Connectez-vous S'inscrire

La finance islamique explore de nouveaux horizons en Afrique

 C'est plutôt le taux d'intérêt usuraire qui est interdit par le Coran et le prop
Jeudi 3 Avril 2008

Notez Version imprimable
D'abord la moudharaba, dans laquelle l'une des parties apporte les fonds (Rab al Mal) et l'autre partie apporte son savoir (entrepreneur) n'e doit pas être une convention acceptable par l'Islam puisque la personne qui apporte ses connaissances ne peut nullement perdre , seule peut perdre l'apporteur de fonds dans ce contrat. L'auteur du texte ci dessus doit donc apporter les réponses qui s'imposent puisque l'Islam exige le partage équitable des pertes et profits dans ce genre de contrat
Par ailleutrs, Dieu condamne dans la sourate 2 al Bacqarat l'usure comme le e Prophète Mohamed(psl)'a condamné l'usure( taux d'interét usuraire, excessif) lors de son dernier sermon à Arafat en l'an 10 de l'hégire. Aucune banque même islamique ne peut prêter 100 francs pour se faire rembourser 100 francs Les frais de fonctionnement de la banque (salaires, et autres frais généraux )doivent être couveres par une marge qui constitue le taux d'intérêt qui ne doit pas être excessif. Même en Arabie saoudite, les banques ne peuvent pas se permettre de faire du crédit sans ajouter une marge pour le remboursement. Souvent la parade consiste à appeler cette marge frais de dossier, commissions etc.... Il faut que le monde musulman réfléchisse davantage sur cet interdit qui ne concerne que l'usure , le taux d'interet excessif