Israël avait annoncé, ce samedi 28 septembre, la mort du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans un bombardement commis la veille dans le sud de Beyrouth.
La milice chiite a confirmé la mort de son leader dans un communiqué dans lequel il est dit qu'il « a rejoint ses grands et immortels martyrs dont il a dirigé le parcours pendant près de trente ans » et a promis qu'elle poursuivrait la lutte aux côtés des Libanais et des Palestiniens.
Âgé de 64 ans, Hassan Nasrallah dirigeait depuis 1992 le mouvement et en a fait une force politique et militaire incontournable au Liban, avec le soutien de l'Iran. Ce chef « était l’un des plus grands ennemis de tous les temps de l’Etat d’Israël (…). Son élimination rend le monde plus sûr », a affirmé face à la presse Daniel Hagari le porte-parole de l’armée israélienne. Cette dernière n'est pourtant pas prête à ranger ses armes, indiquant que sa mission visant à mettre fin à la menace que représente le Hezbollah pour Israël n'est pas terminée.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahou s'est déjà exprimé en ce sens vendredi 27 septembre à New York devant la tribune de l'ONU, en déclarant que son pays se bat « pour sa survie ». En signe d'opposition à Israël, plusieurs délégations ont quitté l'Assemblée générale. Les appels au cessez-le-feu au Liban sont restés lettre morte mais aucune sanction contre Israël n'est cependant en vue alors que la région glisse vers un grave conflit régional.
Cet assassinat intervient deux mois après celui du chef de la branche politique du Hamas, Ismaël Haniyeh, survenue à Téhéran. Selon le dernier bilan humain annoncé par les autorités libanaises, les frappes israéliennes ont tué plus de 700 personnes en une semaine. Plus de 250 000 personnes ont dû également fuir leur domicile.
Lire aussi :
Israël bombarde le sud Liban, « une autre Gaza » redoutée par l’ONU
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Âgé de 64 ans, Hassan Nasrallah dirigeait depuis 1992 le mouvement et en a fait une force politique et militaire incontournable au Liban, avec le soutien de l'Iran. Ce chef « était l’un des plus grands ennemis de tous les temps de l’Etat d’Israël (…). Son élimination rend le monde plus sûr », a affirmé face à la presse Daniel Hagari le porte-parole de l’armée israélienne. Cette dernière n'est pourtant pas prête à ranger ses armes, indiquant que sa mission visant à mettre fin à la menace que représente le Hezbollah pour Israël n'est pas terminée.
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Cet assassinat intervient deux mois après celui du chef de la branche politique du Hamas, Ismaël Haniyeh, survenue à Téhéran. Selon le dernier bilan humain annoncé par les autorités libanaises, les frappes israéliennes ont tué plus de 700 personnes en une semaine. Plus de 250 000 personnes ont dû également fuir leur domicile.
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