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'Sarkozy n'est pas le bienvenu'

 L’Algérie se désendette, mais à quel prix ?
Jeudi 29 Novembre 2007

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Analyse du CADTM :
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Avec des réserves de change qui avoisinent maintenant les 70 milliards de dollars, le pays a maintenant une occasion historique de reprendre son destin en main. Contrairement à ce que le discours dominant prétend, les pays du Tiers Monde en général et l’Algérie en particulier ne manquent pas de ressources pour financer leur développement. Plutôt que de rembourser sa dette, l’Algérie pourrait et devrait utiliser l’argent du pétrole au profit de sa population. Le gouvernement algérien pourrait et devrait s’allier avec les pays de la région pour avancer vers la création d’un front uni contre le paiement de la dette. En mettant en commun ces richesses non transférées et leurs réserves de change, ils pourraient et devraient chercher à créer une nouvelle banque régionale, indépendante des puissances du Nord. Cette banque aurait pour rôle de financer, à un taux d’intérêt le moins élevé possible, pourquoi pas nul, un modèle de développement alternatif, favorisant la demande intérieure, la satisfaction des besoins humains, la coopération et la recherche de complémentarité. Les exemples récents de l’Argentine, du Venezuela ou de la Bolivie, prouvent qu’une position ferme à l’égard des IFIs et des riches créanciers du Nord peut donner des résultats très intéressants.
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Après tous les massacres d'hommes, de femmes et d'enfants durant la colonnisation et celles bien maquillées pour disqualifier à jamais le démocratie en Algérie, il y a t-il encore une dette ? envers qui ? et en quel honneur ?
 Banat Abdelwahab
Dimanche 2 Décembre 2007

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laissons la pôlémique stérile de côté, pensanr à l'avenir des deux nations barakat pourquoi est ce qu'on peut se permettre de parler de choses qui ne peuvent qu'être préjudiciables au rapprochement entre la france et l'Algérie, qu'on accorde degrace de l'inéterêt à l'économie et les échanges commerciaux c'est fini de détérrer les souvenirs nous sommes en 2007, et que personne quelque soit son ran ne doit s'arroger le droit de parler au nom de l'Algérie seul le président de la république est mandaté par le peuple à travers son election de faire la diplomatie.
Wahab Banat Alger