La Semaine des ambassadeurs, un des rendez-vous incontournables du nouveau gouvernement en cette rentrée 2017, a débuté mardi 19 août. A cette occasion, Emmanuel Macron a décliné les grands axes de sa politique étrangère lors de la Conférence des ambassadeurs à l’Elysée.
Pour le chef de l’Etat, la « lutte contre le terrorisme islamiste » doit être la « première priorité de notre politique étrangère ». Le président de la République a décidé de préciser sa définition du « terrorisme islamiste » en prenant le soin de ne pas la confondre avec l'adjectif « islamique ».
« Oui, je parle bien d’un terrorisme islamiste et j’assume parfaitement l’emploi de cet adjectif. Car rien ne serai plus absurde que de nier le lien entre les actes terroristes que nous vivons et une lecture à la fois fondamentaliste et politique d’un certains islam », a-t-il déclaré, signifiant que « l’angélisme n’est pas de mise à cet égard, pas davantage que ne l’est une peur de l’islam qui confond islamiste et islamique et tend à embarquer, dans le soupçon général, les millions de musulmans qui vivent en Europe et n’ont aucun rapport avec ces doctrines fanatiques ».
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