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Une mosquée de Cologne vandalisée, les milices kurdes accusées

 Maître Tariq Tasoeur
Vendredi 16 Mars 2018

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Voilà encore un belle exemple de débiles qui s'entretue pour une interprétation différente à propos du même dieu ???
Un dieux capables de créer un univers aurait eu la possibilité de nous mettre d'accord entre nous sur lui .
Au lieu de nous mettre devant un tribunal à la fin de notre vie !
Dieu est un dangereux salopard ils suffit de regarder les Nieuws.
Mais pourquoi dieu S'ACHARNE t'il comme ça sur les musulmans ??? Voudrait il leurs faire comprendre quelque chose 🤔
 Maître Tariq Tasoeur
Vendredi 16 Mars 2018

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Tu auras beau joué aux professeurs de français pour enfumer la vraie question de fond .
Voilà encore un belle exemple de débiles qui s'entretue pour une interprétation différente à propos du même dieu ??? .
Dieu est un dangereux salopard ils suffit de regarder les News"
J'ai de très gros doigts Karim C'est difficile pour moi de taper sur m'on S9 je ne me relis pas, enfin pas pour toi ! Par contre pour te foutre des baffes et te soumettre C'est très avantageux cocotte. 😙 le petit Tariq passeras par des mâles virils qui le tiendront fermement avec leurs grandes mains pendant qu'il prendra
 Maître Tariq Tasoeur
Vendredi 16 Mars 2018

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Soumis tu l'es déjà 😊
Soumis à un débile qui a retranscrit à sont goût la bible !
T'ais un soumis tu a un dieu imaginaire 😃
Une doctrine risibles.
Quand à moi je n'ai pas de Maître imaginaire. Pas de dieu à la cons démontable à souhait pas de gourou de pacotille baiseur qui te dit à toi de vivre dans l'abstinence et l'obligation de craindre un dieu imaginaire. Le monde se divise en deux ceux qui ont un amis imaginaire et ceux qui utilisent leurs cerveaux
 Maître Tariq Tasoeur
Vendredi 16 Mars 2018

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GenèveLes quatre Suissesses ayant dénoncé récemment dans nos colonnes les abus de l’ancien professeur saluent l’ouverture d’une enquête indépendante.
Quatre plaintes sont déposées à ce jour en France et aux Etats-Unis contre l’islamologue genevois Tariq Ramadan.

Sophie Roselli

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Elles n’y croyaient plus. Quatre mois après avoir osé briser le silence dans nos colonnes en dénonçant les abus du professeur Tariq Ramadan dans les années 80 et 90 à Genève, quatre de ses anciennes élèves réagissent à une décision de la cheffe du Département de l’instruction publique (DIP) prise dans la douleur. Ces Suissesses saluent l’ouverture d’une enquête indépendante autour de l’affaire Ramadan, élargie à d’autres cas jusqu’à nos jours.

«L’enquête aurait dû être ouverte bien plus vite, vu la gravité des faits que nous avons dénoncés publiquement en novembre. C’est scandaleux», s’exaspère Agathe*. Cette mère de famille a confié dans nos colonnes avoir consenti à quelques reprises des rapports sexuels avec son professeur, alors qu’elle avait 18 ans. Une expérience destructrice. Sommée de se taire, elle n’a jamais osé déposer plainte. Alerté à l’époque, le directeur du Collège de Saussure avait questionné le doyen Tariq Ramadan, lequel avait tout nié. L’histoire en était restée là. La jeune fille n’avait jamais été entendue.

Garantie d’anonymat

Plusieurs témoins de ces années-là pourraient être appelés à s’exprimer dans le cadre de la future enquête. Agathe s’y prépare aussi, dans la crainte. «Je veux bien témoigner, à condition d’obtenir la garantie stricte de l’anonymat.» Un avis partagé par nos autres interlocutrices, atterrées par les attaques dont est victime, sur les réseaux sociaux, l’une des trois Françaises qui a porté plainte pour viol contre l’islamologue.

Même sentiment de colère toutefois mêlé de soulagement pour Claire*. «Enfin une réaction politique forte! Cette enquête va pouvoir établir les faits sur les agissements de Tariq Ramadan», espère l’ancienne élève du Collège de Saussure. «Quand il nous invitait en tête à tête à déjeuner, on trouvait ça sympa, mais l’institution aurait dû être plus attentive à ce mélange des genres.» Une porte ouverte aux dérapages. C’est de cette façon que Claire affirme avoir été piégée, flirtant avec lui à l’âge de 17 ans, puis entretenant à l’âge de 18 ans des relations sexuelles avec ce charismatique professeur de français et de philosophie.

Au-delà du cas Ramadan, Claire espère que la lumière soit faite sur «les manquements de l’institution, dans le but de prévenir d’autres abus à l’avenir».

