Il me semble que l'on dort encore à Saphinews ou, ils viennent de se reveiller :cette discrimination ne date ni d'aujourd'hui, ni d 'hier, mais depuis bien longtemps, et ce n'est un secret pour personne !!! Bien des personnes (Karim devenu Alain, ect...)qui avaient changé leurs prénoms, pour "une meilleure insertion-intégration", aujourd'hui demandent à ce que leurs vrais prénoms leur soient restitués!!!

Bougnloule, tu restera bougnoule !!! C'est le faciès qui trahi t!!!! même avec tous les artifices dont il a usé et abusé, Michael Jaclson, n'a pa pu gommer ses "origines"!!!!

Bonjour,

"À la limite le "Patron", c'est en général son blé, il fait ce qu'il veut, mais les profs du supérieurs vous savez qui les paye....mon père, ma mère, mes frères et mes ptites soeurs...."

Je suis bien d'accord avec toi Pascale pour le communautarisme blanc au sein des profs de la fac. Il y a une discrimination agissante.
Sauf avec la fin le Patron c'est pas forcément son blé car si on prend les aides de l'état en 2005 ils s'élèvent à 60 milliards c'est le montant des cadeaux concentis aux entreprises privées c'est donc aussi l'argent de .... .mon père, ma mère, mes frères et mes ptites soeurs...." (ça me rappelle une chanson "si j'avais un marteau ... ")
Ces aides risquent avec un gouvernement ultra libéral de grimper très vite .

Le patron ne peut faire se qu'il veut puisque les discriminations une fois prouvées sont punies par la loi c'est bien un délit.... ça dépasse le frique.

Le communautarisme gaulois et sexiste a lieu aussi au sein des institutions : assemblée,
sénat. Combien y a t il de femmes ? et combien y a t-il de Français éternellement labelisés d'origine ???

On voit bien que le texte qu'on vient de lire sur saphir neus se trompe de lieu, il faut orienter les caméras vers le milieu professionnel et les institutions étatiques pour dénoncer le véritable communautarisme blanc.

au fait, t'as bien percuté sur la chanson...et le marteau tu devines bien ce que j'en ferai si rien ne change dans ce pays car moi j'attendrai pas encore 1 siècle à philosopher ou à disserter sur la question.

discrimination dont il est question est plutôt une inclinaison naturelle chez tous les êtres humains. C’est ainsi que la situation partout dans le monde. Chacun aime les siens avant les autres. En France, les gens, pour ou contre, réagissent ainsi parce qu’ils ont le crâne bourré de slogans < égalité de chance, distribution des richesses…> qui n’ont jamais existé de fait, si ce n’est pour la propagande et la publicité. A notre époque, les cœurs sont durs et égoïstes, chacun tire vers soi ce qui lui semble utile au détriment des autres, ne serait-ce que par jalousie. Pour arriver à des résultats acceptables par tous, il faut donner les commandes et les décisions aux belles âmes dont les cœurs purifiés de toute méchanceté, se remplissent au fur et à mesure de la constatation de la misère des hommes, de l’amour de la justice sociale. Ces valeurs sont rares et les politiciens de nos jours ne réussissent rien sans promesses mensongères. Le problème reste entier.

C’est essentiel. Comment se protéger contre de telles discriminations ? En remuant dans l’esprit et ressassant les abus ? Vous risquez de vous enfermer dans un tour d’ivoire. En changeant de nom pour s’autoproclamer meilleur arabe ? C’est du mépris ne vous faisant récolter que la honte. Le meilleur moyen c’est d’être fier de son arabité, de son origine, n e se sentir jamais inférieur devant quiconque, ne penser qu’à sa croyance tout en étant convaincu comme nous l’enseigne le Saint Coran qu’il n y a pas sur terre un insecte, bête où être dont Dieu le Très-Haut n’assure la subsistance.

je suis né en france et la découverte de cette discrimination m'a déconcerté, jusqu'à laisser
en moi une conviction qui est celle-ci : il vaut mieux pour un arabe faire ses études dans
son pays dont les grandes écoles valent aujourd'hui largement les grandes écoles occidentales..les immigrés à "valeur ajoutée" arrivent avec un diplôme en poche et une éducation non entachée de frustration et de mépris..ce qui laisse à l'étudiant le loisir d'être
concentré sur sa vocation et non sur un combat social souvent cause de perte d'énergie et
de frustrations psychologiquement destructrices...j'irai encore plus loin..et c'est une question que je pose..ne vaut-il pas mieux aujourd'hui vivre à dubaï en tant que médeçin... qu'à paris
où l'on va parquer ce type d'individu aux urgences et avec un salaire plus bas ?