Face à l'amplification du mouvement anti-CPE, quelques 300.000 étudiants et lycéens étaient hier dans les rues, Jacques Chirac est intervenu vendredi, pour la troisième fois cette semaine.
Le Président a exhorté gouvernement et partenaires sociaux à dialoguer "au plus vite" et lancer un appel à la "responsabilité", à la veille de la journée de mobilisation unitaire des opposants au contrat première embauche.
"Je veux redire que le contrat première embauche est un élément important de la politique de lutte contre le chômage. Il va créer des emplois nouveaux pour les jeunes qui sont aujourd'hui largement les laissés-pour-compte du marché du travail. Il offre des opportunités et des garanties nouvelles pour les jeunes en difficulté", a-t-il souligné.
Alors que responsables politiques et syndicaux ont multiplié les appels à son intervention directe pour dénouer le conflit, M. Chirac a continué à jouer sur deux registres : soutien public et ferme à Dominique de Villepin mais insistance sur le "dialogue", qui a justement manqué au Premier ministre, selon ses détracteurs.
Le Président a exhorté gouvernement et partenaires sociaux à dialoguer "au plus vite" et lancer un appel à la "responsabilité", à la veille de la journée de mobilisation unitaire des opposants au contrat première embauche.
"Je veux redire que le contrat première embauche est un élément important de la politique de lutte contre le chômage. Il va créer des emplois nouveaux pour les jeunes qui sont aujourd'hui largement les laissés-pour-compte du marché du travail. Il offre des opportunités et des garanties nouvelles pour les jeunes en difficulté", a-t-il souligné.
Alors que responsables politiques et syndicaux ont multiplié les appels à son intervention directe pour dénouer le conflit, M. Chirac a continué à jouer sur deux registres : soutien public et ferme à Dominique de Villepin mais insistance sur le "dialogue", qui a justement manqué au Premier ministre, selon ses détracteurs.