L'ancien président américain George Bush, père de l'actuel président George W. Bush a dénoncé "l'animosité personnelle" des médias à l'égard de son fils.
"C'est une chose d'avoir une relation conflictuelle avec les médias lorsqu'ils se montrent intransigeants. Mais quand la parole des journalistes va au-delà de l'expression d'un certain scepticisme pour adopter un discours continûment critique, mû par l'hostilité et une animosité personnelle, cela dépasse les limites", a-t-il déclaré.
"Parfois cela va tellement loin que je me retrouve à faire quelque chose que je n'avais fait auparavant : je réponds à mon poste de télévision (...), a poursuivi l'ancien président des Etats-Unis lors d'une cérémonie organisée en honneur de Hugh Sidey, ancien correspondant du magazine Time à la Maison blanche récemment décédé.
L'actuel président, dont l'indice de popularité est tombé à un plus bas depuis sa prise de fonctions en 2001, à environ 33%, a de son côté répondu aux critiques du Congrès, désormais à majorité démocrate, au sujet de son nouveau plan pour l'Irak en disant qu'il était "celui qui prend les décisions".
Lors de son discours sur l'état de l'Union, George Bush a demandé au Congrès d'approuver l'envoi de 21.500 soldats supplémentaires en Irak, un projet qui rencontre à la fois l'hostilité des législateurs et de l'opinion publique américaine.
S'exprimant devant des journalistes à l'issue d'une rencontre avec le lieutenant général David Petraeus, qui sera chargé de mettre en oeuvre le plan, George Bush a dit être conscient du scepticisme ambiant tout en notant que "certains condamnaient un plan qui n'a même pas encore eu l'occasion de faire ses preuves".
"(...) Au Congrès, à peu près tout le monde est d'accord pour dire qu'un échec (en Irak) serait un désastre pour les Etats-Unis. Comme je suis celui qui prend les décisions, il était de mon devoir d'imaginer un moyen susceptible d'empêcher ce désastre", a poursuivi George W. Bush.
"C'est une chose d'avoir une relation conflictuelle avec les médias lorsqu'ils se montrent intransigeants. Mais quand la parole des journalistes va au-delà de l'expression d'un certain scepticisme pour adopter un discours continûment critique, mû par l'hostilité et une animosité personnelle, cela dépasse les limites", a-t-il déclaré.
"Parfois cela va tellement loin que je me retrouve à faire quelque chose que je n'avais fait auparavant : je réponds à mon poste de télévision (...), a poursuivi l'ancien président des Etats-Unis lors d'une cérémonie organisée en honneur de Hugh Sidey, ancien correspondant du magazine Time à la Maison blanche récemment décédé.
L'actuel président, dont l'indice de popularité est tombé à un plus bas depuis sa prise de fonctions en 2001, à environ 33%, a de son côté répondu aux critiques du Congrès, désormais à majorité démocrate, au sujet de son nouveau plan pour l'Irak en disant qu'il était "celui qui prend les décisions".
Lors de son discours sur l'état de l'Union, George Bush a demandé au Congrès d'approuver l'envoi de 21.500 soldats supplémentaires en Irak, un projet qui rencontre à la fois l'hostilité des législateurs et de l'opinion publique américaine.
S'exprimant devant des journalistes à l'issue d'une rencontre avec le lieutenant général David Petraeus, qui sera chargé de mettre en oeuvre le plan, George Bush a dit être conscient du scepticisme ambiant tout en notant que "certains condamnaient un plan qui n'a même pas encore eu l'occasion de faire ses preuves".
"(...) Au Congrès, à peu près tout le monde est d'accord pour dire qu'un échec (en Irak) serait un désastre pour les Etats-Unis. Comme je suis celui qui prend les décisions, il était de mon devoir d'imaginer un moyen susceptible d'empêcher ce désastre", a poursuivi George W. Bush.