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Une station de métro « 17 Octobre 1961 » ? piednoir
Et une rue Palestro à Alger ?
Du nom du village dont tous les habitants furent égorgés par des assassins algériens Les algériens morts le 17 octobre 1961 manifestaient sur le sol français en faveur d'ennemis en guerre contre la France. Le pays était en guerre contre ces gens là. Par un retour des choses assez ironique les algériens ont reçu Jacques Chirac à Alger aux cris : " visas ! visas ! " Pas rancuniers dorlouch
Merci d'effacer le message de cet enc... de sale raciste nazillon!!!
OUI A UNE STATION 17 OCTOBRE 1961 piedblanc
Bonsoir, salam,
De nombreux citoyens americains manifestent aux états unis donc sur le sol americain devant la maison blanche contre la guerre coloniale en Irak donc si je vous suis, piednoir, il faudrait ausi les assasinés. Fini jeanne Fonda, Sean Pean .... piednoir
je dis simplement que s'il y a en France une station du 17 octobre 1961 il faut qu'il y ait en Algérie une rue Palestro. En outre en 1961 des algériens en guerre contre la France manifestaient sur le territoire français e qui était inadmissble Aux USA ce sont des Américains qui manifestent DANS LEUR PAYS contre une politique t dans le même ordre d'idées en septembre 1970 le Roi Hussein de Jordanie soucieux de rester maître chez lui n'a pas hésité à faire titer au canon sur les civils des camps palestiniens faisant 3500 ( trois mille cinq ) morts et plus de 11000 blesses femmes enfants vieillards confondus Charbonnier est maître chez soi piedblanc
Les méchants Algériens, finalement, puisque l'ALgérie était française en 61, c'étaient pas des français qui manifestaient dans leur pays ? je peux aussi le mettre en majuscule, si vous voulez, comme pour les Américains des USA : DANS LEUR PAYS Et le petit proverbe du jour, pour montrer qu'on n'est pas comme ces méchants qui ne connaissent même pas nos proverbes... Qui terre a, guerre a Qui rien a, pis a. Sylvain
PiedNoir vous êtes cynique
Ca c'est votre droit et je vous trouve bon à ce jeu Mais vous êtes intellectuellement malhonnête. Vous refusez de reconnaître que les soit disant Algériens n'étaient pas dans leur pays à Paris!! Alors ils étaient dans quel pays? Et vous le pied blanc, vous étiez dans quel pays là-bas? Mais surtout, si la France reconnaissait qu'ils n'étaient pas dans leur pays, alors normalement il n'y aurait pas eu de pb. Or il y a eu pb justement parce que la France dont vous parlez leur disait qu'ils étaient dans leur pays mais voulait en même temps se comporter avec eux comme s'ils étaient étrangers. En fait la France pensait comme vous pensez, vous, ici maintenant. C'était en 1961. Et la France a évolué. Mais vous pas! piednoir
Justement : ils étaient français et soutenaient des factieux traîtres à leur pays
" Algérie française " c'était une fiction mais en 1961 la Loi devait être la loi piednoir
A monsieur Dorlouch
J' ai fait une copie d'écran de vos insultes Elle sera communiquée aux autorités judiciaires et la responsabilité du journal est entièrement engagée Farid D
Pied noir n'a pas tort. Au nom du principe de réciprocité et afin de conclure un réel traité de l'Amitié en la France et l'Algérie, il faudrait en effet baptiser une rue Palestro à Alger. C'est seulement à ces conditions, je veux dire par là savoir reconnaître les torts des deux camps, et non pas parceque originaire d'Algérie il faille fermer les yeux des atrocités algériennes.
Raymond
Lorsque l’on ressort une tranche pénible de notre histoire d’un placard, Il faut avoir l’honnêteté de tout exposé sans faire de récupération politique :ainsi, il me semble aussi intéressant de dénoncer aussi les faits qui ont précédé cette manifestation organisée il faut le souligner par le FLN…
« « « Été et automne 1961 : reprise des attentats contre les policiers : de la fin août au début du mois d'octobre, onze policiers ont été tués et dix-sept autre blessés… » » » parisgus
Cette idée de station de métro est grotesque. C'est une manif à l'appel du FLN qui à déclaré la guerre ouverte à l'état francais ! Non content d' "opérer" en plein couvre feu, le FLN "invita expressément" tous les algériens à participer à la manifestation.
