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Le déni français : lettre d’une amie britannique à une France qui s’égare

 nora
Lundi 2 Septembre 2013

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j aurais souhaiter avoir un amie une personne de mon entourage avec beaucoup de lucidite et de cran comme sophie.ce sont des personnes courageuses comme elle qu il faut dans notre pays pour dire et reveiller les autres compatriotes
 Rob89
Mardi 3 Septembre 2013

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D'ailleurs, ce texte purement ideologique qui chante les louanges de la dereglementation capitaliste pour mieux servir les marches financiers qui ont deja pris le controle de nos systemes politiques vient de la Fondapol, think tank bien connu de la droite neo-liberale. Il n'a qu'a voir l'allusion a nos "salaries surproteges" pour comprendre le type de mesure que l'auteur n'a pas le courage de dire clairement:

reduction des salaires
mise-a-bas-des syndicats
retraites reculees
pensions amoindries
etc.

Mais comme toujours quand on entend demanteler l'etat social, on s'avance masque, sans jamais dire explicitement ce que l'on propose, et pour cause. Au lieu de cela, on envoie les violons de 'L'amitie franco-britannique". Oh les grosses ficeles de ce discours 100% Medef.
 Rob89
Mardi 3 Septembre 2013

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Il ne faut pas se laisser leurrer par ce discours. The Economist est l'organe majeure du capitalisme neo-liberal debridee et l'auteure son agent et il ya un agenda, toujours le meme. Ce qui se cache derriere ces bonnes paroles et ce discours insidieux, c'est la volonte, l'injonction--explicite dans ses livres--de demanteler ce qui erste de l'Etat-Providence francais, a commencer par les regles salariales, les normes sociales, la secu, les retraites, les salaires minimum et tout le reste, au nom de la "competitivite" mondiale, la vielle tarte a la creme. Pedder redefinit typiquement tous nos acquis sociaux comme des "privileges" qu'on ne peut plus se permettre. Donc a la porte tous les minimas, toutes les normes, etc.

Le resultat est que l'on se retrouvera comme ces pauvres misereux des fast-food US qui travaillent pour 6 euros l'heure, sans benefices aucun, sans secu, sans retraite, et sans syndicat pour les soutenir.

Eux se sont fait avoir par le discours hyper-capitaliste a la The Economist, et regardez-les maintenant, reduits a crier leur desespoir et leur misere dans les rues, entendus de personne et surtout pas des Sophies Pedder et conseurs.

ne vous y trompez pas. C'est cela qui nous attend si on cede a ces sirenes et faux prophetes de l'hyper capitalisme neo-liberal que pedder essaie de nous vendre avec ses arguments insidieux.