Aujourd'hui, personne ne peut contester le terrible échec des actuels acteurs musulmans du CFCM, toujours les mêmes depuis de trop nombreuses années auto désignés où issus d'arrangements sans aucune transparence ni aucun bilan.
S'ils avaient une conscience de l'impasse où ils ont mené leur communauté par leur médiocrité, ils feraient place à l'alternance dans des instances ouvertes à de vrais adhérents, des assemblées générales publiques et des bilans d'activités et financiers contrôlés.
Une des solutions de contrer l'islamophobie ambiante c'est de renouveler les responsables associatifs musulmans et de faire place aux talents et à la compétence des nouvelles générations nées en France et issues du cursus scolaire et universitaire français.