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Palestine : l'Europe divisée, la France pour une troisième voie

 Somud68
Vendredi 23 Septembre 2011

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Ne confondons pas "Les Palestiniens" et Abbas

bbas, qu'on le considère ou non comme un collabo dont la famille et les amis profitent financièrement de la situation, n'est plus constitutionnellement président de la non-autorité palestinienne depuis le 9 janvier 2009. Et l'OLP mal restaurée récemment n n'est guère plus représentative et légitime.

Les forces vives et patriotes du pays (plus de 100 associations civiles) sont bien mieux représentées par l'ODSG "Pour un seul état démocratique" ,,, et non confessionnel de la Méditerranée au Jourdain avec des nationaux palestinesz et ex-israéliens juifs non racistes.Ce qui n'est pas la position des « Ainés » (Des personnalités mondialement connus telles Desmond Tutu ou Carter, etc..) qui sont bien gentils, mais sacrifient les droits légitimes et des Palestiniens « israéliens » qui seront invités à partir et des « exilés » au Moyen-Orient et ailleurs. La « petite » Palestine bantoustanisée est-elle environnement et économiquement viable avec bien plus de 7 500 000 Palestiniens ?

C'est auprès de l'ODSG qu'il faut entretenir sa « religion » sur le sujet et surtout pas auprès de certains qui, sous un habillage pro-palestinien font, consciemment ou non, le jeu des occupants illégitimes sûrs d'eux-mêmes et dominateurs, de la Palestine depuis plus de 63 ans.

Outre son inéthicité foncière, la résolution 181 du 29 novembre 1947 (qui n'était qu'une recommandation et pas une injonction impérative) contrevenait à deux articles (12 et 18) de la propre Charte de l'ONU ; alors qu'ensuite certains « oui » furent obtenus par pression et même achat par un million de dollars sionistes. Non, il n'y a pas prescription ! Cette recommandation d'un plan irréaliste fait de quatre clauses indissociables aux yeux de certains des états votant naïvement « oui » est nulle et non avenue.

Et il y a encore moins de prescription, pas plus que pour le Shoah dont ces sionistes-là n'ont tiré aucune bonne leçon, pour les viols, les vols, les meurtres et les expulsions . Alors qu'avant, pendant et après, il y eu à d'autres clairvoyants sionistes pacifiques (tels Ha'am, Magnes, Buber, Kalvarinsky, Simon, Szold,, etc.,) qui voulaient vivre en Palestine à côté des Palestiniens dans un unique état .

Le droit au retour avec indemnisation pour les survivants ou leurs descendants est inaliénable selon la résolution 194 (du 11 décembre 1948, article 11) pour les futurs citoyens et nationaux du 194ième état qui sera forcément admis, un jour, à l'ONU. A moins que ce ne soit, par substitution, le 193ième .....

Plutôt que des auteurs francophones plus demandés mais pas clairs si on y regarde de près , lisez et faites lire (aussi ?) les deux auteurs nettement moins imparfaits que sont le Juif né en Palestine en 1930 Claude Brzozowski dans « Du foyer national juif à l’état d’Israël. Analyse d’une spoliation », ou encore « le Juif non juif » (comme il dit de lui-même) et historien luxemburgo-usaméricain Arno Mayer dans « De leurs socs ils ont forgé des glaives. Histoire critique d’Israël ».

Certes ils parlent du passé, mais c'est ce passé fondateur du drame palestinien inique majoritairement très mal connu et très mal résumé que les zélateurs de l'anomalie étatique sioniste (qui surveillent bien plus nos médias que les militants dits-pro-palestiniens) nous resservent, à leur fétide sauce mensongère, chaque jour du présent pour obérer le futur.