière / V.30-31). Allah commande à Son Prophète de faire savoir aux croyants et croyantes de se résigner à baisser les yeux et de préserver leurs parties intimes (pudeur). Ensuite, Il a précisé que ce comportement était plus enclin à la pureté. Il est notoire qu’il n’est possible de préserver sa pudeur de la perversité si ce n’est en s’éloignant des moyens d’y succomber.
Indubitablement, laisser traîner le regard au milieu d’une ambiance mixte, dans un cadre professionnel ou autre, constitue l’un des moyens les plus propices menant à la perversité. Il est impossible pour le croyant de mettre en pratique ses deux commandements si dans son lieu de travail, il s’entoure d’une femme étrangère qu’il considère comme une collègue ou une associée. Lorsque la femme affronte la vie active et que l’homme doit la supporter dans son propre milieu, il devient très difficile de garder sa chasteté et à fortiori de baisser les yeux ; comment dans ces conditions peut-on purifier son âme et l’élever ?

De la même façon, le Seigneur a enjoint aux femmes de baisser les yeux, de garder leur chasteté, et de ne pas exhiber leurs attraits, à l’exception de leur aspect extérieur. Il leur a sommé également de ramener leur voile sur leur col impliquant de se couvrir la tête et le visage étant donné que le col (la gorge) se situe à l’endroit de la tête et du visage. Comment peut-on donc garder les yeux baissés, sa chasteté, et cacher ses apparats dans un tel contexte alors que la mixité garantie de passer outre ces obstacles ? Comment aussi la femme musulmane peut-elle baisser le regard alors qu’elle se trouve côte à côte avec un étranger sous prétexte de l’associer dans son travail et d’être son équivalent dans ses différentes tâches ?

L’Islam par prévention, interdit formellement tous les moyens menant aux interdits. C’est pourquoi, il est interdit aux personnes féminines de s’entretenir avec leurs homonymes masculins d’une voie douce car cela risque de l’attirer vers elle comme le Verset l’affirme : (O femme du Prophète ! Vous n’êtes pas des femmes comme les autres si vous craignez Allah ; n’adoucissez point la voix car cela peut tenter l’homme au cœur malade, parlez-leur plutôt décemment) (S. Les coalisés / V.32). Autrement dit, l’homme qui est affecté par ses passions. Comment peut-elle ainsi se prémunir ou se maîtriser dans une telle ambiance ? Il est élémentaire qu’en exerçant la même profession, elle soit obligée de parler à son collègue masculin ou l’inverse. Elle va immanquablement adoucir sa voix comme il va adoucir la sienne. Sans oublier la présence de Satan qui trame derrière ce manège ; il embellit la perversité aux yeux de l’homme et l’encourage dans son initiative à faire succomber sa proie.

Allah est Sage et Omniscient lorsqu’Il préconise à la femme de se voiler étant donné que les êtres humains ont des comportements différents ; il existe des bons et des mauvais, des gens chastes et des débauchés. Le voile est donc par la Volonté d’Allah un rempart aux tentations, et il fait obstacle à ses causes. Il est un moyen idéal pour purifier les cœurs des hommes et des femmes, et les protège de la suspicion comme le Verset le recommande : (Si vous leur demandez un bien, faites-le de derrière un voile) (S. Les coalisés / V.53). Or, le meilleur voile pour la femme après celui de son visage et de son corps, ce sont les murs de sa maison. La religion musulmane a donc immunisé la femme contre toutes les tentations qui règnent au milieu des inconnus, qu’elle soit directement en cause ou non. Elle doit rester chez elle et ne pas sortir si ce n’est en cas de besoin, en veillant à le faire selon les règles de la pudeur.

