Les corps d'au moins dix personnes, dont certains déchiquetés, gisaient sur la chaussée juste après l'explosion et plusieurs personnes étaient blessées, a témoigné le journaliste de l'AFP.
"Il s'agissait d'un attentat suicide, un kamikaze a fait exploser la bombe qu'il portait sur lui alors que les gens quittaient le meeting", a précisé le porte-parole du ministère de l'intérieur, Javed Cheema.
"Nous ne connaissons pas encore le nombre de victimes", a-t-il précisé. Ce drame est le dernier d'une série record d'attentats suicide dans l'histoire du Pakistan, qui ont fait plus de 170 morts en 2007.
Le plus meurtrier, pour l'heure, avait déjà visé une manifestation du parti de Benazir Bhutto : le 18 octobre, deux kamikazes avaient tué 139 personnes dans un gigantesque défilé de sympathisants qui célébraient, à Karachi, la grande ville du sud, le retour de l'ex-premier ministre de six années d'exil.
Jusqu'à présent, Benazir Bhutto avait échappé aux kamikazes parce qu'elle se trouvait à l'intérieur d'un camion blindé en tête du défilé. Avec la mort de Mme Bhutto, le Pakistan perd l'une figures historique de l'opposition, au régime militaire du général Musharraf.
Saphirnews/AFP
"Il s'agissait d'un attentat suicide, un kamikaze a fait exploser la bombe qu'il portait sur lui alors que les gens quittaient le meeting", a précisé le porte-parole du ministère de l'intérieur, Javed Cheema.
"Nous ne connaissons pas encore le nombre de victimes", a-t-il précisé. Ce drame est le dernier d'une série record d'attentats suicide dans l'histoire du Pakistan, qui ont fait plus de 170 morts en 2007.
Le plus meurtrier, pour l'heure, avait déjà visé une manifestation du parti de Benazir Bhutto : le 18 octobre, deux kamikazes avaient tué 139 personnes dans un gigantesque défilé de sympathisants qui célébraient, à Karachi, la grande ville du sud, le retour de l'ex-premier ministre de six années d'exil.
Jusqu'à présent, Benazir Bhutto avait échappé aux kamikazes parce qu'elle se trouvait à l'intérieur d'un camion blindé en tête du défilé. Avec la mort de Mme Bhutto, le Pakistan perd l'une figures historique de l'opposition, au régime militaire du général Musharraf.
Saphirnews/AFP