Sulak Pauline
A lire sur : http://www.hns-info.net/spip.php?article15674
Dans le cadre des événements du souvenir du 17 octobre 61 à Paris… « Le Frabyle » (seul en scène suivi d’un débat) propose son regard le 17 octobre 2008 à 21h30 à Paris Après la manifestation prévue de 18h/20h sur le pont St Michel Au « Paname » 14 rue de la Fontaine au Roi 75011 Paris Réservation sms, nom et nombre de pers 06 33 26 31 32 ou mail restopaname@gmail.com « Quand le meilleur naît du pire il est souvent meilleur pour le plus grand nombre » Tayeb Belmihoub, auteur, comédien, a également participé au tournage Du film d’Alain Tasma « Nuit noire » sur Canal + « Etre Frabyle, c’est un France/Algérie quotidien ! » Le Frabyle, c’est le spectacle de tous les mélanges, des mélanges réussis ou ratés, des traditions différentes avec leur lot de richesses, d’ouverture et de tolérance mais également de douleurs, de déséquilibres, de questions et de doutes… Le Frabyle, c’est le spectacle de celles et ceux qui aiment la terre de leur naissance et celle de leurs ancêtres et qui les partagent sur une même terre… Le Frabyle, c’est le spectacle de tous les français, de celles ceux qui ont envie de découvrir ou de partager, sans imposer mais sans oublier pour autant leurs convictions ni leurs traditions. C’est le langage de celles ceux qui n’ont pas peur de leurs différences… Le Frabyle, c’est le spectacle de tous ces immigrés, dont les enfants, français, ne supportent plus d’être appelés des « beurs », rejettent la notion d’intégration, les amalgames cités/ délinquants, musulmans/terroristes et attendent qu’on leur parle « avenir » avec des mots comme possible, égalité, équilibre… ROMAIN BOUTEILLE « Il faut avoir suivi Tayeb Belmihoub dans sa promenade sereine entre les vagues de la violence publique. J’allais dire sa promenade « digestive » à cause de la cocasserie mais, sous les cendres couve une lucidité plus chirurgicale qu’intestinale. La haine n’est pas quelque chose de familier sur les trottoirs où l’on parle en « frabyle », dans ce ramassis d’argots kabyle, chtimi, parisien on trouve une profondeur serbo-croate et cette clarté imparable des coups de pieds au cul mais aucune hargne. On trouve une espèce d’universalité soignante. Je ne sais pas par quel tour de magie chacun retrouve là ses petits, ses proches, son lait maternel. » KARIM ZERIBI « Ce soir là, c’est aussi un homme qui m’a permis de partager avec d’autres, un moment délicieux car la paix et la cohésion humaine –et non sociale pour une fois- étaient au menu. Ce soir là enfin, c’est aussi un citoyen qui s’est exprimé avec sincérité, intelligence et authenticité sur des sujets de société ô combien sensibles puisque nous les traînons comme des boulets depuis plus de 20 ans. Le FRABYLE, je l’ai découvert un soir d’été au festival d’Avignon. Dès la fin du spectacle, je me suis promis, en tant qu’acteur de terrain, de transmettre le message comme on le faisait à d’autres époques, afin que le plus grand nombre de femmes et d’hommes, de jeunes et d’anciens, de riches et de pauvres puissent profiter de ce moment de bonheur auquel j’ai eu droit. Celles et ceux qui représentent la majorité –trop- silencieuse et qui aspirent à vivre ensemble dans le respect mutuel seront en parfaite osmose avec cet artiste- citoyen libre qui refuse le fatalisme ambiant et l’enfermement identitaire.» LA PROVENCE « Tayeb propose des mots justes. Il nous emmène dans son voyage semé d’embûches et de joies. Pour lui « le monde est un livre (….) Il est temps que l’on donne aux individus la possibilité de lire leur livre sans distinction idéologique ou religieuse » Il se dégage un tel espoir des paroles de Tayeb, une lumière, un regard, un sourire qui vous font réfléchir. Il respire une sorte de plénitude, la leçon de vie de cet homme est à voir absolument. » Si…. Si