L'aide aux Palestiniens pour répondre aux besoins humanitaires
L'Arabie saoudite s'est jointe à l'Egypte pour rejeter la demande des Etats-Unis à ses alliés arabes de cesser toute aide à un gouvernement dirigé par le Hamas.
Selon l'Arabie saoudite, il n’y a pas de raison de vouloir arrêter l'aide aux Palestiniens avant de voir quelle politique le Hamas allait mettre en oeuvre une fois le gouvernement constitué.
Lors d'une conférence de presse mercredi avec Condoleezza Rice, le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud Al Fayçal, a estimé que l'aide aux Palestiniens devait seulement répondre à des besoins humanitaires.
Il faut éviter de juger avant d'avoir vu, a déclaré en substance le ministre. L'Arabie saoudite, a-t-il ajouté, espère que "l'aide internationale au peuple palestinien ne sera liée qu'à la nécessité pressante de ce peuple d'un point de vue humanitaire."
Selon l'Arabie saoudite, il n’y a pas de raison de vouloir arrêter l'aide aux Palestiniens avant de voir quelle politique le Hamas allait mettre en oeuvre une fois le gouvernement constitué.
Lors d'une conférence de presse mercredi avec Condoleezza Rice, le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud Al Fayçal, a estimé que l'aide aux Palestiniens devait seulement répondre à des besoins humanitaires.
Il faut éviter de juger avant d'avoir vu, a déclaré en substance le ministre. L'Arabie saoudite, a-t-il ajouté, espère que "l'aide internationale au peuple palestinien ne sera liée qu'à la nécessité pressante de ce peuple d'un point de vue humanitaire."
Une vaste offensive diplomatique contre l'Iran
La secrétaire d’Etat américaine a aussi lancé une vaste offensive diplomatique contre l'Iran, qu'elle avait qualifié de "banque centrale du terrorisme" et de menace pour la région en raison de son programme nucléaire.
Or, aussi bien en Egypte qu'en Arabie Saoudite ses entretiens n'ont pas apporté les résultats espérés.
A Abou Dhabi, dernière étape de sa tournée, les six monarchies du Golfe ont certes évoqué la "prolifération nucléaire" au Proche-Orient dans un communiqué commun publié à l'issue d'une rencontre de Mme Rice avec ses homologues du CCG (Conseil de Coopération du Golfe).
Mais le texte ne mentionne pas l'Iran et "réaffirme la nécessité de garder la région du Golfe libre de toute arme de destruction massive", une formule habituellement utilisée par les pays arabes pour faire allusion à Israël, qui n'a jamais reconnu posséder l'arme nucléaire.
Or, aussi bien en Egypte qu'en Arabie Saoudite ses entretiens n'ont pas apporté les résultats espérés.
A Abou Dhabi, dernière étape de sa tournée, les six monarchies du Golfe ont certes évoqué la "prolifération nucléaire" au Proche-Orient dans un communiqué commun publié à l'issue d'une rencontre de Mme Rice avec ses homologues du CCG (Conseil de Coopération du Golfe).
Mais le texte ne mentionne pas l'Iran et "réaffirme la nécessité de garder la région du Golfe libre de toute arme de destruction massive", une formule habituellement utilisée par les pays arabes pour faire allusion à Israël, qui n'a jamais reconnu posséder l'arme nucléaire.