Face à "l'ampleur exceptionnelle" des manifestations en France contre le CPE, François Hollande a appelé Jacques Chirac et Dominique de Villepin à la "responsabilité" en retirant le CPE et en revenant devant le Parlement avec un nouveau texte.
"Face à un mouvement d'une telle force, le Premier ministre comme le président de la République doivent prendre la mesure de la situation" et "en terminer avec une crise dont ils sont eux-même les auteurs", a exhorté le premier secrétaire du Parti socialiste lors d'un point presse. "C'est donc un appel à la responsabilité qu'il faut désormais lancer aux plus hautes autorités de l'Etat".
"Il ne peut plus être pris le risque d'un affrontement avec la majorité du pays" et la jeunesse, a-t-il prévenu. "L'entêtement deviendrait un enfermement". "Il est passé le temps des appels à une discussion sans contenu", à "des aménagements du CPE", ou "des tactiques au sein même de la majorité".
Le premier secrétaire du PS a donc de nouveau, et "avec encore plus de solennité" qu'auparavant, demandé aux deux têtes de l'exécutif "le retrait du CPE". Il en a fait "le préalable à toute ouverture de négociations". "La seule issue, c'est le retour devant le Parlement, le vote d'un nouveau texte, l'abandon du CPE", a-t-il dit.
Le premier secrétaire a dit "déplorer" et "condamner" les violences qui ont émaillé la fin de certains cortèges. Leurs auteurs "font le jeu du pouvoir", a-t-il fustigé.
"Face à un mouvement d'une telle force, le Premier ministre comme le président de la République doivent prendre la mesure de la situation" et "en terminer avec une crise dont ils sont eux-même les auteurs", a exhorté le premier secrétaire du Parti socialiste lors d'un point presse. "C'est donc un appel à la responsabilité qu'il faut désormais lancer aux plus hautes autorités de l'Etat".
"Il ne peut plus être pris le risque d'un affrontement avec la majorité du pays" et la jeunesse, a-t-il prévenu. "L'entêtement deviendrait un enfermement". "Il est passé le temps des appels à une discussion sans contenu", à "des aménagements du CPE", ou "des tactiques au sein même de la majorité".
Le premier secrétaire du PS a donc de nouveau, et "avec encore plus de solennité" qu'auparavant, demandé aux deux têtes de l'exécutif "le retrait du CPE". Il en a fait "le préalable à toute ouverture de négociations". "La seule issue, c'est le retour devant le Parlement, le vote d'un nouveau texte, l'abandon du CPE", a-t-il dit.
Le premier secrétaire a dit "déplorer" et "condamner" les violences qui ont émaillé la fin de certains cortèges. Leurs auteurs "font le jeu du pouvoir", a-t-il fustigé.