Sur le vif
La crise des otages en Afghanistan, où un Français est toujours retenu par les talibans, entre "dans une nouvelle phase" après la libération samedi de Céline, a déclaré lundi le ministre des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy.
"Nous avons aujourd'hui une certitude: c'est que Céline étant rentrée, les talibans ayant demandé un certain nombre de revendications, l'ultimatum étant précis, nous rentrons maintenant dans une nouvelle phase", a déclaré M. Douste-Blazy sur LCI.
Les talibans ont fixé au 5 mai, veille du deuxième tour de l'élection présidentielle, leur nouvel ultimatum pour libérer Eric, leur autre otage français membre de l'ONG Terre d'Enfance et les trois Afghans qui l'accompagnaient.
Ils avaient présenté le 20 avril plusieurs revendications à Paris, exigeant en particulier un retrait de ses soldats d'Afghanistan en échange de la liberté des otages.
Libérée samedi, Céline est arrivée dans la plus grande discrétion dimanche en France où elle doit subir des examens et être interrogée par les services secrets.
"Nous travaillons dans le sens d'une libération la plus rapide possible. Vous savez qu'il y a un ultimatum précis", a répété M. Douste-Blazy, en soulignant la volonté des autorités françaises d'oeuvrer dans ce dossier avec "détermination mais aussi discrétion". Le président Jacques Chirac "est le premier à s'en occuper en permanence".
"Nous avons aujourd'hui une certitude: c'est que Céline étant rentrée, les talibans ayant demandé un certain nombre de revendications, l'ultimatum étant précis, nous rentrons maintenant dans une nouvelle phase", a déclaré M. Douste-Blazy sur LCI.
Les talibans ont fixé au 5 mai, veille du deuxième tour de l'élection présidentielle, leur nouvel ultimatum pour libérer Eric, leur autre otage français membre de l'ONG Terre d'Enfance et les trois Afghans qui l'accompagnaient.
Ils avaient présenté le 20 avril plusieurs revendications à Paris, exigeant en particulier un retrait de ses soldats d'Afghanistan en échange de la liberté des otages.
Libérée samedi, Céline est arrivée dans la plus grande discrétion dimanche en France où elle doit subir des examens et être interrogée par les services secrets.
"Nous travaillons dans le sens d'une libération la plus rapide possible. Vous savez qu'il y a un ultimatum précis", a répété M. Douste-Blazy, en soulignant la volonté des autorités françaises d'oeuvrer dans ce dossier avec "détermination mais aussi discrétion". Le président Jacques Chirac "est le premier à s'en occuper en permanence".
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