Sur le vif
Avec 339 voix en sa faveur lors du troisième tour de scrutin, alors que 276 voix, la majorité absolue, auraient suffi pour le faire remporter le scrutin, Abdullah Gül, jusqu'ici chef de la diplomatie turque, a été élu aujourd'hui président de la république laïque turque.
Ses deux autres rivaux, Sabahattin Cakmakoglu, du Parti de l'action nationaliste (MHP) et Hüseyin Tayfun Içli du Parti de la gauche démocratique, ont obtenu respectivement 70 et 13 voix.
Pour le quotidien turc Milliyet, "l'élection de Gül constituera un tournant dans notre histoire politique, qui devrait nous rapprocher encore un peu plus de la maturité démocratique", tandis que le quotidien Vatan estime que "les débuts de M. Gül ne seront pas faciles. Chacun de ses pas sera scruté à la loupe par les institutions et certaines franges de la société sensibles à la laïcité, estimait le quotidien populaire Vatan. Gül devra faire attention et faire des efforts pour les calmer".
Ses deux autres rivaux, Sabahattin Cakmakoglu, du Parti de l'action nationaliste (MHP) et Hüseyin Tayfun Içli du Parti de la gauche démocratique, ont obtenu respectivement 70 et 13 voix.
Pour le quotidien turc Milliyet, "l'élection de Gül constituera un tournant dans notre histoire politique, qui devrait nous rapprocher encore un peu plus de la maturité démocratique", tandis que le quotidien Vatan estime que "les débuts de M. Gül ne seront pas faciles. Chacun de ses pas sera scruté à la loupe par les institutions et certaines franges de la société sensibles à la laïcité, estimait le quotidien populaire Vatan. Gül devra faire attention et faire des efforts pour les calmer".
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