Allah (soubhânahou wa ta`âlâ) a considéré que la place de la femme à la maison est une demeure. Le choix de ce terme revêt les sens les plus éminents car ils sous-entendent la stabilité de l’âme, le repos du cœur, et l’épanouissement intérieur. Sortie de son cocon, elle devient perturbée, le cœur serré, et l’intérieur en ébullition, sans compter qu’elle s’expose à des situations dont les conséquences sont peu louables. Par ailleurs, la religion musulmane interdit formellement de s’isoler avec une femme étrangère, si ce n’est en présence d’un mahram (toute personne masculine et pubère interdite au mariage ndt). L’Islam n’autorise pas non plus à une femme de voyager sans mahram pour la préserver de la débauche, fermer ainsi la porte à la faute, et parer à tous les moyens conduisant au mal. L’objectif, c’est de protéger l’espèce humaine contres les ruses d’Iblis. C’est pourquoi, le Messager d’Allah a dit de façon certifiée : « Je n’ai pas laissé après moi de tentation (Fitna) plus grande pour les hommes que celle des femmes. » Rapporté par el Bukhârî et Mouslim. Il est certifié également qu’il a dit : « Craignez ce bas monde, et craignez les femmes, la première tentation ayant touché les tribus d’Israël fut celle des femmes. »

Certains partisans de la mixité il est vrai, se sont imprégnés de certains Textes divins qu’ils ont utilisé littéralement sans en pénétrer la profondeur ou la portée contrairement aux personnes auxquelles le Seigneur a illuminé les cœurs (inspirées des sciences théologiques, elles ont combinées les arguments entre eux pour s’en faire une représentation globale et cohérente sans les dissocier les uns des autres). Ces derniers se sont inspirés notamment des voyages que le Prophète a effectués en compagnie de certaines de ses épouses, dans le cadre de ses expéditions.
En réponse, nous disons que non seulement ces femmes ont voyagés pour des intérêts éminents, mais qu’elles étaient en présence d’un proche. La foi et leur piété n’étaient donc pas mises en danger. Elles étaient à la fois protégées par un tuteur en la personne de leur mari et recouvertes de leur voile comme leur a enjoint la révélation. Leur situation est donc par essence, complètement différente de celle de bon nombre de leurs coreligionnaires des temps modernes. Est-il utile de préciser que d’aller au travail tous les matins n’est pas du tout comparable aux sorties occasionnelles que faisaient les épouses du Prophète en sa présence, lors de ses expéditions. Un tel amalgame consiste à comparer l’incomparable !

D’autre part, il nous faut connaître la réaction des pieux prédécesseurs plus à même de pénétrer le sens des Textes et plus prompts par-là même à les appliquer. La question pertinente serait de se demander : que nous est-il rapporté à leur sujet à travers les temps ? Ont-ils élargi cet entendement aux aspirations des partisans de la mixité prônant qu’il faille laisser la femme travailler dans n’importe quel domaine de la vie active, quitte à se mélanger sans scrupule avec des hommes ? Ou bien en ont-ils compris autrement pour s’être rendu compte que ce cas particulier n’échappait pas à la règle ?

Si nous passons en revu les conquêtes islamiques, et les expéditions musulmanes à travers l’histoire, nous pourrons constater que ce phénomène est inexistant. Quant aux partisans de l’émancipation de la femme des temps modernes, ils revendiquent sa participation aux activités militaires en lui faisant porter l’uniforme et les armes au même titre que n’importe quel homme. Ce moyen est tout désigné pour dégrader et divertir les troupes. La nature de l’homme et de la femme les pousse foncièrement à commettre s’ils se trouvent dans un endroit isolé, ce qui se produit entre les deux sexes en telle situation. Autrement dit, ils vont éprouver un penchant l’un envers l’autre. Il s’installe dès lors entre eux un climat d’intimité qui va rendre la conversation aisée, en sachant que les événements s’enchaînent les uns après les autres. Il est plus préventif de fermer d’emblée la porte aux tentations, pour ne pas sombrer dans l’irréparable, qui est une source à l’avenir de profonds remords.

La dernière révélation incite fortement à privilégier les avantages dans une question donnée au dépend des inconvénients en parant à tout moyen à l’origine d’un mal. La mixité au travail est un facteur inéluctable à l’origine de la dégradation de la société comme nous l’avons déjà souligné. Si nous nous penchons sur l’analyse historique des civilisations passées et des raisons de leur effondrement à l’instar des grecques et des romains, nous pourrons constater que la présence de la femme en dehors de ses murs, et de son milieu naturel, dans l’ambition d’étendre son domaine à celui de son compagnon et de l’encombrer, est l’un des plus grands facteurs menant à la chute. Dans une telle conjoncture, l’homme ainsi corrompu perd sa lucidité et les moyens d’atteindre les plus hauts sommets de la civilisation et de la vertu ; de la prééminence matérielle et morale. L’activité de la femme hors de son contexte familial engendre l’oisiveté chez certains hommes. A terme, la société se dégrade à cause des fléaux tels que l’éclatement de la cellule familiale, la perte des valeurs morales, et la mauvaise éducation des enfants. Cela conduit la société à s’insurger contre les Lois universelles d’Allah établissant la supériorité de l’homme sur la femme en inversant ainsi l’ordre des choses.

