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Le grand mufti d'Arabie saoudite en soutien aux dictatures arabes

 mohamed 599999
Samedi 11 Février 2012

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@lucidus toi qui voit en moubarak un simple petit voleur de bonbon, que dit tu du blocus qu'il a instauré contre gaza sur le terminal de rafah ?! voilà là des sentiments d'altruisme envers ses propres fréres bien musulman n'est ce pas ???? que dit tu du transit de l'armée americaine via l'arabie saoudite avant d'attaquer l'irak soit disant pour des armes de destructions massifs ???? que dit tu du silence assourdissant et lamentable de ces prostituées politiques crapulaires de la ligue arabe lors des innombrables agressions colonialistes israelienne sur la population civile de palestine et donc sur jerusalem, 3 ém lieu saint ??? Enfin en ce qui concerne tes notions plus que fantaisitses et je dois le dire assez ridicule, par rapport à la gravité de la corruption pour un dirigeant vis à vis de ses administrés, je t'oriente vers les haddiths relatifs à omar ibn al khatabb, grand dirigeant musulman.



Cet homme avait le sens de l'État. Il était très préoccupé du sort des musulmans et des non-musulmans qui vivaient sous la protection de l’état islamique. Il avait l'habitude de dire : « Si un mulet trébuche en Irak, Dieu m'en demandera compte en me disant : "Pourquoi, ‘Umar, ne lui as-tu pas aplani la route ?" »

Un jour, alors qu'il travaillait à l'intérieur du bayt al-mâl, 'Ali Ibn Abî Tâlib entra. 'Umar lui dit : « Ô Abû Al-Hassan est-ce personnel ou est-ce une affaire qui concerne les musulmans ? » 'Ali répondit : C'est plutôt une affaire personnelle. »

'Umar éteignit alors la bougie qui éclairait la chambre en disant :
« Dans ce cas-là, nous n'avons pas le droit de gaspiller les biens des musulmans ! »

On interrogea un jour Aslam qui était le secrétaire de bayt al-mâl, pour savoir si `Umar n'avait jamais rien pris indûment dans le trésor. Il répondit : « Jamais ! Seulement, quand il n'avait pas de quoi subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, il empruntait au bayt al-mâl ce dont il avait besoin, et, une fois sa pension reçue, il le restituait. »

Il avait une grande crainte de Dieu. Sa piété et sa vertu étaient ses traits de caractère les plus en vue. Sa foi et son amour de Dieu transparaissaient dans chacun de ses actes. Il disait avec émotion et sincérité :

« Si mon Seigneur disait au Jour de la résurrection, toutes les créatures entreront au Paradis sauf une,
je craindrai que ce soit moi ! »


:D Voila qui pousse à ricanner lorsque on compare omar ibn el khattab à ces habitués des champs élysées, musulmans plus par héritage que par foi, n'hésitant pas en pleine famine somalienne pendant le ramdan 2011, à signé un honteux contract pour batir un gratte ciel d'un km de haut a jeddah.... Salam aléykoum