Sur le vif
Toutes les fédérations syndicales de l'Education nationale appellent à une mobilisation "massive" le 20 novembre, date de la grève dans la fonction publique.
Face à la politique du gouvernement, les fédérations FAEN, FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT, UNSA Education estiment dans un communiqué commun "que l'heure est venue d'une riposte d'envergure pour obtenir un nouveau budget et donner un nouvel élan au système éducatif".
"Avec 11.200 suppressions de postes à la rentrée 2008, s'ajoutant aux milliers de suppressions de ces dernières années et au chômage croissant des précaires, une nouvelle étape est franchie dans la dégradation du service public d'éducation", soulignent les signataires.
Les syndicats de la fonction publique ont lancé un mot d'ordre de grève pour le 20 novembre pour obtenir des mesures sur le pouvoir d'achat et des assurances sur l'emploi public.
"La réduction des effectifs n'est pas en soi un sujet", a déclaré le ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, Eric Woerth, mardi sur BFM TV.
"L'idée de supprimer des effectifs c'est pas d'aller contre la qualité du service public, c'est d'organiser différemment le service public", a-t-il ajouté.
De leur côté, les syndicats de la SNCF et de la RATP décideront le 31 octobre d'un éventuel nouveau mouvement de grève pour la mi-novembre pour contester les modalités de réforme des régimes spéciaux de retraite.
Face à la politique du gouvernement, les fédérations FAEN, FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT, UNSA Education estiment dans un communiqué commun "que l'heure est venue d'une riposte d'envergure pour obtenir un nouveau budget et donner un nouvel élan au système éducatif".
"Avec 11.200 suppressions de postes à la rentrée 2008, s'ajoutant aux milliers de suppressions de ces dernières années et au chômage croissant des précaires, une nouvelle étape est franchie dans la dégradation du service public d'éducation", soulignent les signataires.
Les syndicats de la fonction publique ont lancé un mot d'ordre de grève pour le 20 novembre pour obtenir des mesures sur le pouvoir d'achat et des assurances sur l'emploi public.
"La réduction des effectifs n'est pas en soi un sujet", a déclaré le ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, Eric Woerth, mardi sur BFM TV.
"L'idée de supprimer des effectifs c'est pas d'aller contre la qualité du service public, c'est d'organiser différemment le service public", a-t-il ajouté.
De leur côté, les syndicats de la SNCF et de la RATP décideront le 31 octobre d'un éventuel nouveau mouvement de grève pour la mi-novembre pour contester les modalités de réforme des régimes spéciaux de retraite.
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