L’Islam a donc veillé à éloigner la femme de tout facteur qui porte atteinte à sa condition. Il lui a fait renoncer aux fonctions de gouverneur, de juge, et à toute initiative en rapport avec l’autorité suprême de l’état de manière générale conformément au Propos Prophétique : « Un peuple ayant une femme à sa tête, ne peut être heureux. » Rapporté par el Bukhâri dans son recueil Sahîh. En allant à l’encontre des textes, la femme renonce tout bonnement à sa nature, qui lui garantie pourtant le bonheur et la stabilité. L’Islam a donc interdit à la femme de s’investir dans un autre domaine que le sien. Les diverses expériences confirment elles-mêmes –surtout dans les contrées où règne la mixité – qu’il existe une différence entre l’homme et la femme dans leur nature respective et intrinsèque ; et cela avant de se référer à la formulation explicites des Textes du Coran et de la Sunna au sujet de ce principe. Les partisans de l’égalité entre d’une part le sexe faible qui, élevé dans la parure n’a aucun répondant dans les litiges et le sexe fort d’autre part, oublient ou font semblant d’oublier qu’ils sont fondamentalement différents. Nous avons démontré de façon suffisamment convaincante pour toute personne en quête de vérité, en s’inspirant pour cela des textes mais aussi des faits concrets, que la mixité et la participation de la femme dans les domaines exclusifs à l’homme n’est basée sur aucun fondement. Toutefois, certains gens se laissent malheureusement plus convaincre par le discours des occidentaux ou des orientaux que par la Parole d’Allah (soubhânahou wa ta`âlâ), celle de Son Messager , et des savants de cette communauté. C’est pourquoi, nous avons jugé bon de retranscrire aux lecteurs certains aveux des hommes de tous les horizons concernant les inconvénients de la mixité et ses préjudices ; ainsi seront-ils satisfaits ! Ils s’apercevront que les Lois de leur religion illustre interdisant la mixité, coïncident tout à fait avec le respect de la femme, et garantissent sa protection contre tout préjudice et tout facteur portant atteinte à son honneur.

L’auteur anglaise Lady Cook a dit : « Les hommes se sont accommodé de la mixité, c’est pourquoi la femme a eut des ambitions contraires à sa nature. Proportionnellement à l’abondance de la mixité, il y aura abondance des enfants bâtards ; c’est la pire des calamités qui puissent arriver à la femme (…) apprenez-leur à s’éloigner des hommes, et informez leurs des conséquences éventuelles qui les attendent, si elles s’embourbent dans ce traquenard. »

L’écrivain allemand Shawpnahawr a déclaré : « Dis : c’est une grande erreur d’avoir adapter ainsi notre structure ayant poussée la femme à s’associer à l’homme dans sa haute noblesse et sa grande élévation. Ce contexte lui a facilité l’accession à de viles ambitions prétentieuses. Cela a eu pour conséquence de pervertir la femme citadine moderne devant jongler entre ses larges prérogatives et ses faibles opinions. »

Lord Bayroun a affirmé : « Si tu pouvais réfléchir cher lecteur ! A la situation de la femme à l’époque des anciens grecs, tu pourras constater une condition artificielle contraire à sa nature inhérente. Tu pourras voir aussi avec moi la nécessité d’occuper la femme à ses affaires ménagères en veillant à améliorer son niveau de vie alimentaire et vestimentaire, tout en veillant à ne pas la mélanger à d’autre.»

