Un attentat survenu dimanche 13 novembre sur la grande avenue Istiklal à Istanbul a provoqué la mort de six personnes dont deux enfants de 9 et 15 ans. Le bilan humain fait aussi état de 81 blessés. Très rapidement, la piste terroriste a été privilégiée par les autorités turques. « Les auteurs de ce vil attentat seront démasqués. Que notre population soit sûre que les auteurs seront punis », a très tôt promis le président Recep Tayyip Erdogan.
Les premiers éléments de l’enquête, selon le ministère de l’Intérieur, mènent à l’organisation kurde du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), considéré comme une entité terroriste par Ankara ainsi que les États-Unis et l'Union européenne. Une jeune femme interpellée et accusée d’avoir posé la bombe est de nationalité syrienne et a reconnu les faits, a annoncé la police turque. Elle aurait reconnu avoir agi sur ordre du PKK et reçu des directives à Kobané dans le nord-est de la Syrie.
« En ce jour si symbolique pour notre Nation, alors que nous pensons aux victimes tombées le 13 novembre 2015, le peuple turc est frappé par un attentat en son cœur, Istanbul. Aux Turcs : nous partageons votre peine. Nous nous tenons à vos côtés dans la lutte contre le terrorisme », a fait savoir le président français Emmanuel Macron.
« Toute ma solidarité avec les familles victimes de cet acte terroriste à Istanbul Istanbul vient de vivre une attaque qui vient endeuiller la Turquie. Le terrorisme n’a pas sa place dans notre société ! », a naturellement réagi le Comité de coordination des musulmans turcs de France (CCMTF).
« Alors que nous pensons à nos victimes de 2015 et exprimons aux survivants et aux endeuillés notre soutien, l’attentat contre la Turquie vient nous rappeler que le terrorisme est un ennemi de toute l’humanité. Paix aux victimes, sincères condoléances et soutien total au peuple turc », a souligné le président de l’Union des mosquées de France (UMF), Mohammed Moussaoui.
La Grande Mosquée de Paris a aussi réagi, lundi 14 novembre, pour dénoncer un « odieux attentat » survenu dans une métropole « déjà touchée par le terrorisme dans un passé récent » comme le double attentat revendiqué par le TAK, groupe radical kurde proche du PKK, près d'un stade de foot stambouliote qui a fait 47 morts. « Au lendemain de ce jour noir, nos prières s’élèvent pour le rétablissement des victimes et pour que la ville d’Istanbul, merveille de l’Humanité, ne soit plus jamais le théâtre de pareilles violences », déclare l’institution. Des expressions de solidarité parmi tant d'autres en France mais aussi à l'international comme l'Organisation de la coopération islamique (OCI), qui a réitéré sa « position ferme contre le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations ».
Lire aussi :
Un Mawlid à l’heure turque à Paris, le Diyanet et Maher Zain au rendez-vous
Les premiers éléments de l’enquête, selon le ministère de l’Intérieur, mènent à l’organisation kurde du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), considéré comme une entité terroriste par Ankara ainsi que les États-Unis et l'Union européenne. Une jeune femme interpellée et accusée d’avoir posé la bombe est de nationalité syrienne et a reconnu les faits, a annoncé la police turque. Elle aurait reconnu avoir agi sur ordre du PKK et reçu des directives à Kobané dans le nord-est de la Syrie.
« En ce jour si symbolique pour notre Nation, alors que nous pensons aux victimes tombées le 13 novembre 2015, le peuple turc est frappé par un attentat en son cœur, Istanbul. Aux Turcs : nous partageons votre peine. Nous nous tenons à vos côtés dans la lutte contre le terrorisme », a fait savoir le président français Emmanuel Macron.
« Toute ma solidarité avec les familles victimes de cet acte terroriste à Istanbul Istanbul vient de vivre une attaque qui vient endeuiller la Turquie. Le terrorisme n’a pas sa place dans notre société ! », a naturellement réagi le Comité de coordination des musulmans turcs de France (CCMTF).
« Alors que nous pensons à nos victimes de 2015 et exprimons aux survivants et aux endeuillés notre soutien, l’attentat contre la Turquie vient nous rappeler que le terrorisme est un ennemi de toute l’humanité. Paix aux victimes, sincères condoléances et soutien total au peuple turc », a souligné le président de l’Union des mosquées de France (UMF), Mohammed Moussaoui.
La Grande Mosquée de Paris a aussi réagi, lundi 14 novembre, pour dénoncer un « odieux attentat » survenu dans une métropole « déjà touchée par le terrorisme dans un passé récent » comme le double attentat revendiqué par le TAK, groupe radical kurde proche du PKK, près d'un stade de foot stambouliote qui a fait 47 morts. « Au lendemain de ce jour noir, nos prières s’élèvent pour le rétablissement des victimes et pour que la ville d’Istanbul, merveille de l’Humanité, ne soit plus jamais le théâtre de pareilles violences », déclare l’institution. Des expressions de solidarité parmi tant d'autres en France mais aussi à l'international comme l'Organisation de la coopération islamique (OCI), qui a réitéré sa « position ferme contre le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations ».
Lire aussi :
Un Mawlid à l’heure turque à Paris, le Diyanet et Maher Zain au rendez-vous