Sur le vif
L'enlèvement de deux Français et de trois guides afghans dans le sud-ouest de l'Afghanistan a été revendiqué par les talibans.
Mardi, les deux otages, un homme et une femme travaillant pour l'organisation humanitaire Terre d'enfance, ont disparu avec leur chauffeur et deux autres accompagnateurs dans la province de Nimroz, où les islamistes ont lancé une série d'attaques.
"Les moudjahidine de l'Etat islamique ont arrêté mercredi 4 avril 2007 deux Français - un homme du nom d'Eric et une femme du nom de Salma - ainsi que trois Afghans", dit un communiqué en langue arabe diffusé sur un site internet.
"Les captifs seront traités conformément à la décision du conseil des dirigeants", ajoute-t-il sans autres précisions.
L'authenticité du communiqué n'a pu être établie.
Un peu plus tôt, le gouverneur de Nimroz, Ghulam Dastgir Azad, avait déclaré à Reuters que les taliban n'avaient pas pris contact avec les autorités afghanes et qu'il ignorait le mobile des enlèvements.
Deux cents policiers ont été mobilisés pour rechercher les cinq otages. "Nous redoublons d'efforts pour les retrouver", a indiqué le porte-parole du ministère afghan de l'Intérieur, Zemarai Bashary.
Mardi, les deux otages, un homme et une femme travaillant pour l'organisation humanitaire Terre d'enfance, ont disparu avec leur chauffeur et deux autres accompagnateurs dans la province de Nimroz, où les islamistes ont lancé une série d'attaques.
"Les moudjahidine de l'Etat islamique ont arrêté mercredi 4 avril 2007 deux Français - un homme du nom d'Eric et une femme du nom de Salma - ainsi que trois Afghans", dit un communiqué en langue arabe diffusé sur un site internet.
"Les captifs seront traités conformément à la décision du conseil des dirigeants", ajoute-t-il sans autres précisions.
L'authenticité du communiqué n'a pu être établie.
Un peu plus tôt, le gouverneur de Nimroz, Ghulam Dastgir Azad, avait déclaré à Reuters que les taliban n'avaient pas pris contact avec les autorités afghanes et qu'il ignorait le mobile des enlèvements.
Deux cents policiers ont été mobilisés pour rechercher les cinq otages. "Nous redoublons d'efforts pour les retrouver", a indiqué le porte-parole du ministère afghan de l'Intérieur, Zemarai Bashary.
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