« Nous voulons que la justice oblige le gouvernement à légiférer pour reconnaître les mariages musulmans », a déclaré à l'AFP Seehaam Samaain, directrice du Centre juridique des femmes (Women's Legal Centre – WLC).
Son organisation a intenté une action en justice lundi dernier contre le gouvernement afin d’obtenir la reconnaissance légale du mariage religieux musulman. Avec cette action en justice, le WLC dit vouloir combattre « une discrimination ». La loi sud-africaine reconnaît uniquement les unions civiles et coutumières.
La non-reconnaissance du mariage musulman implique des complications lors du divorce mais aussi au cours de la vie du vouple (partage des biens, décès du mari…) selon WLC.
L'action en justice a été présentée devant la Haute Cour du Cap qui devrait statuer dans deux semaines. Les musulmans représenteraient 3 % de la population sud-africaine, estimée à 56 millions d'habitants.
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Le mariage : entre acte civil et acte religieux
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