Sur le vif
Selon un rapport de l'organisation Human Rights Watch, les bombardements aveugles israéliens sont responsables de la plupart des victimes civiles lors de la guerre de l'été 2006 contre le Hezbollah au Liban.
Après cinq mois d'enquête dans les zones touchées, le groupe de défense des droits de l'homme, dont le siège est à New York, dit n'avoir trouvé aucune preuve que la milice chiite ait systématiquement utilisé les civils libanais comme "boucliers humains", ainsi que l'affirment les Israéliens.
"Les combattants du Hezbollah n'exhibent que rarement leurs armes en public et ne portent pas régulièrement un uniforme, ce qui en fait des cibles difficiles à identifier", a expliqué Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch, avant la publication du rapport.
"Mais cela ne peut justifier le fait que les forces de défense israéliennes ne fassent pas de distinction entre les civils et les combattants. En cas de doute, il faut traiter les gens comme des civils, comme le stipulent les lois de la guerre", a-t-il ajouté.
La guerre de 34 jours en juillet et août 2006 au Liban a fait 1.200 morts, dont 270 activistes et 158 Israéliens.
Israël affirme avoir respecté le droit international lors de cette offensive.
Selon Mark Regev, porte-parole du ministère des Affaires étrangères "Nous nous sommes conformés aux normes en vigueur pour la conduite d'un conflit militaire et aux lois de la guerre".
Regev a rappelé les déclarations le 26 juillet 2006 sur CNN de Jan Egeland, qui coordonnait l'aide de l'Onu dans la région, accusant les hommes du Hezbollah de chercher "à se mettre à couvert à proximité des postes de l'Onu et de la population civile".
Mais pour Human Rights Watch, le Hezbollah a mené la plupart de ses opérations militaires à l'écart des populations civiles. La milice chiite a parfois mis en danger des civils en tirant des roquettes à partir de zones peuplées mais cela ne peut être considéré comme un recours aux "boucliers humains", ajoute le groupe.
Après cinq mois d'enquête dans les zones touchées, le groupe de défense des droits de l'homme, dont le siège est à New York, dit n'avoir trouvé aucune preuve que la milice chiite ait systématiquement utilisé les civils libanais comme "boucliers humains", ainsi que l'affirment les Israéliens.
"Les combattants du Hezbollah n'exhibent que rarement leurs armes en public et ne portent pas régulièrement un uniforme, ce qui en fait des cibles difficiles à identifier", a expliqué Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch, avant la publication du rapport.
"Mais cela ne peut justifier le fait que les forces de défense israéliennes ne fassent pas de distinction entre les civils et les combattants. En cas de doute, il faut traiter les gens comme des civils, comme le stipulent les lois de la guerre", a-t-il ajouté.
La guerre de 34 jours en juillet et août 2006 au Liban a fait 1.200 morts, dont 270 activistes et 158 Israéliens.
Israël affirme avoir respecté le droit international lors de cette offensive.
Selon Mark Regev, porte-parole du ministère des Affaires étrangères "Nous nous sommes conformés aux normes en vigueur pour la conduite d'un conflit militaire et aux lois de la guerre".
Regev a rappelé les déclarations le 26 juillet 2006 sur CNN de Jan Egeland, qui coordonnait l'aide de l'Onu dans la région, accusant les hommes du Hezbollah de chercher "à se mettre à couvert à proximité des postes de l'Onu et de la population civile".
Mais pour Human Rights Watch, le Hezbollah a mené la plupart de ses opérations militaires à l'écart des populations civiles. La milice chiite a parfois mis en danger des civils en tirant des roquettes à partir de zones peuplées mais cela ne peut être considéré comme un recours aux "boucliers humains", ajoute le groupe.
Qui sommes-nous ?
