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Les religions face aux droits de l’homme, une adhésion sans réserves ?
On ne se lassera jamais de s'interroger sur ce que les religions peuvent bien dire d'intéressant sur cette question des déclarations de droits de l'homme, destinées essentiellement à fonder le droit positif par essence distinct de tout religieux.
Comme si la question de la justice devait être gérée par un divin quelconque, ou pire/mieux par un prélat quelconque. La volonté des conseils de ces prélats là de vouloir approuver ou mieux régenter le juridique reste patente dans certaines communautés. Elle doit être brisée.
Les religieux parlent de morale, les athées parlent de valeurs. Ils sont des frères siamois.
Bonjour , merci à l'auteur de ce bel article , et aux frères et soeurs qui permettent
à SaphirNews de vivre pour ses lecteurs et lectrices , que le Dieu vous
soit favorable .
Les valeurs sont une bondieuserie comme une autre. Les athées sont des croyants comme les autres.
De quel droit des superstitieux, qui croient à des mensonges ridicules comme la résurrection ou la visite des anges, réclameraient-ils que leur point de vue s'impose ?
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