tu peux déclamer sans être censuré Si tu peux critiquer sans être menacé Si tu peux t’opposer sans être emprisonné Si tu peux dénoncer sans être exécuté Si tu peux être femme sans être bafouée Si tu peux sans trembler dire ta berbérité Si tu peux être jeune sans être désespéré Si tu peux dire « je t’aime » sans être décrié Si tu peux t’incliner sans que ta barbe pousse pour faire cesser enfin le sang qui éclabousse, Si l’on accueille enfin comme un hôte de marque celui qui, hier encor, subissait la matraque, Si ta peau basanée et tes cheveux frisés ne sont plus un prétexte à mieux te contrôler, Si implorent pardon ceux qui ont torturé Si la mémoire revient à ceux qui ont tué Si le nom de ton père est enfin honoré pour avoir, de son sang, servi la Liberté, Si les pouvoirs abdiquent de leurs desseins obscurs Si les peuples décident enfin de leurs futurs Si les mères patries rapprochent leurs rivages pour qu’enfin leurs enfants ne fassent plus naufrage, Si, Si, Si… Alors et alors seulement, en « Hommes Libres* » nous fêterons ensemble « l’Année de l’Algérie en France » Alors et alors seulement en « Hommes Libres » nous ferons exister ensemble « l’Année de la France en Algérie » ! TAYEB BELMIHOUB - LE LIVRE "Le Frabyle -Entre Kabylie & France, le grand pardon ?" paru aux Editions manuscrit.com 4ème de Couverture "Certains actes de notre vie se plaisent à précéder notre pensée. Celui qui m'a conduit à offrir en partage ces quelques lignes s'est manifesté sans que j'ai eu le temps ni même l'envie de l'analyser. Je me nomme ou plus exactement, j'ai été nommé Belmihoub Mohamed Tayeb, fils de Belmihoub Mohamed Mouloud, kabyle jusqu'au bout des montagnes et de Allart Marguerite son épouse, plus ch'timi que le tréfonds d'une mine. Malheureusement, la conjugaison de certains mots, surtout s'ils sont des noms propres, donne à vivre une grammaire quotidienne dont les règles souffrent de « déclinaisons » et « irrégularités » très singulières." Tayeb Belmihoub, après son livre « Une balle pour la paix » paru en novembre 2005 et malgré de longues pérégrinations à travers la France pour donner des conférences « Football, vecteur de paix », a trouvé le temps et l'envie de nous faire partager ses points de vues sur la France d'aujourd'hui à travers le prisme et le regard de celles et ceux qui sont, comme l'on se plait à dire « issus d'une double culture »… Ces français à peu près comme les autres, à cela près que souvent, l'un de leur parent est « d'origine »…Et c'est là que tout commence et c'est là que parfois tout fini… Après avoir parcouru la France avec son seul en scène – il est également comédien et auteur d'une pièce de théâtre : « le Frabyle », (français/kabyle), il a pendant 5 ans, à travers les débats qui suivent chacune des représentations, rencontré des milliers de personnes, jeunes, plus âgées, homme, femmes, croyants ou athées, « d'origine » ou « issus de », ou « Frabyle » comme lui. Il les a écoutés, entendus, ils ont échangé et peu à peu s'est dessinée la carte de cette « France Frabyle » avec laquelle il faut maintenant compter et qui doit permettre à chacun de prendre la place qui lui revient dans une société que tous contribuent à faire progresser. TABLE DES MATIERES L'auteur – Tayeb Belmihoub Préface de Romain bouteille Préambule de Tayeb belmihoub Chapitre 1 DELIT DE FACIES – DELIT DE NOM Chapitre 2 LES ORIGINES Chapitre 3 JUIFS & MUSULMANS Chapitre 4 LA GUERRE D'ALGERIE Chapitre 5 LA POLICE, LES POLITIQUES & L'ISLAM Chapitre 6 LA DOUBLE CULTURE : Double identité – double nationalité Chapitre 7 RACISME OU XENOPHOBIE Chapitre 8 KABYLE, ARABE ? Chapitre 9 LES « BEURS» & LES « INDIGENES » Chapitre 10 LES HARKIS – LE FLN – L'OAS Chapitre 11 ALGERIE/FRANCE : SEXUALITE & ISLAM Chapitre 12 LES BANLIEUES DU MONDE |
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