Sur le vif
George Bush, déclare qu'il attend avec impatience de travailler avec Nicolas Sarkozy tout en prédisant que le nouveau président français et lui ne seront pas toujours d'accord.
L'élection de Sarkozy a été accueillie à Washington comme le signe d'un possible renforcement de la relation transatlantique, qui a été marquée par l'opposition entre George Bush et Jacques Chirac sur la guerre en Irak.
Dans son premier discours de président élu, dimanche soir, Nicolas Sarkozy s'était directement adressé "à nos amis américains" pour leur dire "qu'ils peuvent compter sur notre amitié".
"Mais je veux leur dire aussi que l'amitié c'est accepter que ses amis puissent penser différemment et qu'un grande nation comme les Etats-Unis a le devoir de ne pas faire obstacle à la lutte contre le réchauffement climatique mais au contraire de prendre la tête de ce combat parce ce que ce qui est en jeu c'est le sort de l'humanité tout entière", avait-il ajouté.
Le président des Etats-Unis a précisé qu'il avait appelé Sarkozy peu après son élection, dimanche.
"Je l'ai rencontré par le passé lorsqu'il est venu ici et je l'ai trouvé très engageant, énergique, habile et compétent. Nous aurons des divergences et nous aurons des convergences, et j'attends avec impatience de travailler avec lui", a poursuivi le président américain.
Les deux hommes se sont rencontrés en septembre dernier à la Maison blanche.
L'élection de Sarkozy a été accueillie à Washington comme le signe d'un possible renforcement de la relation transatlantique, qui a été marquée par l'opposition entre George Bush et Jacques Chirac sur la guerre en Irak.
Dans son premier discours de président élu, dimanche soir, Nicolas Sarkozy s'était directement adressé "à nos amis américains" pour leur dire "qu'ils peuvent compter sur notre amitié".
"Mais je veux leur dire aussi que l'amitié c'est accepter que ses amis puissent penser différemment et qu'un grande nation comme les Etats-Unis a le devoir de ne pas faire obstacle à la lutte contre le réchauffement climatique mais au contraire de prendre la tête de ce combat parce ce que ce qui est en jeu c'est le sort de l'humanité tout entière", avait-il ajouté.
Le président des Etats-Unis a précisé qu'il avait appelé Sarkozy peu après son élection, dimanche.
"Je l'ai rencontré par le passé lorsqu'il est venu ici et je l'ai trouvé très engageant, énergique, habile et compétent. Nous aurons des divergences et nous aurons des convergences, et j'attends avec impatience de travailler avec lui", a poursuivi le président américain.
Les deux hommes se sont rencontrés en septembre dernier à la Maison blanche.
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