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Salima : « J’ai décidé de suivre mon mari, en abandonnant tout derrière moi… »
Salam,
Demande le divorce car tu n'as pas le choix.
Bon courage
Vraiment une rubrique qui ne sert a rien, en tout cas pour la réponse de la "psychanalyste", j'avais même pas fini de lire le témoignage que j'anticipait la réponse toute téléphonée de cette pseudo psy... bref ma soeur, crains Dieu et il te réservera une issue, beaucoup de couple rêvent de vivre dans un pays musulman dans lequel tes enfants pourront s’épanouir loin du climat délétère de France... personne ne regrette d'avoir patiente dans le bien.
Salam aleykoum.
Qu'Allah te facilite toute chose ma sœur.
J'espère in cha Allah que tu liras mon commentaire et que tu appliqueras mes conseils ma sœur fiLah.
Moi oukhty je te souhaite le Bien.
Je te conseille seulement deux choses très facile. La première est de demander a Allah dans tes prosternations lorsque tu pries et en plus je te conseille aussi de faire la prière de consultation.
Bien sur aussi des douas et des demandes de pardon. Mets ta confiance en Allah.
C'est ça la solution.
Salam aleykoum.
Salam ma soeur,
Je ne comprends même pas que tu te poses la question de suivre ton mari.Ta vie est à côté de ton mari et nul part ailleurs alors arrêtes de faire ces caprices et va le rejoindre en Arabie Saoudite...Tu prives tes enfants de vivre avec leur père parceque tu as peur de ne pas pouvoir conduire? !! c'est quoi cette façon de raisonner franchement c'est irresponsable !!
Es salam aleykoum,
votre histoire semble un eu compliqué. Ne vous connaissant pas, je pense que personne ne peux juger vos dires. Peut-être que votre mari est aussi dur que vous le dites. Mais peut-être que c'est seulement une mauvaise passe. En tout cas, je sais d'expérience que prendre une décision lorsqu'on est fâché ou triste est la dernière des choses à faire : on dit souvent malheureusement des mots qui dépassent notre pensée.
Je me dis aussi que peut être vous n'avez pas assez discuté de ce nouveau déménagement. Et le fait de partir à l'inconnu vous effraie certainement. Essayez de voir le bon côté des choses. L'Arabie saoudite n'est pas un pays où les femmes vivent toujours enfermées. Cette image est erronée. Si l'âge de vos enfants vous le permet, vous pouvez essayer d'y trouver vous aussi un travail si vous parlez l'arabe ou bien - pourquoi - vous inscrire à des cours de Coran par exemple (ou autre chose). Mettez ce temps à profit. C'est dommage de rester sur l'image de la femme qui ne conduit pas. De toute façon, dans plein de pays arabe, la femme - bien que la loi les y autorise - évitent de conduire par peur d'avoir un accident (moi la première).
Et puis, un dernier conseil : le fait de voir son conjoint toujours en train se de plaindre peut agacer. Je ne vous connais certes pas; mais réfléchissez un peu et demandez vous si lorsque vous parler ensemble (vous ou lui) êtes agressif l'un envers l'autre. Juste le fait de s'en apercevoir et de parler avec douceur, de (re)-développer de l'empathie l'un envers l'autre peut parfois arranger les choses. Il faut toujours essayer de penser de manière positive, s'intéresser à ce que fait l'autre. J'ai eu des soucis il y a quelques années avec mon mari qui m'avait fait remarqué que tout ce que je je disais sortait de manière agressive. Et nous nous disputions tout le temps. Juste en appliquant cette méthode, les choses se sont arrangées d'elle-même.
Les choses sont parfois plus simples que ce que l'on pense. Et si vraiment avec des efforts cela ne fonctionne pas, il reste la prière de consultation.
Qu'Allah vous vienne en aide.
AAAllllllaaaaaaaaaaahhhhhhhllllllllaaaaa... au bar !
Salam
Je trouve les avis donnés totalement étranges.
Ce mari n'aime pas sa femme et le lui fait savoir, il est presque quasi certain qu'il va prendre une seconde épouse et qu'il prépare psychologiquement sa femme à ce fait, lui rappelant qu'il reste avec elle uniquement à cause de ses enfants.
Ce mari n'a jamais voulu assumer son mariage, puisqu'il s'est refusé à venir vivre en France.
Ce mari n'aime pas les proches de cette femme, c'est tout dire, c'est plus que du désamour puisqu'il ajoute à cela l'absence de respect. Elle va devoir vivre loin de ses proches.
Il faut arrêter de penser que l'Arabie Saoudite est un exemple en matière d'Islam et qu'y faire vivre ses enfants serait une garantie de leur futur piété. La piété n'a jamais dépendu d'un lieu, elle s'inculque par les parents fussent ils au Pôle nord. D'ailleurs l'Islam s'est développé aux quatre coins du monde et n'est pas auto-centré autour de ce pays.
Enfin, appelons un chat un chat, un homme et une femme qui ne s'aiment plus ne pourront jamais offrir un foyer stable à leur progéniture. Devoir accomplir son devoir conjugal sous la contrainte d'une étiquette 'celle d'épouse" ou de "mari" n'a jamais été un exemple en Islam puisque le consentement mutuel est à la base d'un mariage.
