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L'Institut du monde arabe dans la tempête
Salam
Les accusations sont graves, il devrait rester en fonction jusqu'a preuve de sa culpabilité...
l'article ne précise pas où ont été retrouvée les oeuvres...
Ils ont été retrouvés dans les sous-sols du musée....mon cher Waltson
Il y a une mafia Israelienne qui active dans les pays Arabes et d'autre pays. Elle trafic et achete les objets d'antiquite et historique. Dernierement en Algerie la gendarmerie nationale a arreter un groupe d'individus qui possede des tete du status et dautres objets en or et en broze. D'apres les gendarmerie ce groupe travaille avec une mafia Israelienne qui achete ses objet d'eu pour les mettre dans les muses en Israel. Les meme problem on etaient signaler en Tunisie, Libye, Egypte et au moyen orient.
je voudré contunné mes utudes en arab quesque je fait svp ?
Plus de détails ici:
http://www.imarabe.org/aujourlejour/actualites.php?i=160
Dans plusieurs journaux du monde arabe, M. Brahim Alaoui s’est présenté comme directeur, voire président, de l’Institut du monde arabe, affirmant qu’il rencontrait des artistes afin de préparer une exposition de leurs œuvres à l’IMA.
C’est un abus de confiance. En effet, M. Brahim Alaoui a été licencié pour faute grave en juin 2007. Nous avons également déposé contre lui une plainte auprès de M. le Procureur de la République.
Afin que les artistes, les acteurs culturels et les autorités politiques des pays fondateurs de l’IMA ne soient pas abusés par des informations erronées, l’Institut se voit dans l’obligation de présenter les faits qui ont conduit au licenciement de M. Alaoui et à un dépôt de plainte suite à ses agissements qui ont porté un préjudice considérable à l’IMA ainsi qu’à de nombreux artistes.
Dominique Baudis Mokhtar Taleb-Bendiab
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I – Le rapport de la Cour des Comptes
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Le rapport de la Cour des Comptes a relevé des « actes graves ». La Cour signale « les conditions déplorables dans lesquelles certaines [des] œuvres sont conservées ». « Devant la gravité des faits, le Président de l’IMA a jugé devoir saisir le Procureur de la République en déposant plainte et en procédant au licenciement pour faute grave du directeur du musée ». « L’examen des pièces de dépenses… a révélé que le directeur a effectué des achats ne correspondant pas avec les missions du musée, ainsi que l’acquisition d’objets dont il avait l’usage et dont il n’avait pas été possible de retrouver la trace au sein de l’Institut du monde arabe. Il en résulte une interrogation sur un éventuel détournement des crédits au profit d’acquisitions à caractère personnel. »
u[II – Le rapport du Sénat]u
Le Sénat a également publié un rapport parlant de « pratiques gravement critiquables, de surfacturations systématiques au profit d’une société dont la majorité du capital est détenu par un membre de la famille du directeur concerné ». En effet, M. Brahim Alaoui avait fait appel, sans mise en concurrence, à une société créée par son épouse et dont les commandes de l’IMA représentent 98 % du chiffre d’affaires.
Pour ces raisons, M. Brahim Alaoui a été licencié pour « faute grave ». Le président et le directeur général de l’Institut du monde arabe ont mis fin à sa collaboration sans préavis ni indemnité. Une plainte a été déposée auprès du Procureur de la République qui a demandé l’ouverture d’une instruction pour : abus de confiance, prise illégale d’intérêts et vol.
Pour toutes ces raisons, M. Alaoui ne peut aucunement se prévaloir de son activité à l’Institut du monde arabe qui se réserve le droit de le poursuivre une nouvelle fois pour abus de confiance dans la mesure où il poursuivrait dans l’imposture par laquelle il se présente toujours comme un responsable de l’IMA auquel il a porté un tort très grave ainsi qu’aux artistes et aux états arabes dont il a cherché abusivement à tirer profit.
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