Le Parlement britannique a adopté mercredi une nouvelle loi sur l'immigration, qui facilite l'entrée dans le pays aux immigrés les plus qualifiés, mais ferme la porte aux autres.
La loi entrera en vigueur dès qu'elle aura obtenu l'assentiment royal, une formalité qui devrait intervenir jeudi.
Semblable dans son principe aux systèmes canadien, australien et néo-zélandais, la loi attribue des "points" aux candidats à l'immigration en fonction de leur âge, métier et diplômes.
Certaines catégories, comme les entrepreneurs, scientifiques, médecins, ingénieurs, informaticiens et financiers, pourront entrer dans le pays sans offre d'emploi préalable et amener leur famille.
Les infirmiers, enseignants, comptables et autres salariés intermédiaires seront accueillis, avec leur famille, dans les secteurs manquant de main d'oeuvre, mais une offre d'emploi ne leur garantira pas l'entrée en Grande-Bretagne.
Les travailleurs peu qualifiés hors-Union européenne devront pour leur part répondre à une offre précise, pour une durée fixée à l'avance et avec la garantie de leur départ à l'issue du contrat.
Le Royaume-Uni veut progressivement mettre fin à cette immigration et compte, par exemple pour les secteurs du tourisme et de l'agriculture, sur les immigrants des nouveaux pays de l'Est.
La loi prévoit également l'enregistrement des empreintes digitales des candidats à l'immigration et des restrictions aux droits d'appel des candidats à l'immigration déboutés.
Les députés de l'aile gauche du Labour et les libéraux-démocrates n'ont pas réussi à obtenir mercredi que les demandeurs d'asile déboutés obtiennent une aide financière en liquide en attendant de quitter le pays. Cette proposition a été rejetée par 308 voix contre 89.
Les immigrants obtiendront une aide sous forme de bons d'achat. "Nous ne pensons pas que donner de l'argent liquide soit approprié car nous voulons que la petite cohorte d'immigrants déboutés dont nous parlons reste sous contrôle comme dans le régime actuel", a déclaré le secrétaire d'Etat à l'Immigration et la nationalité Tony McNulty.
La loi entrera en vigueur dès qu'elle aura obtenu l'assentiment royal, une formalité qui devrait intervenir jeudi.
Semblable dans son principe aux systèmes canadien, australien et néo-zélandais, la loi attribue des "points" aux candidats à l'immigration en fonction de leur âge, métier et diplômes.
Certaines catégories, comme les entrepreneurs, scientifiques, médecins, ingénieurs, informaticiens et financiers, pourront entrer dans le pays sans offre d'emploi préalable et amener leur famille.
Les infirmiers, enseignants, comptables et autres salariés intermédiaires seront accueillis, avec leur famille, dans les secteurs manquant de main d'oeuvre, mais une offre d'emploi ne leur garantira pas l'entrée en Grande-Bretagne.
Les travailleurs peu qualifiés hors-Union européenne devront pour leur part répondre à une offre précise, pour une durée fixée à l'avance et avec la garantie de leur départ à l'issue du contrat.
Le Royaume-Uni veut progressivement mettre fin à cette immigration et compte, par exemple pour les secteurs du tourisme et de l'agriculture, sur les immigrants des nouveaux pays de l'Est.
La loi prévoit également l'enregistrement des empreintes digitales des candidats à l'immigration et des restrictions aux droits d'appel des candidats à l'immigration déboutés.
Les députés de l'aile gauche du Labour et les libéraux-démocrates n'ont pas réussi à obtenir mercredi que les demandeurs d'asile déboutés obtiennent une aide financière en liquide en attendant de quitter le pays. Cette proposition a été rejetée par 308 voix contre 89.
Les immigrants obtiendront une aide sous forme de bons d'achat. "Nous ne pensons pas que donner de l'argent liquide soit approprié car nous voulons que la petite cohorte d'immigrants déboutés dont nous parlons reste sous contrôle comme dans le régime actuel", a déclaré le secrétaire d'Etat à l'Immigration et la nationalité Tony McNulty.