Donald Trump peut-il être destitué ? Accusé d'avoir fait pression sur son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky pour qu'il lance une enquête sur le fils de Joe Biden, candidat à l'investiture démocrate pour l'élection présidentielle de 2020, le président américain est sous le coup d’une enquête en vue d’une éventuelle procédure de destitution (« impeachment ») lancée depuis fin septembre par la Chambre des représentants, à majorité démocrate.
Alors que Donald Trump s’est engagé dans un bras de fer juridique contre ses adversaires démocrates, une centaine de leaders chrétiens, principalement d’obédience protestante, ont appelé à l’organisation d’une journée nationale de prière dimanche 13 octobre afin que « la vérité soit révélée à travers la procédure sur la destitution » et que celle-ci détermine si le président a sollicité le concours d’un gouvernement étranger pour sa campagne de réélection en 2020.
« Dans l’intérêt de l’intégrité de notre nation et des plus vulnérables de notre société, nous appelons les chrétiens à soutenir la procédure de destitution en cours. Maintenant, il est temps de faire la lumière sur la vérité », a fait savoir Red Letter Christians, un collectif de religieux chrétiens, dans un communiqué diffusé mardi 8 octobre.
Toutefois, le collectif a précisé que son initiative n’est pas partisane. Tandis que Donald Trump revendique le soutien de mouvements évangéliques, Red Letter Christians affirme « qu’il existe également des personnes de foi dont l’engagement envers la vérité reste fort et vigilant. Nous sommes des chrétiens qui portons résolument les enseignements de justice, d’amour et d’égalité de Jésus et qui font écho aux valeurs fondamentales au cœur de notre démocratie ».
« Le moment est venu de faire briller la lumière de la vérité. Joignez-vous à nous pour prier pour que la vérité soit révélée et nous libérer tous », concluent les signataires.
« Les démocrates poursuivent des objectifs purement partisans, y compris celui d’influencer les prochaines élections de 2020. Ce faisant, ils violent les libertés civiles et la séparation des pouvoirs, menaçant les fonctionnaires du pouvoir exécutif de sanctions simplement pour avoir exercé leurs droits et prérogatives constitutionnels », a fait savoir, pour sa part, la Maison Blanche.
De son côté, le président ukrainien a affirmé, jeudi 10 octobre, n'avoir subi aucun « chantage » à l'aide militaire américaine de la part de Donald Trump.
Lire aussi :
Etats-Unis : l'indifférence des candidats démocrates à la présidentielle 2020 envers les musulmans critiquée
Après l'attaque terroriste à El Paso, Donald Trump sous le feu des critiques
Alors que Donald Trump s’est engagé dans un bras de fer juridique contre ses adversaires démocrates, une centaine de leaders chrétiens, principalement d’obédience protestante, ont appelé à l’organisation d’une journée nationale de prière dimanche 13 octobre afin que « la vérité soit révélée à travers la procédure sur la destitution » et que celle-ci détermine si le président a sollicité le concours d’un gouvernement étranger pour sa campagne de réélection en 2020.
« Dans l’intérêt de l’intégrité de notre nation et des plus vulnérables de notre société, nous appelons les chrétiens à soutenir la procédure de destitution en cours. Maintenant, il est temps de faire la lumière sur la vérité », a fait savoir Red Letter Christians, un collectif de religieux chrétiens, dans un communiqué diffusé mardi 8 octobre.
Toutefois, le collectif a précisé que son initiative n’est pas partisane. Tandis que Donald Trump revendique le soutien de mouvements évangéliques, Red Letter Christians affirme « qu’il existe également des personnes de foi dont l’engagement envers la vérité reste fort et vigilant. Nous sommes des chrétiens qui portons résolument les enseignements de justice, d’amour et d’égalité de Jésus et qui font écho aux valeurs fondamentales au cœur de notre démocratie ».
« Le moment est venu de faire briller la lumière de la vérité. Joignez-vous à nous pour prier pour que la vérité soit révélée et nous libérer tous », concluent les signataires.
« Les démocrates poursuivent des objectifs purement partisans, y compris celui d’influencer les prochaines élections de 2020. Ce faisant, ils violent les libertés civiles et la séparation des pouvoirs, menaçant les fonctionnaires du pouvoir exécutif de sanctions simplement pour avoir exercé leurs droits et prérogatives constitutionnels », a fait savoir, pour sa part, la Maison Blanche.
De son côté, le président ukrainien a affirmé, jeudi 10 octobre, n'avoir subi aucun « chantage » à l'aide militaire américaine de la part de Donald Trump.
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