Les premières réponses apportées en janvier par le DIP n’ont pas été à la hauteur du problème, selon elle. «La mise en place d’une ligne téléphonique ne prévient pas ces actes interdits. Des mesures fermes doivent être prises vis-à-vis du corps enseignant, premier responsable. Pourquoi le DIP ne s’intéresse-t-il pas davantage à ses fonctionnaires de l’État? Comment est-il possible que ceux-ci abusent de leur pouvoir sur des élèves? Que fait-on pour les former à cette question, pour leur rappeler qu’ils ont un devoir de protection envers les jeunes quand ils suspectent des abus de la part d’un collègue?»

Même avis de Léa*. À l’âge de 14 ans, elle avait repoussé les avances de Tariq Ramadan dans sa voiture, alors qu’il l’emmenait déjeuner. Un rituel qu’il avait instauré avec ses élèves au Cycle des Coudriers, déjà dans les années 80. Comme Léa avait parlé de ce dérapage autour d’elle, elle se souvient avoir subi les foudres de l’enseignant. Elle s’interroge aujourd’hui sur ce qui l’a retenue de dénoncer formellement les faits.

«Pourquoi je n’en ai pas parlé à un représentant scolaire mais seulement à des amies et à mes parents? Ceux-ci avaient bien réagi en allant directement le voir pour le mettre en garde. Lui avait tout nié. Mes parents en étaient restés là. Aujourd’hui, est-ce que cela pourrait se dérouler encore de cette manière? J’attends de cette enquête qu’elle évalue les processus de l’époque et ceux actuels pour que les abus de professeurs soient enfin pris en compte.» La mise en place de la ligne téléphonique ne suffit pas à régler le problème, estime-t-elle également. «Les enseignants ont fait passer l’information aux parents d’élèves, mais l’information ne permet pas de traiter les abus. J’espère que l’audit s’intéressera aux moyens donnés aux professeurs pour être capables de gérer ce genre de problème sensible.»

«Il n’était pas le seul»

Sandra*, 15 ans lorsqu’elle a eu à deux ou trois reprises des relations intimes avec Tariq Ramadan, son professeur aux Coudriers, se dit prête à témoigner dans le cadre de cette enquête. «Je souhaitais cette action depuis le début. Tariq Ramadan n’était pas le seul à agir ainsi. Comment l’institution a-t-elle pu fermer les yeux? Il faut expliquer pourquoi cela n’a pas fonctionné. Qu’on ne nous dise pas que c’était une pratique tolérée par le passé. Aujourd’hui encore, beaucoup trop d’enseignants minimisent ce sujet.»

Le périmètre et les modalités exactes de l’enquête seront communiqués prochainement par le DIP. Pour l’heure, il s’agit de faire la lumière sur le rôle qu’ont joué les membres du conseil de direction du Collège de Saussure. Mais rien ne concerne le Cycle des Coudriers. Peu cohérent, regrettent nos interlocutrices.

* Identités connues de la rédaction

Me Bonnant: «Le combat deviendrait enfin loyal»
À Paris hier pour présider un concours d’éloquence, l’avocat genevois Me Marc Bonnant envisageait de rendre visite ce vendredi pour la première fois à son client Tariq Ramadan. Le Suisse se trouve en détention provisoire à la suite de sa mise en examen en France pour viols.

L’ancien bâtonnier s’exprime sur l’annonce de l’ouverture d’une enquête indépendante à Genève autour du cas de l’ancien professeur, en poste entre 1984 et 2004 dans la Cité de Calvin. «La présidente du Département de l’instruction publique a fait un drôle de pas de deux, alors qu’elle ne voulait pas lancer d’enquête jusqu’ici. Cela me paraît très joyeux! s’amuse-t-il. S’il y a des raisons de penser qu’il y a eu à l’école des complaisances, des yeux mi-clos ou, pire, des complicités, alors, que l’on enquête! Tout ce qui permet d’éveiller l’institution à ce genre de problème est nécessairement bénéfique, pour la protection des élèves et pour rendre la parole plus libre.» L’écoulement du temps rendra l’exercice difficile, prévient-il, tout en espérant un travail mené de «manière idéologiquement indépendante par des juges qui seraient représentatifs de la diversité sexuelle». Il ajoute: «Si cela a pour effet de rendre audible et visible les femmes qui ont dénoncé, cachées derrière votre journal, Tariq Ramadan, le combat deviendrait enfin loyal.» Et si l’audit confirmait des comportements abusifs de la part du professeur sur des élèves? «Je ne pense pas que l’on trouvera cela. Je pense plutôt qu’au bout de cette enquête un hommage sera rendu à Tariq Ramadan parce qu’il aura éveillé les consciences et permis de renforcer la vigilance. Il faudra alors créer une plaque avec ces mots: «À Tariq Ramadan, l’Instruction publique reconnaissante», ironise-t-il.