Samuel Smaïlus d’origine anglaise a fait la constatation suivante : « L’organisation qui établit la participation de la femme dans le monde de l’emploi, quoique cela puisse procurer comme richesse au pays en conséquence, va détruire les fondations du foyer, pour s’être attaquée au temple du ménage, avoir démoli les fondements de la famille, et déchirer les liens sociaux. Celle-ci a pour effet d’arracher la femme à son mari, les enfants à leurs proches, en n’apportant, dans une certaine mesure, aucun résultat encourageant si ce n’est un changement dans le comportement de la femme. Or, la fonction véritable de la femme repose sur ses devoirs comme la gestion de son foyer, la gestion de ses enfants, et l’économie de ses moyens de subsistance, en prenant soin des besoins du ménage.
Cependant, le monde du travail la dépouille de ses obligations de sorte que les foyers ne soient plus des foyers. Les enfants grandissent ainsi sans éducation, et ils sont jetés au coin de l’indifférence. Sans compter que l’amour du couple s’altère ; la femme étant sortie de son statut d’épouse gentille et de tendre compagne dont le mari a besoin. Elle devient plutôt une collègue dans le travail et la difficulté. Elle passe ses nuits, appesantie éventuellement dans ses pensées, venant effacer la plupart du temps sa modestie intellectuelle et comportementale autour desquelles évolue le respect des valeurs. »

Le docteur Idylline a dit quant à elle : « La raison des crises familiales en Amérique, et le secret de la recrudescence des crimes dans la société provient du fait que l’épouse à délaisser son foyer dans l’espoir d’augmenter le budget familial. Le budget familial a augmenté certes, mais le niveau d’éducation en parallèle a diminué. (…) L’expérience prouve que le retour de la femme au foyer, est le seul chemin pour sauver la nouvelle génération de la dégénération dans laquelle elle évolue. »

Un membre du congrès américain a fait la déclaration suivante : « la femme peut vraiment contribuer à l’effort de la nation en restant effectivement dans son foyer qui est l’entité du ménage. » Un autre membre a exprimé son opinion en ces termes : « quand Dieu a concédé à la femme la particularité d’enfanter, Il ne lui a pas demandé de délaisser ses enfants pour travailler dehors. Cependant, Il a fait que sa mission soit de demeurer chez elle pour justement s’occuper de ces enfants. »

Shawpnahawr a soutenu également : « Laissez à la femme sa totale et pleine liberté sans surveillance, ensuite revenez me voir après un an pour constater le résultat. N’oubliez surtout pas que vous allez hériter avec moi la vertu, la pudeur, et les bonnes manières ! Mais si je devais entre temps mourir, nous n’aurez qu’à dire qu’il s’était trompé ou bien qu’il avait atteint le cœur de la vérité ! »

Ces citations ont été récoltées par le docteur Mustafa Husnî Sibâ`î – qu’Allah lui fasse miséricorde – dans son livre : La femme entre le Figh (Loi sacrée) et la Loi (profane).

Si nous devions recenser de façon exhaustive tous ce que les écrivains occidentaux ont pu dire concernant les inconvénients de la mixité dus à la participation de la femme dans le domaine des hommes, nous nous étendrions quelque peu, en sachant que parfois quelques allusions utiles suffisent amplement à de longues lignes.

En bref, si la femme se maintient à la maison pour remplir son rôle de gestion du foyer, qui vient après ses obligations religieuses, elle aura accompli un devoir adéquat à sa nature, sa condition, et son milieu ; Cela relève de son intérêt, celui de la société, et des nouvelles générations. Si celle-ci a du temps perdu, elle peut toujours avoir une activité dans un cadre féminin comme nous l’avons déjà signalé à l’exemple de l’enseignement des filles, la médecine, les services infirmiers, etc. Dans ces domaines exclusifs aux femmes, elle a amplement de quoi s’occuper. Elle aidera ainsi les hommes dans les tâches de la société, et contribuera à son évolution ; dans un environnement où chacun remplit la fonction qui lui correspond.

Il ne faut pas oublier en cette occasion d’évoquer le rôle des « mères des croyantes » et celui des femmes fidèles à leur exemple, qui ont joué un rôle dans l’instruction de la nation, l’orientation, et les recommandations qu’elles ont pu rapporter des paroles du Coran et du prophète de l’Islam . Nous implorons Allah de les en récompenser de la meilleure façon, qu’Il multiplie les exemples à notre époque de ces femmes qui se couvrent de leur voile et de leur toit, en restant à l’écart des hommes et des domaines qui leur sont propres.

Allah est celui que l’on implore afin qu’il éclaire chacun sur ses devoirs respectifs, en aidant chacun à les remplir de la façon qu’Il consent. Qu’Il nous épargne tous des instruments de la tentation, des causes de la perversion, et des ruses du Diable. Il est certes Généreux et Prodigue.