On demande souvent aux femmes de patienter, certes la patience est une vertu mais parfois c'est aussi dans certains contextes une forme d'entêtement, une manière de temporiser l'heure de la prise de décision en laissant les événements décider pour vous . On oublie trop souvent que le temps est un facteur important surtout chez les femmes. Si celle-ci tarde à choisir sa décision qui j'en suis à peu près certaine sera celle du divorce, elle aura perdu des années précieuses pendant lesquelles elle aurait pu se reprendre en main car elle devra s'assumer financièrement et trouver du boulot lorsqu'on est vieux....!
Madame,
Mieux vaut vivre seule que mal accompagnée. Vous vous préparez à des jours très durs si vous restez avec votre mari qui ne semble plus avoir de sentiments à votre égard. Il va prendre une autre femme, ce que j'ai souvent constaté en ARABIE SAOUDITE et vous vous souffrirez. Partez avant qu'il ne soit trop tard. C'est votre salut et celui de vos enfants
salem,
je crois, malheureusement, que la proximité de la belle famille est un fléau des peuples arabes, et tant que le respect d'autrui n'est pas inscrit dans les précis d'éducation des arabo-musulmans ce type de situation se perpétuera ad vitam aeternam.
Ce monsieur tout musulman qu'il est, n'a pas le adeb nécessaire pour considérer que le respect de son épouse est d'abord un devoir pour en islam, celui de sa belle famille également.
A priori, le respect de l'enseignement divin ne le dérange il n'est pas étonnant qu'il ne respecte pas non plus celle qui porte sa progéniture et qu'il a un jour choisi.
Et pour finir, et sans vouloir vous attrister davantage, lorsqu'il aura pris une deuxième femme, même les enfants parce qu'ils seront les vôtres ne l intéresseront plus, et vous serez toujours une mineure.
pensez à vous mais surtout à vos enfants et à leur avenir, Allah n'a jamais dit qu'il fallait supporter la vilénie et l'humiliation ; questionnez votre cœur, et demandez l'aide du seigneur mais n'écoutez pas ceux qui vous disent de patientez, un jour une femme m'a dit : "le cimetière est rempli de celles qui ont patienté" ('el jabbana melyanna sbar) alors vous savez les conseilleurs ne sont jamais les payeurs.
j'aurais juste envie de vous dire "SAUVES-TOI LOLA" tant qu'il est encore temps
quelle que soit votre décision je vous souhaite tout le courage du monde, et qu'Allah vous accompagne et vous guide vers la lumière
Seyida
Bonsoir, je ne suis pas arabe, ni musulmane. Je suis québécoise et je suis tombée sur votre histoire par pur hasard. Votre histoire me touche beaucoup puisque je vis quelque chose de similaire avec mon mari, originaire du Pérou. Mon fils n'avait que 6 semaines lorsqu'il a commencé à faire des allers-retours dans son pays natal et commencé à vouloir s'établir là-bas. Au début, j'étais plus ou moins d'accord mais je comprenais qu'il n'était pas heureux ici. Toutefois, lorsque j'en ai eu assez de me débrouiller seule (argent compris car il ne paie rien), j'ai commencé à mettre mes conditions qu'il faisait mine de respecter, mais qu'il réussissait toujours à détourner et ne respectait finalement pas. J'ai été longtemps tourmentée par ce que je devais faire. Premièrement, j'étais malheureuse car je ne me suis pas mariée pour vivre la pire des solitudes. deuxièmement, je ne voulais pas d'un père absent. J'ai tout fait pour le raisonner... Rien à faire. Son moyen de contester était de ne jamais m'aider financièrement étant au Québec pour me démontrer qu'il avait raison de vouloir retourner chez lui. Ce sont des salades. Ces hommes manquent de respect. Que votre Dieu porte le nom que vous voudrez, les femmes ne sont pas des esclaves à leur service. Faites-vous respecter et donnez-vous le droit de vivre heureuse et aimé. Pour ma part, avec beaucoup d'aide (je n'avais plus d'estime de moi à force d'être manipulée par cet être égoïste que je croyais connaître), je me suis séparée. En mai, je vais demander le divorce. Il continue d'essayer de me convaincre, mais vous savez ce qui est le plus étonnant? Jamais il n'a fait d'efforts pour assumer sa vie de couple ici, là où on devait vivre et il continue de s'imaginer que je vais aller le rejoindre là-bas... La réalité c'est que c'est lui qui a besoin de moi et non le contraire. J'ai des amies de toutes les nationalités, y compris de certains pays arabes. Toutes celles qui connaissent mon histoire en détails (je vous ai servi une version plus qu'abrégée) m'ont dit qu'elles n'auraient jamais autant attendu pour se séparer que moi. J'ai été 10 ans avec lui et malheureusement, ce n'était pas le bon. Je croyais au mariage... lui aussi... moi pour l'idée des liens, du respect, de l'amour et de l'entraide. Lui pour se servir de moi comme d'un esclave... Je sympathise avec vous et vous conseille d'aller prendre tout le support auprès d'organisme sérieux qui savent traiter des cas de violence psychologiques. N'écoutez pas les conseils de Madame Tout le Monde. Cherchez un vrai support, neutre. Sans biais religieux ou émotif. Nous n'avons qu'une seule vie et elle est aussi précieuse que celles des hommes. Rien ne justifie que vous continuiez de souffrir. Courage ma soeur!
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