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Les crimes de guerre à Alep, des « bavardages » pour Mélenchon ?
Un dictateur est un dictateur. Qu'un tyran puisse etre religieux, nationaliste ou clanique, ça a l'air de faire une différence pour certains.
Il n'existe pas de bon ou de mauvais tyran. Le discours de nos hommes politiques se résument à ça. Préférer la peste ou le choléra.
Les opposants comptent pour quantité négligeables. Sans soutien ils ne pouvaient pas gagner, c'est trop tard et plié depuis un moment déjà.
On fait donc de la communication, l'Histoire doit etre bien racontée, ça ne résume plus qu'à ça aujourd'hui. On ne pouvait pas soutenir les opposants à cause des organisations terroristes et nous avons fait le bon choix. Il faut convaincre que le conflit ne pouvait pas se dérouler autrement. Que nous ne pouvions rien. Que le dictateur était le seul choix possible.
Ca fait un moment déjà que l'on arme plus les rebelles.
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