Que les Prières d'Allah et Son Salut soient sur Son Serviteur et Messager, notre Prophète Mohammed, ainsi que sur ses proches, et ses Compagnons !

Par Karim ZENTICI
Source :
http://dourous.free.fr/

http://www.labonnereference.fr/page402.html
 thierry
Jeudi 22 Février 2007

Notez Version imprimable
[Ignorer]
2 MUSULMANS OU 2 HOLLANDAIS ISSUS DE L' IMMIGRATION ?


C'EST PAS PAREIL !!!!!!!
 salam
Jeudi 22 Février 2007

Notez Version imprimable
[Ignorer]
elham t'est vraiment EL HAM (soucis)
 RabiJacob
Vendredi 23 Février 2007

Notez Version imprimable
[Ignorer]

Par:Afishai Ben-Haïm

Le chef spirituel du parti Shas, le rabbin Ovadia Yossef a déclaré que « la femme qui porte une perruque est comme la prostituée ». Il a tenu ces propos lors d'un discours religieux très dur prononcé cette semaine.

Ces propos viennent s'ajouter à une vague d'attaques violentes contre les femmes qui portent des perruques parmi la communauté Haredim.

Cette tempête a été déclenchée après l'avis religieux émis par le chef de la communauté lituanienne le rabbin Yossef Shalom Eliashif qui interdit de porter ces perruques fabriquées avec des cheveux de femmes indiennes qui les coupent dans le cadre de rites païens.

Et bien que cet avis n'ait pas interdit complètement les perruques, les opposants aux perruques ont saisi l'occasion pour appeler les femmes à remplacer leurs perruques par des foulards ou des chapeaux.

Cette campagne a porté ces fruits puisque des femmes du quartier de Mea Shearim à Jérusalem ont brûlé leurs perruques parce que pas assez pudiques.

Le rabbin Ovadia a signalé qu'il avait interdit le port de perruques depuis plus de 25 ans pour des raisons de pudeur.



Est-il permis de consulter le Nouveau Testament ?

Par : le rabbin Zalman Melamed

Question :

Je suis un enseignant spécialisé en études israéliennes (classes d’hébreu). Et concernant l’histoire de la Galilée, nous avons eu besoin de consulter le Nouveau Testament. Et je souhaite demander en mon nom et au nom de mes élèves : cela est-il permis, de même que le fait de conserver le livre chez soi ?

Réponse :

Il y a une interdiction biblique claire visant la consultation des livres idolâtres. « ... Sans plus suivre les désirs de vos coeurs et de vos yeux »*. Le christianisme aussi est une religion païenne comme l’a dit Moshé Ben Maïmon, et il ne faut donc pas conserver un tel livre chez soi. Il aurait été nécessaire d’étudier la vie des juifs en Galilée sans parler des points de vue des païens qui y vivaient.



A la Grâce de Dieu,

A l'attention de Son Eminence M. le rabbin

Je voudrais savoir si écouter les chansons de femmes était religieusement permis. D'abord si on écoute ces chansons à la radio ou sur CD, ce qui modifie, en tout cas, la nature même de la voix ? Et quel serait le cas si on écoute des femmes chanter en direct ?

Quels sont les différents avis à ce sujet ?

Dans l'attente de votre réponse, je vous remercie….

Réponse :

ertains hommes de religion juifs pensent qu'il est permis d'écouter une femme chanter à travers un appareil électronique à condition de ne pas reconnaître sa voix. D'autres ne font pas de distinction et permettent d'écouter les chanteuses dont vous pouvez reconnaître la voix. De toute façon, il est interdit d'écouter une voix féminine si cela produit sur vous un effet sexuel, que cet effet soit dû à la chanteuse ou à l'auditeur…

Quant à écouter chanter une femme en direct sans appareil, certains le permettent s'il s'agit d'une chorale ou de plusieurs femmes chantant en groupe. Cela empêche l'auditeur de distinguer clairement la voix féminine qui sera dans ce cas mêlée à d'autres voix.

Rabbin Mordechai Verdi.
 ibrahiam ndiaye
Lundi 5 Mai 2008

Notez Version imprimable
[Ignorer]
bonsoir mr je et moi ib rahima ndiaye sénégal dakar je rencontre avec vous pour travaill je suis négociateur international merci