Sur le vif
Mercredi, les membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont appelé à la cessation immédiate des violences dans la bande de Gaza, exprimant leur soutien aux efforts du président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, pour établir un cessez-le-feu.
Dans une déclaration à la presse, non contraignante, lue par l'ambassadeur des Etats-Unis à l'ONU, Zalmay Khalilzad, qui préside le Conseil en mai, les 15 membres du Conseil ont "prié instamment toutes les parties de se joindre à eux pour soutenir l'appel du président Abbas à la cessation immédiate de la violence".
Ils ont exprimé leur "grave préoccupation" devant la rupture du cessez-le-feu dans la bande de Gaza, se sont félicités des efforts de M. Abbas pour arrêter les combats et exprimé leur appréciation pour le "soutien actif" apporté par le gouvernement égyptien à ces efforts.
L'observateur permanent de la Palestine à l'ONU, Ryad Mansour, a qualifié la déclaration du Conseil de "petit pas dans la bonne direction" et émis l'espoir de pouvoir "s'appuyer dessus pour obtenir un engagement plus grand" du Conseil dans le règlement de cette situation.
Mais M. Mansour a ajouté qu'il aurait préféré un appel du Conseil pour un cessez-le-feu à Gaza et en Cisjordanie, la fin des raids israéliens et l'envoi d'observateurs de l'ONU pour surveiller le cessez-le-feu.
L'ambassadeur d'Israël, Dan Gillerman, a réitéré que les attaques israéliennes contre les militants à Gaza et en Cisjordanie cesseraient quand la direction palestinienne aura obtenu la fin des tirs de roquettes sur Israël.
La décision israélienne de poursuivre les frappes a été prise en dépit d'une offre de trêve proposée par Mahmoud Abbas, qui se trouve à Gaza pour tenter de convaincre les principaux groupes armés palestiniens, dont le Hamas, de cesser les tirs de roquettes sur Israël.
Ehud Olmert, Premier ministre israélien, a réuni dans la matinée son cabinet sécuritaire pour faire le bilan de l'offensive, lancée le 16 mai, et qui a fait cinquante tués palestiniens.
Dans une déclaration à la presse, non contraignante, lue par l'ambassadeur des Etats-Unis à l'ONU, Zalmay Khalilzad, qui préside le Conseil en mai, les 15 membres du Conseil ont "prié instamment toutes les parties de se joindre à eux pour soutenir l'appel du président Abbas à la cessation immédiate de la violence".
Ils ont exprimé leur "grave préoccupation" devant la rupture du cessez-le-feu dans la bande de Gaza, se sont félicités des efforts de M. Abbas pour arrêter les combats et exprimé leur appréciation pour le "soutien actif" apporté par le gouvernement égyptien à ces efforts.
L'observateur permanent de la Palestine à l'ONU, Ryad Mansour, a qualifié la déclaration du Conseil de "petit pas dans la bonne direction" et émis l'espoir de pouvoir "s'appuyer dessus pour obtenir un engagement plus grand" du Conseil dans le règlement de cette situation.
Mais M. Mansour a ajouté qu'il aurait préféré un appel du Conseil pour un cessez-le-feu à Gaza et en Cisjordanie, la fin des raids israéliens et l'envoi d'observateurs de l'ONU pour surveiller le cessez-le-feu.
L'ambassadeur d'Israël, Dan Gillerman, a réitéré que les attaques israéliennes contre les militants à Gaza et en Cisjordanie cesseraient quand la direction palestinienne aura obtenu la fin des tirs de roquettes sur Israël.
La décision israélienne de poursuivre les frappes a été prise en dépit d'une offre de trêve proposée par Mahmoud Abbas, qui se trouve à Gaza pour tenter de convaincre les principaux groupes armés palestiniens, dont le Hamas, de cesser les tirs de roquettes sur Israël.
Ehud Olmert, Premier ministre israélien, a réuni dans la matinée son cabinet sécuritaire pour faire le bilan de l'offensive, lancée le 16 mai, et qui a fait cinquante tués palestiniens.
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