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Musulmans de France : œuvrer à la reconnaissance de l’altérité
'Les musulmans qui votent doivent apprendre à faire entendre leur voix, réalité incontournable, identique à d’autres communautés et courants d’opinions. Malgré leur poids démographique, les citoyens musulmans restent insuffisamment influents."
On peut être en désaccord complet avec cette phrase, qui décrit précisément ce qu'on appelle le communautarisme. Par opposition, on doit au contraire encourager chez les citoyens une élaboration personnelle de leurs opinions, la pratique d'une religion particulière ne devant pas, normalement influer sur leur vote.
Ce n'est pas le cas actuellement: il semble bien que le vote des citoyens issus de l'immigration et en particulier des personnes de religion musulmane fut majoritairement socialiste en 2012.
Autre point:
"les citoyens de confession musulmane rêvent d’harmonie et d’une nouvelle Andalousie".
On ne comprends pas bien le sens exact de la phrase: qui sont ceux qui joueront le rôle des dhimmis juifs et chrétiens soumis à une imposition spéciale dans l'andalousie du moyen âge ?
Il ne peuvent, bien sur, être les citoyens Français de confession musulmane...
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