Plus sobre, Me Yaël Hayat, également constituée à Genève, s’en tient à ce commentaire: «Je ne suis aucunement étonnée de cette décision prise soudainement à la veille des élections. Je n’y vois rien de serein. Plutôt l’expression d’un chaos.» Du côté des parties plaignantes françaises, comment perçoit-on la décision des autorités genevoises? «C’est une très grande avancée, se réjouit Me Éric Morain, avocat de Christelle (prénom d’emprunt) et de deux autres femmes ayant témoigné dans la procédure. Une enquête de ce type était réclamée par beaucoup et par celles qui ont révélé les faits à Genève. Je vais d’ailleurs me rendre en Suisse prochainement pour rencontrer un certain nombre de protagonistes», déclare-t-il. Son espoir? «Que les investigations prochainement menées confirment les dires de différents témoins et montrent le visage de Tariq Ramadan tel que décrit par les trois plaignantes françaises.» S.R.

(Tribune de Genève)

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Sophie Roselli
 Maître Tariq Tasoeur
Vendredi 16 Mars 2018

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Excuse moi de ne pas croire comme l'affirme Mahomet que la terre est PLATE !!!

Et croire que Ramadan est inocent , croire c'est facile ne pas se rendre compte de la supercherie prouve une imbécilité certaines
Karim tu viens jouer au malins, maïs tu crois les légendes moyenâgeuse des sables Karim . Riens que ça en dit long à la plupart Karim, C'est comme si un adulte croyait encore au Père Noël Karim. Il perdrait toute crédibilité et tu aurais pitié de voir si peux d'intelligence chez un humains
 Olive
Mardi 20 Mars 2018

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Encore les deux tarés. Alain alias Maitre tarik pas la peine de changer de pseudo. On reconnaît la patte.
 Olive
Mardi 20 Mars 2018

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Les groupes terroristes kurdes, les alliés de l'occident. Les bons terroristes. Lol.
Heu non! Pas lol.
 Olive
Mardi 20 Mars 2018

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La France c'est Jawad. Mais je savais moi qu'ils étaient terroristes.
 Olive
Mardi 20 Mars 2018

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Il manque des mots. Je la refais pardon.
La France ne sait pas.
Elle est innocente. Comme la princesse charmante.
Elle dort et elle n'est au courant de rien. Comme Jawad.
Des terroristes kurdes. Comment ça!
Nous ne sommes au courant de rien.
Ils sont nos alliés nous ne connaissons donc rien de leurs crimes. Ca tombe sous le sens. Nos alliés ne peuvent etre que valeureux et nobles.
Le terrorisme nous ne mangeons pas de ce pain là.
Nous ne connaissons d'ailleurs meme pas le sens de ce mot.
C'est la première fois que nous l'entendons.
Terrorisme vous avez dit. Ca alors!
Non. Jamais entendu parler.
 Pinot
Mardi 20 Mars 2018

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Les terroristes sont les amis de la France. Et de l'occident en général.
Et ça fait trente ans que ça dure.
Mais bizarrement on en veut pas chez nous.
En Syrie, en Turquie, en Irak.....etc, là c'est très bien.
En Afrique c'est moins bien déjà. On a besoin de lumière. D'ailleurs nous sommes le pays des Lumières.
Les terroristes qui tuent d'autres terroristes sont de bons terroristes. Oui parce qu'il y a les terroristes bouchers, puis il y a ceux qui tuent proprement et démocratiquement.
Ceux qui tuent proprement sont de valeureux terroristes. Oups! Combattants.
Ils fomentent des attentats contre les turcs. Mais ça on s'en fout.
C'est loin. Et puis ce sont des métèques.
Ce qui compte ce sont les morts utiles. Nos ennemis à nous. Chacun sa merde.
Nos ennemis à nous donc. Ceux qui tuent de façon bestiale, à l'ancienne, qui coupent les tetes, se font exploser, écrasent les gens et tout le saint-frusquin. Ceux-là sont de mauvais terroristes.
Les terroristes qui les tuent sont nos amis, nos alliés. Les ennemis de mes ennemis.....vous connaissez. On se fiche complètement de leur sort mais ils sont nos amis.
On avait besoin des terroristes anti Assad. Les mauvais terroristes (les bouchers) ont frappé chez nous ces salops, terminé, ils sont devenus nos ennemis.
Nous reste la carte terros kurdes. Les bons terros. Ceux qui tuent proprement et démocratiquement.
On en a besoin donc on les défend. Salop d'Erdogan. Ordure. Boucher. Dictateur......etc.
Mais ce coquin d'Assad à des amis, des alliés. La carte terros est un échec.
Et on y va des valeurs, pauvres syriens victimes du terrorisme (anti terrorisme) de ce salop d'Assad. Pauvres kurdes qui pensaient compter mais dont on se fout comme de notre première chemise. Mais prendre de postures ne mange pas pain, il faut sortir avec panache de ce purin.
Nous sommes la démocratie, les valeurs, l'humanisme et tout le bordel.
 Ajeeb
Jeudi 22 Mars 2018

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Les islamophobes sont un cadeau du ciel.
Personne ne peut avoir inventé ça.
Elle est a cultiver et à chouchouter comme une mariée.
Elle est une vraie merveille.
Pourvu que jamais ça ne s'arrete.